Parents, si l’amour que l’on porte à nos enfants Pouvaient se mesurer avec un mètre linéaire. Il faudrait faire pendant bien longtemps Et sans compter le tour de la terre. S’il se mesurait en kilogramme. Du monde entier, il faudrait abattre les montagnes Je doute, que cela paraisse assez. S’il se mesurait en kilomètre heure. La vitesse de la lumière serait d’une grande lenteur. S’il se mesurait en litre. Les mers et les océans, Ne seraient pas assez grands. Rien, de toutes ces immensités seraient suffisantes Pour égaler cet amour si puissant. Heureusement, il se mesure simplement A coup de bisous, A coup de caresses. Vous, Emmanuel et Christelle, mes enfants Si vous venez dans mes bras, je vous donnerais ce bisou, cette caresse Dans lesquels sont enfermés tout cet amour, toute cette tendresse. Et que je vous ai donné, depuis votre naissance