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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Michel Sardou débute dans la chanson en 1965 avec Le Madras, co-écrite avec Michel Fugain et Patrice Laffont. Cette chanson lui offre un premier passage à la télévision, mais tombe rapidement dans l’oubli. S’ensuit une série de 45 tours, qui font petit à petit connaître ce nouveau venu dans la chanson (il n’a pas encore 20 ans), sans pour autant rencontrer de véritable succès commercial. Sa carrière est réellement lancée en 1967, grâce à une censure : alors que la france est sortie de l’OTAN un an plus tôt, et que la guerre du Viêt Nam provoque une vague d’antiaméricanisme en france, Michel Sardou sort Les Ricains, chanson qui insiste sur le devoir de reconnaissance envers les États-Unis, sans qui, d’après lui « Vous seriez tous en Germanie/À parler de je ne sais quoi/À saluer je ne sais qui », claires allusions à la Libération de 1944 par les forces alliées. La chanson n’est pas du goût du Général de Gaulle, qui « déconseille » sa diffusion sur les ondes. Cet épisode confère au chanteur une notoriété nouvelle. Elle jette surtout les bases de son style futur. Entre 1967 et 1970, il peinera néanmoins à rencontrer un franc succès. Devant l’enchaînement de 45 tours au succès très mitigé, Eddie Barclay, qui le produit à l’époque, décide en 1969 de résilier son contrat, ne l’estimant « pas fait pour ce métier ». Sardou crée alors, avec Jacques Revaux, qui deviendra son plus fidèle compositeur, et Régis Talar, le label Tréma, qui produira désormais ses disques.