Lorsqu’au bord du naufrage, les vagues se déchaînent, que la mer agitée, sur un air effréné me fait valser, entrainée vers le gouffre par mes terribles chaines, je m’égare dans mes rêves et me surprends à pleurer. Quand mes barrières en verre se brisent soudainement, attirée par les profondeurs et ses sirènes enchanteresses, j’en oublie de sourire et me laisse couler doucement, jusqu’à ne plus avoir d’air,ne plus sentir la tristesse. Le chemin du retour est périlleux en mer, tirée en arrière, je me bas à contre-courant, mais la douleur apaisée j’aperçois la lumiere, et remonte lentement rejoindre mon monde d’antan. Le navire retrouvé je reprends ma route aventureuse, Je navigue posément et je deviens rêveuse, au coté de ma mer sur le chemin de la vie. Et si j’ai peur de m’échouer, de sombrer avec elle, Je sais que je reviendrai à bord avec mon équipage