Les rêves s'effacent sur nos cœurs, nos verres brisés, où le soleil noie les pensées sur nos terres abîmés. Les ombres se déplacent au fil de nos larmes, nos veillés, quand les étoiles fracassent les plumes de nos nuées. Les pluies s'écrasent sur nos feux, nos yeux dépourvus, où le bonheur effondre chaque secondes, heures en vue. Les armes s'enferrent sur les lèvres, les charmes décousus, quand les malheurs défilent les temps de nos récits perdus. Les peines s’enroulent sur nos cieux, nos maux gravés, où la joie essouffle les regards sur nos moments volés. Les éclats se dépassent sur nos cartes, nos mains fêlés, quand les cristaux consume les lumières, nos amitiés. Les horizons s'emportent sous les cotons, des airs enfuis, où la nuit estompe chaque instants, mots de nos conflits. Les couleurs s'enfourchent sur des paysages, chemins prédis, quand les chaines flairent les flammes de l'enfer au paradis.