Il y a des portes qui s'entrouvrent et vous claquent au nez dernier soupir d'une lassitude mille fois éprouvée une envie de pleurer juste au bord des yeux, tout deviens flou le poids de cette solitude qui mets destiné me rend encore plus fou quand une porte se ferme il faut chercher à comprendre ne plus passer son temps à vouloir à tout pris attendre qu'elle s'ouvre pour moi sur un coup de baguette magique des heures à se lamenter, vie et méprisable comédie pathétique il y a des portes qui grincent et on avance d'un pas soucieux se poser la question et se demander si on ne devrait pas mieux tout de suite revenir en arrière, car parfois l'instinct en une fraction de seconde, vous prend par la main il y a des portes qui se ferment, il vaut mieux l'accepter et se dire que cette fois encore que l'amour c'est trompé que la vie qui me convient se trouve dans d'autres lieux d'un avenir incertain, mais sûrement sous un ciel radieux