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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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détresse

Publié à 14:11 par fandeloup Tags : travail vie monde chez société soi
détresse
La détresse sociale s'amplifie et l'espoir s'amenuise.
Aujourd'hui, plus que jamais, la pauvreté s'accroît dans le monde, la charité de la vie réduit les écart...
s entre pauvres et riches, parce que tout le monde est touché, avant c'était aux pauvres qu'elle faisait le plus mal, maintenant aussi le riche la sente cette flambée à travers leurs achats quotidiens.
Mes ami(es) des articles sur des journaux que je me suis permise à lire alors, je me suis posée une question qu'est-ce qui ne tourne plus rond en ce monde? Les raisons sont nombreuses. Celle qui, en premier lieu, m'a surprise et choquée: la mondialisation. Dans cette immense brèche se sont engouffrés, pêle-mêle, délocalisations des entreprises qui changent de cieux chaque minute vers des pays ou la main d'œuvre est presque gratuite, les pertes d'emplois pas uniquement en Europe, concurrence sauvage et dérégulation.
La ruée vers les biocarburants, que certains appellent désormais « la grosse erreur verte », cause aussi beaucoup de problèmes à l'équilibre alimentaire mondial en drainant une partie des ressources agricoles vers la production de biocarburants.
L'envolée du coût du pétrole sur les marchés mondiaux a aussi contribué à l'inflation des denrées alimentaires en poussant à la hausse les coûts de transport. Et, comme le déplorent plusieurs observateurs, il se fait de plus en plus de spéculation sur les matières alimentaires, une spéculation qui gonfle artificiellement, au profit d'un petit nombre d'individus, les prix des aliments. Les prix des produits de première nécessitée tel que « Les huiles, la semoule, le riz et la poudre de lait » ... sont devenues inabordables n'ont jamais connu un seuil aussi alarmant, provoquant la panique chez les citoyens l'état absente face à la flambée des prix.
Une liste qui ne reflète qu'une partie des produits qui ont connu ces derniers jours de substantielles augmentations. Cela dit, des aliments de base, incontournables dans le panier de la ménagère, comme l'huile de table et la semoule sont pratiquement hors de portée.
Les commerçants jurent par tous les saints qu'ils ne sont nullement responsables de la situation, affirmant être tributaires des marchés internationaux.
Les bourses moyennes appellent au secours si elles ne sont pas réduites à pratiquer l'austérité chez soi. La plupart de nos soucis sont des intérêts que nous payons d'avance sur des évènements qui ne se produiront jamais.
Plusieurs pays ne sont pas préparés. Ainsi, aujourd'hui, un paradoxe s'affirme: les chômeurs et les précaires ne sont plus seuls à être gagnés par la pauvreté.
Dorénavant des salariés en Contrat à Durée Indéterminée n'arrivent plus à faire face.
Les bas salaires, charges innombrables font d'eux les nouveaux pauvres de ce début de 21 éme siècle. Je confirme qu'on est dans un monde fou, mais c'est fou? Je me demande comment des gens au Burkina-Faso au Mali en Côte d'Ivoire à Haïti ou au Bengladesh (à titre d'exemple) font pour subvenir à leurs besoins.
Nous notre situation est peut être meilleure que la leur et ont arrivent difficilement à joindre les 2 bouts, chez eux la distribution des produits de première nécessité est réglementée, dans des pays c'est les militaires qui assurent le service de distribution des denrées alimentaires, des émeutes ont éclaté des morts pour des bouchées de pains au 21° siècle ? Pourquoi ces politiciens la ne font rien pour arrêter cela? Ou va ce monde que nous avons tant espéré, y aurait il une place pour notre progéniture pour la génération future ? Je ne pense pas.
Les politiciens donnent une version à leur explication « la loi du marché » du moins ce qu'ils essayent de nous expliquer, ils ne savent plus comment agir.
Les millions de travailleurs à travers le monde sont touchés par le chômage et les revenus minables, eux, n'en peuvent plus avec les aides sociales. Ils aspirent au travail avec des salaires convenables, être productifs, faire face aux charges, payer leur loyer, leur nourriture, s'investir dans la société.
En un mot, vivre d'un emploi et non du statut d'assistés. Dans cette optique, les combats stériles entre politiciens sont désuets, malvenus et désobligeants.
Pourquoi diable, gauche et droite ne s'entendraient-elles. Le fardeau de demain, ajouté à celui de la veille, et porté aujourd'hui... voilà qui forme un poids qui fera fléchir même le plus fort.
Réfléchir et décider ensemble de changer tout le système pervers trop ancré dans la société et qui pourrit la condition humaine les choses ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile, c'est de nous mettre en état de les faire