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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Val-d'Oise : quarante animaux sauvés dans l’urgence Vaches, cochons, ânes, poneys et moutons sous-alimentés et privés de soins ont été saisis hier chez un particulier à Frépillon.
Il a fallu trois jours aux services vétérinaires pour réaliser cette opération de sauvetage.
Trois ânes faméliques ont pu quitter leur minuscule enclos pour un refuge animalier situé à Blois (Loir-et-Cher).
Peu de nourriture, le minimum d’eau, pas de soins : c’était une situation d’urgence qui a conduit les services vétérinaires du Val-d’Oise à intervenir hier chez un particulier, à Frépillon, sur instruction du parquet.
Au fil des ans, il avait recueilli des vaches, des cochons, des ânes ou des poneys, sans parvenir à s’en occuper. Hier, les agents de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) ont saisi et sauvé les animaux sur le site, à la sortie de la commune. Derrière leurs grilles, les trois ânes n’avaient que de la paille à se mettre sous la dent, quasiment pas d’eau. Ils n’étaient pas épais.
A midi hier, ils ont quitté leur enclos minuscule et le camion a pris le chemin de la ferme des Oliviers, à Molineuf, près de Blois, un refuge animalier. Un peu plus tôt, ce sont les 13 cochons entassés dans un bâtiment que les services vétérinaires ont évacués, non sans difficulté, vu la taille des trois animaux adultes.
Au cours de trois journées d’intervention, la DDPP a saisi au total 18 vaches, 13 cochons, 3 ânes, 4 poneys et 2 moutons, dans le cadre d’une procédure de saisie judiciaire en vue d’un placement provisoire. Le propriétaire risque la correctionnelle
« Ils étaient voués à une mort certaine! » assure Stéphane Lamart, dont la fondation a été mobilisée pour s’occuper des animaux .
« Leur état est catastrophique. Les ânes ne pouvaient plus faire un pas, n’ayant jamais vu le maréchal-ferrant. Les vaches étaient maigres. Le propriétaire disait aimer les animaux , il les avait recueillis. Mais il a été débordé. Ils étaient sous-alimentés, négligés. Au final, il les maltraitait. »
Ne pouvant pas tout prendre en charge, Stéphane Lamart a fait appel à la Fondation Brigitte Bardot pour s’occuper des poneys qui se partageaient l’espace d’un conteneur.
L’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), une association de défense des animaux destinés à la consommation, s’est occupée des vaches.
« Pour les cochons, qui sont très difficiles à placer en Ile-de-France, j’ai réussi à trouver une ferme pédagogique qui vient d’ouvrir près de Marseille. C’est une petite victoire », ajoute Stéphane Lamart.
La Fondation Assistance aux animaux a pour sa part pris la responsabilité des ânes et des moutons. Sur place, les agents des services vétérinaires ont constaté une série d’infractions liées à la protection animale. Les procès-verbaux dressés sur place devaient être transmis dans la journée au parquet de Pontoise, qui décidera des poursuites qui seront engagées. Un délit aurait été notamment constaté, ce qui pourrait conduire le propriétaire à s’expliquer devant le tribunal correctionnel. Cela faisait longtemps que ces services suivaient le propriétaire. Plusieurs observations et rappels lui avaient été transmis il y a un an lors d’une précédente visite.
Sans résultat, la situation empirant, notamment du fait de l’agrandissement du cheptel.
Le Parisien