Il est parfois nécessaire de regarder sa vie passée pour essayer de comprendre ou de se questionner sur un pourquoi,et faire que délicatement les non réponses posées, ne soient plus ces cicatrices qui nous ont tant fait perdre la foi

Alors de cet instant qui coule en silence, je viens en réfléchissant sur ces chemins parsemés .En laissant mon imagination comprendre le flot des sentences qui ont sans doute parfois foulées le rivage de ma destinée.

Aurais-je dû ou n’aurais pas dû faire, là n’est plus la question qui tambourine mon âme, car de ce passé qui s’est installé dans la vibration de mes pas dans l’air, je dois aller sans trop fouler les rocs de mes états d’âme.

Alors oui petite brume de vie qui vient à moi, viens doucement prendre mon espoir dans tes bras,car du temps qui a tant murmuré son chant sur mon émoi, je me love tendrement contre toi pour repousser les aléas .Car de la vie qui m’a souvent appris ce qu’elle était .

J’ai encore l’espoir de brandir au plus haut mes étendards de vie,pour que lentement sur le restant des parcours qui vont se créer,je puise la jouissance de comprendre la vie sur cet infini, oui qu’il est bon d’espérer et de pouvoir rêver à volonté,en voulant s’abreuver au calice de la saveur des arbres, et même si je sais que les aléas vont encore se bousculer,qu’il est bon d’aimer la vie même sous une larme devant l’éternel. Alors oui, laisse-moi encore beaucoup de temps pour contrer de mes valeurs les injustices qui viendront me frapper, et si rien n’est encore écrit sur l’alphabet du hasard sifflotant ,laisse-moi encore brandir dans le futur mon espoir dans le ciel azuré.