C'est l'horreur absolue :

Pendant l'absence, pour la journée, de sa propriétaire, Kenza, une petite chienne de 2 ans, a été martyrisée et frappée à mort.

Un véritable acte de barbarie. Une plainte a été déposée.

Les yeux de Martine Lamain, moins de 48 heures après les faits, sont encore rouges de douleur. Les larmes sont encore là. La douleur et la colère aussi, pour longtemps.

Pour Aurélie sa fille également. Car c'est bien un véritable acte de barbarie qui a été commis, jeudi, au domicile de Martine, dans le quartier des Colonies au Creusot.

Kenza, une petite chienne de pure race Teckel de tout juste deux ans a été massacrée. «Jeudi, comme tous les jours, je suis partie à mon travail à 7 heures. Tout allait bien. Mes deux chiens, Enzo et et Kenza étaient en pleine forme. A 11 heures le facteur m'a dit qu'il les avaient vus. Un voisin aussi, à midi… Et puis quand je suis rentrée, peu avant 16 heures, j'ai découvert l'horreur absolue», lâche Martine.

Les détails sont terribles : «J'ai découvert ma Kenza morte, contre un grillage. Elle était comme clouée et fixée au sol par une barre à mine qu'ils avaient passée entre son collier et son cou. Ils ont même coupé le grillage pour pouvoir coincer la chaine», explique Martine Lamain, avec de la douleur.

Elle montre encore les taches de sang qu'elle a photographiées pour bien montrer la barbarie de «ceux qui ont fait ça». Car Martine Lamain en est persuadée : «Cela ne peut pas être l'œuvre d'une seule personne.Ma chienne a dû se défendre, et puis il y avait Enzo, mon Golden».

Martine Lamain est convaincue que sa Kenza a été tout à la fois martyrisée et frappée avant pour être tuée, lâchement. Elle a bien évidemment déposé plainte au commissariat de Police du Creusot et elle espère fortement que l'enquête pourra permettre d'identifier et de confondre le ou les auteurs de cette barbarie, de cet acte ignoble.

Elle espère que l'enquête de voisinage sera efficace et que les gens de son quartier parleront s'ils savent quelque chose. «Pour la mémoire de ma chienne, mais aussi au nom de tous les autres chiens qui pourraient subir le même sort».

La question est de savoir pourquoi et comment un ou plusieurs individus ont pu en arriver à une telle extrémité, ont pu monter aussi haut dans l'horreur et la barbarie.

Martine Lamain ne croit pas à un règlement de compte, car elle ne se connait pas d'ennemis.

Toutes les hypothèses sont bien évidemment possibles, dont celle de cambrioleurs qui auraient voulu en finir avec une petite chienne qui, forcément, a dû se manifester.

Mais une chose est certaine, rien absolument rien ne peut justifier l'élimination de Kenza qui était tout sauf un chien méchant.