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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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sanction

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : animaux animal travail photos photo chez bonne moi homme
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Le salarié agricole licencié dénonce son ancien patron L'éleveur assure qu'il n'a pas abattu d'animaux illégalement dans son exploitation, ce qui n'est pas l'avis du procureur.

Le tribunal n'a pas tranché. Abattage d'animal hors d'un abattoir dans des conditions illicites, jet de cadavres d'animal et détention d'ovins non identifiés.

Telle est la prévention retenue par le tribunal correctionnel pour juger cet exploitant agricole, hier, mardi 22 janvier.

L'homme n'a jamais été condamné par la justice et pourtant cet exploitant agricole, installé à Étreillers (canton de Vermand), a défendu son travail bec et ongles à la barre.

Suite à une dénonciation d'un de ses anciens salariés agricoles, la gendarmerie a ouvert une enquête.

En septembre 2009, photos à l'appui, l'ex employé indique que l'exploitant s'adonnerait à des abattages clandestins au sein de même de son corps de ferme.

Sur l'un des clichés, « on peut penser que ce sont des gens de religion musulmane », en train d'égorger un mouton dans des conditions d'hygiène loin d'être irréprochables.

Jugement le 11 février Sur une autre photo, on y voit une vache pendue par les pieds « avec de la merde derrière », précise, brut de décoffrage, le président Carlier.

Tout ça laissant clairement penser que l'exploitant abriterait un abattoir clandestin. « Les seuls animaux abattus chez moi, c'est pour ma consommation personnelle.

C'est deux, trois animaux par an. Sinon, le reste des bêtes abattus, c'est pour l'équarrissage », explique-t-il, tout en affirmant, qu'aucun relevé des services vétérinaires n'a fait l'objet de la moindre remarque.

Propriétaire de terres en Thiérache et d'une autre exploitation dans le Limousin qui lui permet de faire tourner sa boucherie, le prévenu assure de sa bonne foi et que l'ancien salarié licencié est un « impulsif » qui l'a « cambriolé » d'où le licenciement pour faute grave.

Mais pour le procureur, « il faut des arguments un peu plus sérieux ». Selon lui, la culpabilité ne fait pas l'ombre d'un doute.

Pas pour le tribunal qui rendra sa décision, le 11 février.