Mon pays, ma patrie, c’est comme un membre de ma famille. Il était là à ma naissance, il m’a donné sa culture, sa langue, mes racines. J’espère, si tout se passe bien, qu’il sera toujours là le jour de ma mort,et que c’est sur son sol que je trouverai le repos. Mon pays, ma patrie, c’est comme mon père ou ma mère, je le respecte, je l’aime et je ne tolère pas ceux qui lui crachent dessus, qu’ils soient nés ici, car ce sont des ingrats, ou qu’ils soient nés ailleurs, car nul ne les oblige à rester là. Mon pays, ma patrie, c’est comme un frère ou une soeur… Je ne lui dis pas toujours « je t’aime », même si je le pense intimement. Chaque coup, chaque insulte qui lui est porté, c’est aussi à moi qu’on les donne. Mon pays, ma patrie, c’est une part de mon identité, il m’a faite ce que je suis et j’ai ma part de responsabilité dans ce qu’il est. Je ne veux pas qu’on mette à bas ses richesses historiques, son histoire, son passé, en laissant partir à l’étranger pierre à pierre, nos châteaux, nos églises, que ce soit parce qu’on les achète ou parce qu’on les détruise. Mon pays, ma patrie, c’est mon visage et c’est le votre aussi, il ne faut pas permettre qu’il soit défiguré sous le prétexte du politiquement correct ou de la liberté de culte, en d’autres termes, je trouve indécent qu’on abatte des églises pour construire des mosquées ! Mon pays, ma patrie, c’est la France et j’en suis fière… Je ne permets à personne de me dépouiller de cette fierté et surtout pas à ces hommes qui nous gouvernent et quittent leur pantalon pour quelques sous, ces euros qui ne valent pas