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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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David Lanaud du Gray, candidat aux municipales à Dijon, considère, dans un communiqué de presse, que le centre Dauphine est un « temple de la consommation passéiste des années 70 ».

Il désire également créer un nouveau palais des Congrès.

Le but étant de redynamiser le centre-ville de la capitale bourguignonne.

« Il est urgent de redonner de l’attractivité à notre centre-­ville. Un centre-­ville, c’est une histoire , c’est l’identité d’une ville et ce qui fait sa richesse, c’est l’image de Dijon que nous offrons aux autres. C’est le coeur de notre patrimoine et cela doit aussi rester le coeur de notre activité économique. Il faut faire revenir du monde au centre-­ville pour que celui-­ci se redéveloppe en y créant de l’activité économique et de façon urgente !

Le « centre commercial » Dauphine n’est qu’un temple de la consommation passéiste des années 70. On se gargarise d’avoir voulu l’extension d’un centre commercial en périphérie en argumentant sur la création de 300 ou 400 emplois ?

Mais combien en avons nous perdu ?

Différentes études ont prouvé que la création d’un emploi dans un centre commercial en détruit 3 dans les commerces indépendants. Génial !! Bravo !!

Les centres commerciaux ont leur légitimité, certes, mais on trouve les mêmes partout, ils ne sont pas l’identité de notre ville. Si l’on vous dépose les yeux bandés dans un centre commercial, vous serez incapable de dire dans quelle ville vous êtes, une fois les yeux ouverts.

Dans un centre-­ville : si !! Fervent défenseur du centre-­ville de Dijon, je propose dans un premier temps de raser le centre Dauphine. Zone désuète, à l’architecture devenue immonde et nauséabonde, occupant un espace non négligeable au coeur de la ville et dont les étages de bureaux ont un taux d’occupation quasi nul depuis des années pour les problèmes que l’on sait !

Il occupe une surface importante au coeur du centre-ville à un endroit géographique stratégique avec un potentiel extrêmement sous-­exploité. Alors oui, on va me dire que ce centre commercial est privé et que l’on ne peut rien y faire, mais avons-­nous déjà réellement essayé ?

Avons-­nous déjà réellement expertisé sa valeur immobilière en faisant une proposition de rachat à leurs propriétaires ? Pas que je sache ! Si une proposition de rachat est faite à un bon prix par la municipalité, il n’est pas impensable que les propriétaires fonciers acceptent.

Une fois racheté et rasé, nous pourrions alors lancer un concours d’architectes locaux utilisant des entreprises locales, pour la construction d’un bâtiment nouvelle génération à l’architecture agréable, conviviale et ultra-­originale, en lien avec les normes environnementales, où déjà, rien que le bâtiment à lui seul en ferait une curiosité touristique.

Que l’on ne m’objecte pas que le quartier est sauvegardé par les monuments de France , dans un pays où l’on a réussi à construire une pyramide de verre dans la cour du Louvre, tout peut être réalisé si il y a une cohérence et un trait d’union entre le passé et l’avenir. Par ailleurs, je souhaite que Dijon devienne une vraie ville de congrès avec un palais des Congrès digne de ce nom.

L’actuel est si vétuste que lors du dernier congrès national des experts-comptables, il a nécessité camouflage, rafistolage et décorations pour cacher son état de délabrement.

Ce congrès fut néanmoins un succès extraordinaire pour l’activité économique de notre ville et nous montre que nous devons tout faire pour vraiment développer des événements de ce type.

Et tout ça commence par disposer d’un lieu digne de ce nom sur l’emplacement actuel : un palais des Congrès new look !

Nous savons tous que les congrès sont synonymes de retombées économiques locales très conséquentes dans bon nombre de domaines (taxis, hôtellerie, restaurants, boutiques, etc.) et générateurs de créations d’emplois non-­délocalisables.

Afin de rentabiliser ce projet, je souhaite que ce palais des Congrès soit à l’avenir entièrement géré par la Ville, avec une équipe commerciale municipale ayant des objectifs précis, et non pas en cédant la concession à un privé qui se fait de l’argent sur le dos des Dijonnais.

Les recettes ainsi générées pourront amortir cet investissement et même devenir une véritable source de revenus pour la municipalité qui ne pénalisera donc pas le contribuable.

Je souhaite que le nouveau bâtiment qui remplacera l’actuel centre Dauphine soit, en centre-ville, la vitrine de ce nouveau palais des Congrès en devenant une annexe du bâtiment principal où l’on pourra faire des congrès plus petits.

C’est un moyen d’avoir des congressistes, personnes au fort pouvoir d’achat, qui dépenseront en centre-­ville soutenant par là même nos petits commerces.

Les actuels commerçants du centre Dauphine pourront bien évidemment y rester et s’y intégrer, tout comme la boîte de nuit se situant dans les sous-­sols du parking.

Ce parking, qui devra également être rénové et adapté aux voitures d’aujourd’hui et remise aux nouvelles normes de sécurité.

Toujours dans une optique de développement économique, d’attractivité et de de création d’emplois, je souhaite également pour notre centre-ville : L’ouverture du marché des halles le dimanche après-­midi en consultation avec les commerçants.

L’ouverture du marché des halles en période estivale un soir ou deux par semaine nocturne (jusqu’à 22 h 30-­?23 heures). Utiliser le droit municipal de préemption des commerces fermés récemment de la rue de la Liberté, artère principale de notre coeur de ville, pour y favoriser prioritairement l’installation de bars, restaurants, à des loyers plus raisonnables afin d’y créer de la vie le dimanche et les soirs de semaine passé 19 heures en y autorisant l’installation de terrasses.

Faire du square Darcy un mini central park en faisant tomber les grilles afin que la verdure gagne sur la place Darcy et sur ses deux côtés (en étant sous surveillance nocturne).

La conversion de l’église Saint Philibert, propriété de la ville de Dijon en club-­restaurant, boîte de nuit. (Dijon 1ère ville à convertir une église en boîte de nuit en France)

Après l’église-bibliothèque, l’église théatre, Dijon aura son église-boîte de nuit. Installation de vraie verdure rue de la Liberté, un peu trop minérale à mon goût.

La création d’un lieu physique où tous les évènements dijonnais seront recensés et pas uniquement ceux subventionnés par la mairie avec notamment tous les évènements associatifs ou ceux organisés, par exemple, par les commerçants dans leurs établissements (concerts, etc....)

La mise en place de scènes ouvertes tous les week-­end sur les différentes places de la ville sur laquelle nos artistes locaux pourront se produire gratuitement afin de se faire connaître tout en divertissant la population (chaque place aura sa thématique musicale et chaque artiste, groupe, pourra s’y inscrire pour s’y produire.)

Dijon doit encourager ses jeunes talents afin de les aider à se faire connaître tout en permettant à la population de se divertir à moindre coût. Notre centre-­ville est en difficulté, j’y travaille, j’y habite et j’y consomme. Nous ne pouvons pas le laisser mourir ! Favorisons l’installation de commerces d’une nouvelle génération pour lui dessiner un nouvel avenir. J’ai dit !! »