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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un chien meurt transpercé d’un coup de fourche VILLERS-SEMEUSE (08).
Le 13 avril, rue Pierre-Curie, un chien égaré est mort transpercé par un coup de croc.
La SPA et ses propriétaires ont porté plainte. Rue Pierre-Curie, à Villers-Semeuse, un chien aurait été sauvagement massacré à coups de croc (fourche à dents recourbées) par un Villersois sanguinaire…
Voilà ce qu’affirme la rumeur qui court depuis le 13 avril, date des faits. Certes horrible, la réalité est sans doute plus nuancée.
Samedi soir, l’épouse d’Antonio Pereira est intriguée par des bruits provenant du fond de son jardin et de la cabane abritant une dizaine de clapiers.
Là, elle surprend un chien, de race fox-terrier, en train de détériorer les grillages et d’attaquer ses lapins. La maîtresse de maison tente de faire fuir l’animal, qui saute sur elle. « Il était surexcité. Je n’avais jamais vu ça. Je me suis enfuie pour prévenir mon mari et, quand je suis revenue, le chien attaquait les poules. Il en avait déjà tué deux ! »
Au final, six gallinacées périront sous les crocs de Max, qui avait disparu depuis le 24 mars du domicile de ses propriétaires, à Nouvion-sur-Meuse. Sorti de son pavillon en catastrophe et en peignoir, Antonio Pereira se saisit de l’outil qui lui sert habituellement à retourner le fumier.
Ainsi armé, il tente de bouter le fox-terrier hors du poulailler. Transpercé, Max hurle En vain. Véloce et agile, le canidé se montre tenace et têtu. « À un moment, j’ai eu peur car il se dirigeait vers moi. »
Le croc de jardinier s’abat alors sur Max. Transpercé, le chien hurle de douleur et attire l’attention des voisins. Horrifié, l’un d’eux qualifie Antonio Pereira de barbare. Lequel assure n’avoir frappé que pour se défendre et nie tout acharnement. « Je n’ai donné qu’un coup. Le chien est d’abord resté sur ses pattes avant de faire quelques pas et de s’écrouler. J’ai eu de la chance car il était affaibli. Il était maigre et ne devait pas avoir mangé depuis plusieurs jours. J’ignorais s’il avait la rage », témoigne Antonio Pereira.
Le cadavre de Max est déposé sur le tas de fumier, puis enterré avec les poules. Avertie par les voisins, la SPA dépêche une enquêtrice dès le lendemain, 14 avril. « Ce monsieur (Antonio Pereira), savait pourquoi je venais. Je lui ai demandé s’il était vrai qu’il avait tué un chien. Il a reconnu sans difficulté. J’ai demandé à récupérer le cadavre et il m’a répondu qu’il n’y avait pas de problème mais qu’il fallait qu’il le déterre… Tout cela lui paraissait normal », s’offusque l’enquêtrice.
Max est identifié chez le vétérinaire. Ses propriétaires sont aussitôt informés.
Soutenus par la SPA, ceux-ci ont porté plainte le 15 avril. La police de Charleville-Mézières a d’ores et déjà entamé son travail d’enquête sous le chef d’acte de cruauté et sévices envers un animal, sans exclure qu’Antonio Pereira se soit simplement défendu.
« S’il ne s’en était pas pris à nous, nous n’aurions jamais fait de mal à cette bête. Ce n’est pas le premier chien qui traverse notre jardin, ni les premières poules que l’on perd… », assure son épouse.