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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Iran : corde au cou, il est gracié à l'ultime instant.
Un Iranien condamné pour meurtre à la peine capitale a été gracié au dernier instant par la mère de sa victime, mardi 15 avril 2014 à Noshahr, dans le nord du pays.
L'événement a donné lieu à une séquence photo poignante que l'AFP relaye ce jeudi, à découvrir ci-dessous.
Balal, le condamné, avait 19 ans lorsqu'il a infligé en 2007 un coup de couteau fatal à la gorge d'un autre jeune, Abdollah Hosseinzadeh, lors d'une bagarre de rue.
Condamné à une pendaison publique, l'homme a finalement été sauvé par la mère du tué, nommée Samereh Alinejad, celle-là même qui devait exécuter la sentence en poussant sa chaise sur la potence.
Le meurtrier pleurait", a raconté la mère au quotidien iranien "Shargh". "Il a demandé pardon. Je l'ai giflé, ce qui m'a calmé. J'ai dit : 'Je te punis pour le malheur que tu m'as fait'. Les gens ont applaudi, certains pleuraient." "Je suis croyante", a-t-elle encore déclaré. "La veille de la sentence, j'ai rêvé de mon fils. 'Je suis bien là où je suis et je suis calme', m'a-t-il dit. (...)
Tout le monde, ma famille et mes amis, faisait pression pour que j'accorde mon pardon."
Dans ce le cas d'un pardon de ce type, la charia – la loi islamique – prévoit le paiement par la famille du coupable du "prix du sang", à savoir 1,5 milliards de rials (environ 36.000 euros).
Cette fin heureuse succède à une campagne de mobilisation en faveur du condamné, à laquelle ont pris part des personnalités publiques.
Mais ce dénouement n'en reste pas moins rare en Iran, pays coutumier des condamnations à mort, où plus de 170 personnes ont déjà été exécutées en 2014, selon l'ONU.
La mère du tué (à droite) et celle du condamné (à gauche) se rejoignent :