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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Invité à s’exprimer dans une tribune libre à paraître demain dans Le Figaro, Pierre Gattaz n’y va pas par quatre chemins.
Ce dernier tacle les ménages français les plus modestes qu’il juge responsables de la situation économique actuelle du pays et qu’il accuse de ne « pas vouloir affronter les épreuves de la vie avec dignité »
Pour Pierre Gattaz, il n’y a pas de doute.
« La sortie de la crise est impossible avec un tel comportement » écrit-t-il pour dénoncer le défaut de combativité des précaires français.
Manque de dignité, de savoir-vivre et d’amour propre, le patron des patrons ne mâche pas ses mots pour toucher leur fierté.
« Moi, on ne m’a pas appris à me plaindre, mais à serrer les dents et à me taire, c’est mon éducation » ajoute-t-il pour se justifier, en pointant le relâchement vestimentaire dans lesquels les pauvres se complaisent parfois:
« La pauvreté n’excuse pas le manque de goût » rajoute t-il. Pierre Gattaz veut aussi dénoncer le manque de reconnaissance des travailleurs envers les grands patrons français. Le président du MEDEF prend l’exemple du 1er mai, selon lui dénaturé par les syndicats. « Ce qui devrait être un jour de fête, pour nous les patrons, devient une fête de la contestation sociale, ou de la paresse » note-t-il dans sa tribune.
Ces « paresseux », comme il les appelle, Pierre Gattaz les invite à prendre exemple sur ceux qui ont « réellement célébré la fête du travail en allant travailler comme tous les jours ou en ne faisant pas le pont du 8 mai ».
Pierre Gattaz termine en disant que franchement les gens se plaignent alors que si on regarde attentivement, cela pourrait être bien pire : « On a tellement tendance à exagérer dès qu’on déprime un peu, il faut regarder du bon côté de la vie ».
Il propose ainsi de résoudre la morosité ambiante en imposant aux personnes en difficulté sociale un stage mensuel obligatoire de réalisation d’un clip mettant en scène la célèbre chanson “Happy”.