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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La première étape pour être un bon parent est de savoir reconnaître son enfant… et Betty Sugrue, mieux connue sous le surnom de « Lady Betty » n’était pas ce genre de mère.
Cette veuve habitait seule dans la petite ville de Roscommun, vers la fin du 18e siècle. Son mari et son fils ainé étaient décédés alors que son 2e fils avait quitté l’Irlande pour fuir le tempérament belliqueux de sa mère.
Elle vivait maintenant seule et très pauvre, isolée telle une ermite depuis plusieurs années. Jusqu’au soir où un homme étrange frappa à sa porte et lui demanda asile pour la nuit.
La vieille femme lui répondit qu’elle n’était pas en moyens de le nourrir, mais l’homme sortit une pièce d’or de sa bourse et la tendit à Lady Betty. Elle n’avait pas manqué de s’apercevoir que la bourse de son visiteur était bien pleine et ne souhaitait pas ratée pareille occasion.
Elle le fit entrer et, alors que son visiteur dormait, lui trancha la gorge avec son poignard avant le lui enfoncé dans le dos. Lorsqu’elle vida ses poches, la vieille femme trouva des lettres et reconnut l’écriture de l’homme… c’était son fils qui était de retour au pays.
Malheureusement pour Lady Betty, son crime improvisé échoua : elle fut reconnue coupable du meurtre de son propre fils et condamnée à la pendaison.
Le jour de son exécution, elle aurait dû être pendue entre quelques voleurs de chèvre et un petit groupe de dissidents. Coup de théâtre, le bourreau n’est pas au rendez-vous.
Saisissant l’opportunité qui s’offrait à elle, Lady Betty proposa d’être bourreau et de pendre ses voisins d’échafaud si, en échange, sa vie était épargnée. À la grande surprise de tous, les juges acceptèrent et elle devint la première femme bourreau en Irlande.
Sa notoriété fut instantanée. Au cours de sa carrière, elle fit un nombre incalculable d’exécutions. Avec du fusain, elle dessinait chacune de ses victimes et conservait précieusement ces images. À sa mort en 1807, on retrouva les murs de son appartement tapissé de ses sinistres dessins.