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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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INTERACTIF. Effectifs des médecins : où ça grimpe ? Où ça baisse ?
Le nombre de médecins est en forte baisse en région parisienne, les praticiens cherchant une meilleure qualité de vie, notamment dans l'ouest de la France.
L'étude annuelle du Conseil national de l'Ordre des médecins montre de fortes disparités dans l'évolution des effectifs de médecins, l'ouest se taillant la part du lion.
C'est grave, docteur ?
Les effectifs de médecins continuent de baisser en France en 2015, de 0,2 % par rapport à 2014, selon l'étude annuelle du Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom), publiée mardi.
Un chiffre qui prend uniquement en compte les professionnels en activité régulière, c'est-à-dire travaillant au même endroit. La hausse enregistrée à la fin des années 2000, jusqu'à passer la barre des 200 000 médecins actifs et «sédentaires» en 2010, a ensuite marqué un coup d'arrêt pour décliner jusqu'à aujourd'hui.
Et ce n'est pas fini ! Ces effectifs «ont une forte probabilité de continuer de décroître d'ici à 2025», relève l'Atlas 2015 de la démographie médicale. Ainsi, la France devrait, au total, perdre plus de 2 200 praticiens en 15 ans.
Une baisse largement compensée par un nombre toujours plus important de médecins retraités (plus de 65 000 au 1er janvier), dont un sur cinq continue à travailler, et de médecins remplaçants (près de 11 000).
Mais la baisse est éprouvée plus durement dans certaines régions. Les Franciliens mettent le cap à l'ouest La tendance reste mauvaise dans plusieurs déserts médicaux connus : la Creuse, l'Indre, la Lozère, la Mayenne et surtout la Nièvre qui a perdu ces huit dernières années 15,5 % de ses médecins.
Au niveau régional, c'est l'Ile-de-France qui enregistre la plus forte baisse (-6 %) sur cette période, Paris et les Yvelines ayant perdu respectivement 8,2 % et 9,6 % de leurs médecins.
Entre 2007 et 2015, 1835 médecins ont quitté l'Ile-de-France, en particulier le département de Paris (40, 2% d'entre eux) où ils ont fui les prix de l'immobilier.
Ils ont rejoint principalement les régions Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Rhône-Alpes et Bretagne, à la recherche d'une meilleure qualité de vie.
L'Auvergne, la Haute-Normandie, la Lorraine et Poitou-Charentes ont globalement stabilisé leurs effectifs, même si la situation dans l'Allier, les Ardennes et la Charente continue d'inquiéter.
Les départements du littoral atlantique se sont, quant à eux, révélés très attractifs.
Pays-de-la-Loire a vu croître de 6 % le nombre de ses praticiens, la Loire-Atlantique de 11,7 % !
Un quart des médecins arrivant dans cette région ou dans la Bretagne voisine sont venus d'Ile-de-France.
Moins de généralistes, plus de femmes Les trois tendances lourdes de la démographie médicale se poursuivent cette année : plus de retraités, mais aussi plus de femmes et moins de généralistes.
Alors que les femmes représentent au 1er janvier 45 % du nombre total de praticiens, elles composent 58 % des effectifs de nouveaux médecins.
Chez les moins de 34 ans, elles sont presque deux fois plus nombreuses que les hommes, un rapport qui s'inverse chez les 60-64 ans.
Les médecins généralistes sont de moins en moins nombreux : 58 104 en 2015, un chiffre en baisse de 10,3 % depuis 2007. Le Cnom estime que la tendance va se poursuivre et la France devrait compter environ 54 000 généralistes en 2020.
Cette baisse touche les régions de manière inégale. C'est en Ile-de-France que l'on constate la plus forte diminution des effectifs : - 17,1 % depuis 2007.