Thèmes

enfant enfants heureux dieu vie moi amour mer mort aimer

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

poème

Publié à 14:07 par fandeloup Tags : enfants heureux dieu vie moi amour mer mort aimer
poème

Jusqu’à ce que la mort nous sépare:

Tant de choses accomplies durant ces années. Nous avons survécu aux tempêtes déchainées, Sans jamais avoir cessé de douter. Notre résilience face au temps... Est-ce qui a fait notre union en vieillissant. Mais notre vigueur nous a abandonné, Sans même nous avoir avisé. Finissant notre vie comme deux petits vieux sur un banc, Savourant leur dernier instant. Se blottissant tendrement l’un contre l’autre face à la mer, Attendant gentiment l’éternel sommeil qui nous mènera vers cette douce lumière. Je repense avec nostalgie à notre première rencontre, Tu te souviens ? De gouter à mes lèvres, tu n’avais rien contre. Nous étions jeunes et beaux, Dansant maladroitement un slow. Mes pieds s’en souviennent... Peu importe, je suis devenue tienne.  Ne t’endors pas encore, Sers-moi fort... tenons jusqu’à l’aurore. Je veux continuer à te parler, Jusqu’à ce que mes forces viennent à m’abandonner. Dieu... qu’il est difficile de s’en aller même pour des antiquités. Promets-moi que dans l’au-delà, nous continuerons à nous aimer. Mon amour.. Fais-moi une dernière fois la cour. Si tu savais comme je t’aime... Il n’y a toujours eu que toi dans mon cœur de bohème.