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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une jeune femme lynchée pour avoir bronzé en maillot de bain dans un parc de Reims
Une femme de 21 ans qui prenait un bain de soleil dans un parc, à Reims, a été rouée de coups par cinq agresseuses qui estimaient sa tenue indécente et contraire à la morale.
Profiter du soleil lorsqu'on est une femme va-t-il devenir une activité à éviter ?
Une rémoise de 21 ans, qui avait décidé de prendre un bain de soleil mercredi au parc Léo Lagrange de Reims a en effet été passée à tabac pour ce motif, rapporte le quotidien régional L'Union. Accompagnée de quelques amies, elle bronzait tranquillement lorsque des jeunes filles originaires de différents quartiers de la ville passent à proximité.
L'une d'elles l'interpelle en lui disant que sa tenue est indécente, contraire à sa morale et à sa conception des bonnes mœurs. La jeune femme se rebiffe en expliquant qu'on n'a pas à lui dicter sa façon de se vêtir. Tout le groupe fond alors sur la jeune fille en maillot de bain pour la rouer de coups.
Des témoins lui portent secours et alertent les pompiers. Bilan du passage à tabac : quatre jours d’incapacité totale de travail. L’enquête de la brigade de répression des violences a permis d’identifier les cinq filles, dont deux mineures.
La première, 16 ans, a fait l’objet d’une convocation devant le délégué du procureur tandis que la seconde, 17 ans, a été placée sous le statut de témoin assisté.
Les trois autres âgées de 18, 19 et 24 ans seront jugées le 24 septembre par le tribunal correctionnel.
Affaire du maillot de bain: pas de motivation religieuse, selon le parquet de Reims
«Allez vous rhabiller, c'est pas l'été». C'est la petite phrase qui aurait déclenché l'altercation.
Difficile de saisir les tenants et les aboutissants de «l'affaire du maillot de bains» de Reims (Marne), au lendemain de sa révélation. Hier, le quotidien régional L'Union affirmait qu'une jeune femme avait été rouée de coups par cinq autres, dont deux mineures, dans le parc Léo Lagrange, où elle profitait du soleil en maillot de bain mercredi, en compagnie de deux amies.
Reims : rouée de coups parce qu'elle bronzait en maillot dans un parc Et le journal de préciser que, « effarée par un tel discours aux relents de police religieuse», la victime s'était rebiffée «en rétorquant qu’on n’a pas à lui dicter sa façon de se vêtir».
Sur les réseaux sociaux et dans les commentaires d'articles, les réactions se sont multipliées pour dénoncer le fait qui pouvait se déduire de cette expression de « police religieuse » que la jeune femme avait été critiquée puis agressée pour des motifs religieux. Plusieurs personnes se sont retrouvées dimanche à l'appel de SOS Racisme au parc Léo Lagrange à midi, en maillot de bain malgré la fraîcheur, pour témoigner de leur volonté de s'habiller librement.
Et un peu avant 16 heures, le hashtag #JePorteMonMaillotAuParcLeo est toujours en tête des mots clef utilisés sur Twitter, les internautes postant des photos d'eux en bikini, une-pièce ou short, en signe de soutien.
Mobilisation en maillot de bain après l'agression d'une jeune fille Pourtant, affirme le parquet de Reims ce dimanche, « ni la victime ni les auteures des coups n'ont fait état, lors des auditions, d'un mobile religieux ou d'un mobile moral qui aurait déclenché l'altercation ».
Selon l'Union, l'une des cinq filles a interpellé la jeune femme en disant « allez vous rhabiller, c'est pas l'été ! ».
S'il ne semble pas y avoir eu d'altercation sur fond de religion, c'est bien la tenue qui a noué la bagarre. Sur Facebook, Z., une adolescente, a posté un message dans lequel elle dit être la « mise en cause ».
« Soi-disant, nous sommes de la police islamique, non mais allô, il faut tout simplement arrêter de raconter de la m... », écrit-elle en paraphrasant la phrase culte de Nabilla.
Mais, si elle dénonce les erreurs factuelles qui ont selon elle été diffusées, elle n'explique absolument rien de l'altercation qui l'a opposée à la jeune femme avec son groupe d'amies. Elle affirme que si sa «victime» a reçu quatre jours d'interruption de travail, elle, s'en est vu prescrire dix.
BuzzFeed France fait témoigner une autre des jeunes filles, celle âgée de 19 ans. «J’étais en effet avec trois amies et ma petite sœur mercredi vers 16h30, quand nous sommes allées au parc Léo Lagrange. Nous sommes passées devant trois filles en maillot de bain et j’ai juste dit à ma copine que si c’était moi, je n’oserais pas me mettre dans cette tenue. Mais j’ai dit ça car je suis complexée, absolument pas pour des questions religieuses ou morales. Je suis musulmane oui, mais tolérante», raconte-t-elle.
«Lorsque l’une des trois filles m’a entendue parler, elle m’a interpellée pour me dire qu‘avec mon physique, elle comprenait que je n’ose pas me mettre en maillot. Elle a également dit que j’étais grosse. Je suis allée vers elle pour lui donner une gifle, puis elle s’est battue avec mon amie.
À partir de là, j’ai tout fait pour les séparer. Elles se sont battues seulement toutes les deux, avant que des témoins puis un policier en civil ne s’interposent». Elle doit comparaître le 24 septembre prochain devant le tribunal correctionnel de Reims, de violences en réunion. Selon elle, son amie Z. a été agressée à plusieurs reprises samedi après la parution de l'article et l'emballement qui s'est ensuivi.
J'ai lu ça dans la presse, scandaleux.
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