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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Expérimentation animale : des chiens sacrifiés inutilement pour Biotrial
En plus d’avoir provoqué la mort d’un patient et de graves lésions sur d’autres, un même médicament a aussi tué des chiens sur lequel il avait été testé.
Une preuve de plus qui montre combien l’expérimentation animale est vaine.
- La majorité des beagles sert à tester des médicaments Morts inutilement pour la science. Un mois après le décès d’un volontaire et de graves lésions sur d’autres patients lors d’un essai pré-clinique à Rennes, l’ANSM * vient de révéler que les molécules testées sur ces patients avaient d’abord été expérimentées sur des chiens, provoquant la mort de certains d’entre eux (25/02/2016).
Sur 50 chiens, des doses beaucoup plus élevées que chez l'Homme ont été utilisées « et pendant beaucoup plus longtemps, qui peuvent aller jusqu'à des doses létales (mortelles) », explique François Hébert, directeur général adjoint de l'ANSM au journal Le Figaro.
Et ce, conformément aux tests toxicologiques qui commencent tous par tester les doses qui seront létales pour les animaux(La dose létale médiane « DL50 » cause la mort de 50 % des animaux et la DL100 engendre la mort de 100 % des sujets).
Malheureusement, ce genre de tests fatals pour les animaux, est quotidien dans les laboratoires pratiquant la vivisection, comme le confirme froidement le directeur du laboratoire Biotrial, qui a réalisé l'essai clinique sur les humains :
« Le fait que des animaux meurent dans des études de toxicologie, c'est le principe même des études de toxicologie ».
LES ANIMAUX NE SONT PAS DES MODÈLES POUR L’HOMME
Bien que l’ANSM s’en défende en indiquant ne pas avoir retrouvé « chez l'animal de lésions neurologiques ressemblant à celles observées chez l'Homme », cet accident est une preuve supplémentaire que les tests réalisés sur les animaux ne sont pas transposables sur les humains.
Quelques chercheurs osent d’ailleurs le dire publiquement : « L'homme n'est pas un rat de 70 kg » ironisait en 2009 Thomas Hartung, toxicologue, dans la revue Nature. D’ailleurs, les preuves ne manquent pas :
« Le formaldéhyde est plus cancérigène pour les rats que pour les souris, le persil tue le perroquet mais a des propriétés anti-cancérigènes pour l’humain, les amandes sont toxiques pour le chien, le pigeon et le lapin, alors que ces animaux peuvent ingérer une dose de belladone qui tuerait l’homme. » cite Audrey Jougla, dans son livre Profession : Animal de laboratoire (Autrement éditions, 23/09/2015). Mais ce n’est pas tout, le paracétamol ou l’aspirine sont fatals à la souris ou au chat. La thalidomide, donnée comme anti-nauséeux aux femmes enceintes, a été responsable, entre 1957 et 1960, de dizaines de milliers de malformations congénitales ; elle avait pourtant passé avec succès les tests sur la souris (mais aussi sur le hamster et la poule). En bref, il semblerait que 95 % des molécules jugées prometteuses chez le rongeur échouent lors des essais cliniques. Autrement dit, une espèce ne peut pas être considérée comme le modèle biologique d’une autre, malgré des similitudes de réactions lors de certains protocoles. « La transposition du modèle animal à l’Homme n’étant que de 30 %, c’est pire que de jouer à pile ou face ! » explique Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis. UN SUPPLICE POUR LES CHIENS En France, on dénombrerait 3.032 chiens cobayes dans les laboratoires. Les races les plus utilisées ? Les beagles et les golden retriever, connus pour leur naturelle gentillesse.
« La majorité des beagles sert à tester des médicaments. On leur en fait avaler deux ou trois fois par jour, en leur mettant une sonde dans l'estomac, sans analgésique, ni anesthésie » décrit André Ménache dans le JDD. La journaliste Audrey Jougla, qui a visité un de ces laboratoires, décrit « J’y ai vu des animaux qui souffraient énormément.
Plongés dans un univers d’aboiements et de cages métalliques, leurs contacts avec les humains étaient réduits au minimum. Les chiens aboyaient, inlassablement, approchant leur tête vers ma main, depuis leur cage. Avec leurs collerettes et leurs bodys, et leur suffocation ».
SIGNEZ CONTRE LA VIVISECTION
La Fondation 30 Millions d’Amis rappelle que chaque année, ce sont plus de 12 millions d’animaux qui sont sacrifiés sur l’autel de la science en Europe. Elle finance donc le développement de méthodes substitutives à l’expérimentation animale (Programme Valitox avec Pro Anima) et organise le sauvetage d’animaux de laboratoires pour les réhabiliter. Rejoignez aussi les 195 000 personnes qui réclament l’interdiction définitive de l’expérimentation animale en signant notre pétition.
*ANSM : l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé