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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Ce n'est pas mon drapeau.
Le Lévrier
Il L'a laissé mourir à l'agonie, avec ses tripes qui planant son malheur. Ils l'ont oublié, comme si de rien n'était, comme si ce qu'il ressent et qu'il ne parle pas. Avec sa beauté, malgré l'habileté du bourreau. Pas d'identification, pas de caresses, et sans rien, juste un collier comme drapeau : Rojigualda.
Portant les couleurs de l'Espagne, teintée de sang et d'injustice, qui tue le lévrier et le bannit, de son monde de lumière imaginaire. Là, le lévrier, avec son sang, évanouissait les valeurs d'un pays qui devrait, accueillir le lévrier dans sa bannière. Mais il est tard, et il reste, immobile et sans défense, sans être personne.
Il ne restera que de lui, un collier, mettant la douleur de tant d'autres qui ont perdu la vie sur l'asphalte. Je ne veux pas de ce drapeau, si la scène se répète. Et se répète, malheureusement, chaque jour, sous la peau de taureau ou sous un arbre, sur le bas-côté, la route, ou dans le planque, dans le puits, dans le fossé, Et dans la misère de n'importe quel mercenaire.
Tous les mêmes, complices et assassins, de cette Espagne qui ne change pas et se protège avec ses couleurs à celui qui a appuyé sur la détente, qui mâchoires la corde, qui signe les lois, et accorde les faveurs en oubliant les défavorisés. Maudits soient les permissifs qui, par manque de conscience, ne font rien, en permettant aux lois de vous protéger d'un crime continu de maltraitance. Et il n'y a pas de traitement, de victimes ou de bourreaux.
Choisir l'extrémité de la corde. Et tirer de la morale, de l'empathie, de la conscience que rien ne vous appartient, juste le fauteuil qui vous tient aujourd'hui, dont vous pouvez aussi vous rentrer demain. Assez d'hypocrisie, vous aussi, vous êtes galgueros.