humour lecture bébé bonne sur nuit musique livre voiture vie
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un pédiatre livre sa méthode infaillible pour calmer un bébé en pleurs
S’il est tout à fait normal que votre nourrisson pleure, il n’est évidemment pas question de rester les bras croisés en attendant que ça passe! Dr Hamilton est pédiatre depuis 40 ans.Il livre sa méthode infaillible pour calmer un bébé en pleurs.
Le secret est simple.
Retenir et incliner :Il faut tenir le bébé ;lui croiser les bras sur le torse, poser la mains doucement sur les bras de bébé pour lui retenir les bras et le menton. Avec l’autre main saisissez le bébé par-dessous la couche et inclinez-le de 45° vers l’avant. Les cris cessent immédiatement. A ce moment-là bercer le dans cette position. En effet le bébé a juste retrouvé sa position fœtale qui le rassure.
1. Il pleure ?
Intervenez au plus vite Il est heureusement loin le temps où on laissait hurler un tout-petit afin qu’il se « fasse » les poumons. Si à partir de 3 mois, et encore davantage au-delà de 6 mois, vous pourrez vous autoriser à différer sa réponse de quelques minutes, il est impératif les premiers mois d’intervenir au plus vite quand il vous appelle avec ses cris. Ses pleurs sont une ébauche de communication : ne pas lui répondre, c’est refuser l’échange. Si vous le laissez pleurer trop longtemps, il ne saura plus exactement pourquoi il pleurait au début et il deviendra presque impossible de le calmer. Agir, tenter quelque chose, même si cela ne marche pas tout de suite, vous aidera à mieux supporter ses pleurs.
2. Éliminez les causes médicales aux pleurs
Avant toute chose, il faut bien sûr vous assurer que votre bébé ne souffre pas. Toute manifestation de cris différents de ceux qu’il pousse habituellement (notamment s’ils sont très aigus, qu’ils surviennent brutalement en pleine nuit, ou qu’ils ressemblent à des geignements continus) doivent vous amener à consulter un médecin. Même chose si votre tout-petit est fiévreux, tousse, a le nez qui coule, vomit ou présente des selles liquides.
3. Bébé en pleurs :posez-vous les bonnes questions
La faim, la fatigue, le besoin de proximité, le besoin de téter, l’inconfort (il a froid, il a chaud, il est mouillé), l’ennui… A elles seules, ces six raisons expliquent une grande part des pleurs des nourrissons.
Cas pratique : votre bébé entame un concert de lamentations… inutile de lui proposer, en moins de cinq minutes, un biberon (surtout s’il vient de manger), sa sucette, de le changer, etc. Il ne s’y retrouverait plus… et pleurerait encore plus !
Mieux vaut vous poser calmement les bonnes questions.
Quand a-t-il mangé pour la dernière fois (faim) ?
Est-il sale (inconfort) ?
Est-il trop ou pas assez habillé par rapport à la température (inconfort) ?
Si je lui donne mon pouce à téter, est-ce qu’il se calme (besoin de téter) ?
Est-il tout seul dans son transat depuis plus de dix minutes (ennui) ?
Vient-il de fixer intensément son mobile depuis plus de cinq minutes (fatigue) ?
Aucune de ces questions n’apporte une solution efficace à ses pleurs ?
Prenez votre bébé contre vous. Il a sans doute besoin d’être au contact de votre chaleur corporelle (besoin de proximité).
4. Ne boudez pas les « trucs » anti-pleurs
Les « y a qu’à » des copines, les « faudrait » des mères sont souvent irritants. Mais dans le lot, il y a parfois de bonnes idées. Voici quelques grands classiques… et d’autres, plus farfelus. Menez votre enquête auprès de votre entourage sur les astuces anti-pleurs. Cela dédramatisera la situation. Et qui sait, vous découvrirez peut-être des perles ! Une berceuse tendrement chantée à l’oreille de votre tout-petit.
Un morceau de mudique classique en sourdine. Un doux massage du ventre pour soulager les bobos d’une digestion encore hésitante. Une bouillotte pas trop chaude sur le petit ventre, pour les mêmes raisons. Un tour (ou plusieurs) du pâté de maisons en voiture ou en poussette. Des allers-retours dans l’ascenseur. Faire souffler le sèche-cheveux sur son ventre ou ses jambes (à une distance raisonnable et à condition qu’il ne soit pas trop chaud). Brancher l’aspirateur (s’il n’est pas trop bruyant) à côté de lui. L’enrouler dans une peau de mouton. L’installer dans une boîte en carton garnie d’une couverture, dans laquelle sa tête et ses pieds touchent les côtés. Faire couler le robinet d’eau à côté de lui. Lui donner un bain tiède.
5. Acceptez qu’il pleure !
Intervenir ne veut pas dire réussir ! Malgré toute votre bonne volonté, il se peut que votre bébé en pleurs n’arrête pas. Et ce ne sera pas un drame ! Une certaine quantité de pleurs est nécessaire à son bon développement. Ne serait-ce que pour évacuer toutes les tensions accumulées au cours d’une journée. Pleurer fait baisser la tension artérielle, élimine les toxines, relâche les tensions musculaires, rétablit la respiration. Bref, ça calme ! Alors si aucune des réponses proposées ne l’apaise, laissez-le pleurer, c’est qu’il en a besoin. Il se peut aussi que votre « gros pleureur », vous empêche de dormir la nuit et vous épuise. Dans ce cas aussi, laissez-le un peu seul face à ses larmes. Car il faut tout faire pour éviter cette situation où, à bout de nerfs, vous pourriez perdre votre sang-froid.
Isabelle Gravillon avec Anne Bacus, psychologue.