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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Accusation de "viol" entre élèves de maternelle
La brigade des mineurs de Paris a été saisie pour une affaire de "pénétration digitale" entre enfants de quatre ans dans leur école maternelle, après le dépôt d'une main courante à la mi-septembre. Comment cette terrible affaire se traduira-t-elle sur le plan judiciaire ?
La brigade des mineurs de Paris a été récemment saisie pour des soupçons de "viol en réunion" impliquant des enfants de quatre ans, élèves en moyenne section de maternelle. Selon Le Parisien, une personne a déposé en début de semaine une main courante au commissariat du XIIIe arrondissement de Paris, en affirmant qu'une fillette de quatre ans avait été victime d'un "viol" à la mi-septembre dans la cour de son école maternelle. Pas la première fois ?
Prise à part par trois autres élèves sous une structure de jeu, elle aurait été dévêtue, avant de subir une "pénétration digitale". Pire, elle aurait subi ce même type d'agression à deux reprises l'an dernier, par deux autres camarades.
"Ce type d’actes n’est pas fréquent, mais pas exceptionnel non plus, nuance auprès du quotidien francilien Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE). On est à l’âge des premiers émois. A un stade de développement où la curiosité émerge, notamment au niveau sensoriel et sexuel." Jamais de poursuites à cet âge "
Là où il y a problème, c’est quand on a affaire à un phénomène de groupe, dans une forme de surenchère émotionnelle, poursuit-elle. Il faut alors comprendre comment un groupe d’enfants, aussi jeunes, peut en abuser un autre sans qu’il n’y ait eu de prise de conscience du milieu éducatif ou parental."
A travers ces comportements, les enfants ne reproduiraient-ils pas des gestes qu'un adulte leur aurait fait subir ou auxquels ils auraient assisté ? L'enquête devra permettre de lever ces doutes. Dans la pratique, les parquets n'engagent jamais de poursuites contre des enfants si jeunes.