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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
C'est prouvé : les animaux nous soignent
Pourquoi faut-il se reconnecter aux animaux ?
Baisse de la mortalité Une étude récente vient de révéler que vivre avec un chien augmentait l’espérance de vie, en réduisant de 24 % le risque de mortalité, toutes causes confondues. Plus précisément, les maîtres de chiens ont une bien meilleure santé cardio-vasculaire, notamment ceux ayant déjà eu une crise cardiaque ou un AVC.
« Vivre avec un chien s’accompagne toujours d’une augmentation quotidienne d’exercices physiques, d’une pression artérielle plus faible et d’un meilleur taux de cholestérol », a rapporté Caroline Kramer, endocrinologue, professeur de médecine à l’université de Toronto. Et d’ajouter « En tant qu’adoptante d’un chien moi-même (un Schnauzer nain baptisé Roméo), je peux vous dire qu’il a augmenté ma dose d’activités physiques quotidiennes certes, mais qu’il a aussi rempli mon quotidien de joie et d’amour inconditionnel ».
Serait-ce cela le plus important ?
Hausse de l’hormone du bonheur Car on sait aujourd’hui qu’un simple contact visuel avec son animal de compagnie, chien ou chat, augmente, chez les deux intéressés, le taux d’ocytocine, un octopeptide synthétisé par l’hypothalamus.
Ce sont des chercheurs japonais qui l’ont démontré à travers une étude publiée en 2015 dans le magazine Science. Or cette hormone, quand elle est élevée, favorise l’attachement aux autres, notamment celui d’un nourrisson à sa mère (et inversement). Elle favorise aussi la confiance, l’empathie et la générosité.
La fixation de l’ocytocine sur ses récepteurs (dans le noyau accumbens) induit même la libération de sérotonine, qui entraine la relaxation et la bonne humeur. Des études sont d’ailleurs actuellement en cours pour étudier les effets bénéfiques de l’ocytocine dans certains cas d’autisme, de phobies sociales, de peurs et de dépression. Ce qui expliquerait pourquoi de plus en plus de thérapies incluant des animaux voient le jour pour aider les personnes handicapées, les autistes et les personnes âgées.
Ondes de relaxation
On sait aujourd’hui que le ronronnement d’un chat, formé de sons très graves de 25 à 50 hertz, permet de consolider physiologiquement les fractures, de soigner l’arthrose ou d’accélérer les processus de cicatrisation. En parallèle, d’un point de vue psychologique, « tout se passe comme si l’émotion déclenchée par l’écoute du ronronnement entrainait la production, ou du moins le relargage de sérotonine, avec pour effet un état de sérénité qui débouche sur une phase de pré-sommeil lent », explique le Dr Yves Gauchet, vétérinaire, dans son livre Mon chat et moi , on se soigne ! (Editions Le Courrier du Livre).
Au final, se détendre avec un chat qui ronronne contre soi entraîne : une décontraction cutanée, musculaire et mentale, un apaisement émotionnel, une aide à l’endormissement. Et Yves Gachet de conclure : « La ronronthérapie reste une assistance, un coup de pouce et un réconfort, mais elle est économique, efficace et sans danger. Il n’y a vraiment pas de raison de s’en priver. » Renforcement du microbiote
De plus, vivre au contact d’un animal pourrait enrichir le microbiote de l’être humain, ces précieuses bactéries qui vivent en symbiose avec lui et influent sur sa santé. Les humains et les animaux ont les mêmes populations de bactéries, mais dans des proportions différentes. Si nous les hommes, nous déséquilibrons notre microbiote à force de stress, de surmenage, de mauvaise alimentation, nous pourrions le rééquilibrer au contact des animaux.
Une étude américaine publiée en 2018, et portant sur 27 familles sur le point d’adopter un chien, a montré que l’environnement s’était ensuite enrichi des bactéries apportées par l’animal. Notamment des bactéries qui limitent le développement de l’asthme et des allergies chez les humains et qui stimulent l’immunité en général. Une autre étude, canadienne cette fois, a montré que des enfants en bas âge évoluant au contact d’animaux de compagnie, avaient, grâce à l’enrichissement de leur microbiome (avec 2 bactéries notamment : Ruminococcus et Oscillospira), un risque plus faible de surpoids et de maladies allergiques plus tard.
Notre dernier lien avec la nature
D’une façon générale, tout ce qui a éloigné l’homme de la nature a appauvri la diversité bactérienne de son microbiote. Vivre en ville, au milieu du béton et du goudron, nous a clairement éloigné de la terre qui contient plus d’un million de bactéries par gramme. Voilà pourquoi une activité comme le jardinage est particulièrement bénéfique, notamment chez les personnes âgées. Tout comme la compagnie des animaux de compagnie qui, en nous reconnectant à la nature, nous transmettent leurs bonnes bactéries. Un rapport de la Plateforme Intergouvernementale sur la Biodiversité et les Services Ecosystémiques (IPBES), publié l’année dernière montrait clairement que santé humain, santé animale et santé environnementale ne peuvent plus se concevoir les unes sans les autres.
« La biodiversité (faune et flore) et notre contact avec elle, est déterminante pour l’efficacité du microbiote humain », résume-t-on à l’Inserm. Bonnes vibrations Tous les êtres vivants sont normalement connectés à la vibration de la Terre (autour de 8 Hertz). Les animaux y sont plus sensibles que nous et peuvent détecter des changements de fréquences infimes, comme ceux générés par les tremblements de terre par exemple. Les humains eux, perdus dans leurs ruminations mentales, leurs angoisses et leurs émotions, évoluant de surcroît dans des cités en béton, ont progressivement perdu cette connexion.
« Comme pour les séismes, les animaux sont capables de capter nos changements d’humeur qui se traduisent, eux aussi, par des changements de biorythmes. Si on est triste ou faible, ils viennent se coller à nous pour nous réconforter et réharmoniser notre fréquence. Un peu comme un praticien de Reiki en somme », explique Miky Lagadec, Gong and Reiki Master. Sachant qu’il faut environ 3 minutes pour que le contact d’un animal modifie la fréquence énergétique de l’humain auquel il se colle… L’intelligence et les émotions d’un enfant On découvre aujourd’hui que la plupart des animaux de compagnie ont l’intelligence d’un enfant de 2 ans et demi. Dans son livre « Dans la peau des bêtes » (Editions Plon), Aline Richard Zivohlava rappelle qu’avec ses 530 millions de neurones corticaux, le chien est capable d’utiliser les informations qu’il reçoit pour planifier les actions et se les rappeler.
En 2017, une étude de l’université de Plymouth au Royaume Uni a même montré que l’expression faciale des chiens variait en fonction de l’audience. Quand les humains les regardaient, les 24 chiens produisaient des mimiques comme hausser les sourcils alors que seuls, ils s’en abstenaient. Les chiens pourraient deviner les pensées de leur maître, assimiler un vocabulaire de 1000 mots et choisir l'apprentissage par l'imitation, comme les bébés humains ou les chimpanzés. Les scientifiques confirment en fait ce que les parents d'animaux domestiques savent déjà : nos amis sont plus intelligents que ce que la société veut bien nous faire croire.
Communication inter-espèces
D’ailleurs, depuis peu, une série de start-ups de la Bay Area a levé des fonds avec la promesse d'aider à la communication entre humains et animaux. Leur solution : créer des interfaces de lecture de leurs émotions et de leurs pensées via des bandeaux de neuromodulation (pour amplifier les signaux électriques de leurs cortex préfrontal). L'intelligence artificielle permet ensuite de croiser ces données avec les informations visuelles (mouvements de queue ou d'oreille) et les sons (aboiements). Ces systèmes non-intrusifs (pas besoin d'implants) permettraient de mesurer en temps réel, via une appli, le bien-être réel de nos animaux de compagnie.
"On pourrait imaginer un langage d'emojis, qui traduirait leurs émotions, leur état de bien-être, leurs sensations. Avec des données analytiques, on pourrait aussi prévoir leurs intentions, ou anticiper leurs futurs soucis de santé", explique l'investisseur Merkle. Son objectif est de faciliter la communication avec les vétérinaires et de donner à ses amis à quatre pattes un pouvoir de décision quant à leur propre vie. Comme le résume la chercheuse Eva Meijer :
"Bien sûr, les animaux parlent. Le problème, c'est qu'on ne les écoute pas". Bien-être animal Le contact avec les animaux devient une telle source de bien-être pour l’humain qu’une nouvelle branche du tourisme est en train d’émerger. Airbnb propose déjà plus de 1000 expériences avec plus de 300 espèces -accompagnées des défenseurs des animaux- pour permettre aux citadins de renouer avec la nature.
On peut faire de la randonnée avec des chiens de sauvetage, se détendre avec les alpagas, partir à la découverte des renards polaires. Ces nouvelles expériences reposent sur une charte de protection des animaux très sérieuse, élaborée par l’organisme World Animal Protection. « Nous pouvons ainsi vous garantir que les voyageurs disposeront de nombreuses options pour découvrir la beauté des animaux, d’une manière qui tient compte, avant tout, du bien-être de ces derniers », explique Alesia Soltanpanah, directrice de World Animal Protection.
Les mammifères marins par exemple, ne doivent jamais être en captivité et bien entendu, aucun contact n’est permis avec les animaux sauvages. En Bretagne, le Château du Launay propose ses premières retraites « Détox et Equithérapie », pour travailler, au contact des chevaux, sur l’acceptation de soi, la communication et la confiance en soi. chateaudulaunay
C'est prouvé : les animaux nous soignent