Fandeloup

Des vagues d'océan dans mes larmes Sur les ondes d'une eau plutôt calme Ma pensée voyage comme un voilier Dans ses voiles le vent trame Sur sa coque l'eau vient se fracasser

Comme une vague, Je vais et viens. Mes pensées divagues, Mes larmes, je les retiens. J'ai mal au coeur, Envie de t'appeler, Arrêter les heures Qui ne font que défiler. Composer ton numéro, Entendre ta voix, Rire avec les échos etre là, toi et moi. Je voudrais m'envoler Et venir tenir ta main, mais je reste désolée Attendant en vain.

Je suis là et je pleure .Je donnerai mon coeur, Pour que tu puisse ouvrir Les yeux ,et enfin sourire. Je suis là et j'espère ,Que ta voix vienne à moi .Mon chagrin m'enterre. Mes mon espoir y croit!"

Un ange veille sur toi Il est envoyé par moi. Dors, si tu dois te reposer Laisse la fatigue passer Mais ne te laisse pas emporter Ton heure n'est pas arriver

Tu parcourrerai le monde Pour rejoindre ton amour Sauterai par dessus le feu Pour être vers ton bien aimé Tu puiserai l'eau de l'océan T'envolerai dans l'espace Creuserai à travers les plaines Pour le rejoindre dans le désert

Verser des larmes encore et encore Au point d'avoir trop mal au coeur, Les refouler doucement de la main Les essuyer d'un geste calin, Regarder loin devant moi Les yeux humides pour toi, Te cherchant encore dans mes pensées Revoyant tes messages tous effacés Si je remplissais un seau en bois De ses larmes qui coulent en moi Chaque larmes versée depuis Les matin ou même les nuits Je pourrais les vider dans l'Océan Elles disparaitront dans le néant En se mélangeant aux eaux iodées Comme les vagues au goût salé Verser des larmes encore et encore Au point d'avoir trop mal au coeur!

Un oiseau qui tournoyait par là Perdit une plume qui tomba, Tout près d'un homme assit Au pied d'un arbre veilli Un immense arbre, trés agé L'homme se saisit de la plume Dessina sur la terre l'ombre De l'oiseau: un aigle royal Il termina son dessin en posant La plume sur l'arrière de l'aigle Dessiné en sable du desert. L'oiseau descendit se poser sur une branche du chêne Et s'endormit au près de l'homme. L'oiseau c'est approché de lui Et l'homme est devenu son ami.

La lune est déja là, dans le ciel Le loup hurle dans la nuit Mes yeux cherchent la lumière Celle qui guide mon chemin. Ca lueur couleur du miel A l'horizon, me suit Je longe la rivière Qui mène au lointain. J'aime me promener le soir Pour voir la lune se lever Entendre le loup des forêts Et sentir le vent dans mes cheveux Souvent je me perd dans le noir Mais je sais me retrouver Guidée par les bruits discrets Ce sont des instants heureux Je voudrais vivre avec les loups Comprendre leur langage Hurler sous la lune la nuitEt chasser la biche perdue Et j'aimerai beaucoup Voir toutes ces bêtes sauvages Celles qui vivent la nuit Et qui fuient ma vue.

Une jolie colombe blanche Descendue de sa branche Est venue se posé près de moi. Avait elle pour moi un message? Je l'ai approché de mon visage Et carressé du bout des doigts. Parle moi bel oiseau Dis moi quelques mots Je la regarde dans ses yeux noirs Que pourrai je dont bien y voir? Je cherche en elle l'impossible Voit elle que je broie du noir? Que ce soit le jour ou le soir Et cherche une nuit paisible. En boule dans ma main l'oiseau avait un peu faim Je lui donne du pain Qu'elle picore sans fin Et j'embrasse son bec Elle va reprendre son vol Partir me laissant seule Dans mes pensées Ce n'est pas lui qui l'envoie Elle n'est pa venue pour moi. Je lève l'oiseau au ciel Qui d'un battement d'aile S'envole sans rien dire Encore une fois j'aurai révé Qu'un message soit arrivé Juste pour espérer un peu

Les rêves Plonger dans un sommeil Quand se couche le soleil Pour rejoindre Morphée Et pouvoir enfin rêver Voyager dans un monde iréel Comme est celui du virtuel Ce souvenir de tous ses rêves Jusqu'au moment ou on se lève Et qui nous ont transporté la nuit Dans un monde qui s'enfuit Un monde si imaginaire Parfois même sanguinaire Ou bien très romantique Qui nous rend poètique Ces rêves qui veulent parler Qui peuvent nous rêveler Ce qu'est notre avenir A nous de s'en souvenir Ces moments imaginaires Qu'on vit en solitaire Ces rêves qui nous transportent Et qui nous ouvrent les portes D'un monde inconnu Ou l'ame est à nue!