Fandeloup

Dans un dernier souffle je m'abandonne comme un faible écho qui résonne mon cœur s'arrête de battre lentement .Je quitte mon corps définitivement ,mon âme s'échappe dans un nuage pour atteindre d'autres rivages ,elle longe un étroit tunnel puis découvre un nouveau ciel ,quelques silhouettes s'avancent et me font entrer dans la danse ,une ronde faite d'insouciance ,de bonté et de bienveillance ,au loin j'entrevois une lueur qui semble empreinte de douceur, je me dirige inexorablement vers elle, je baigne dans un amour puissant et immortel

Je suis une âme perdue échouée sur cette terre .Je suis un ange déchu échappé de l’enfer

Qui saura voir mon véritable MOI que je pourrai exposer sans gêne.. Qui acceptera mes peines et mes joies et m'aimera quand même ?

Viens dans mon monde explorer mon espace juste une seconde avant que tout ne s'efface ,viens sans crainte unir nos tristes destins, laisser une empreinte sur les lignes de ma main

C'est la musique du bonheur qui adoucit toutes les âmes et éloignant le malheur. En rythmique, il le proclame..

Les singes de titi se réunissent pour renforcer les obligations sociales

Le sourire n'a pas d'âge

Un petit veau écossais.

Nordahl Lelandais : les charges s’accumulent

Nordahl Lelandais est soupçonné d’attouchements sexuels sur une enfant de sa propre famille. DR Une vidéo retrouvée dans un des téléphones portables du suspect de l’affaire Maëlys et de l’affaire Noyer montre une agression sexuelle sur une petite cousine de 7 ans.

Combien de sordides secrets recèle Nordahl Lelandais ?

L’ex militaire est désormais soupçonné d’attouchements sexuels sur une enfant de sa propre famille. L’ancien maître-chien, âgé de 35 ans, qui a déjà avoué le meurtre de Maëlys, 9 ans, enlevée au petit matin d’une fin de noce le 27 août 2017 à Pont-de-Beauvoisin (Isère), et mis en examen du chef d’assassinat dans l’affaire du caporal Arthur Noyer, tué le 12 avril 2017 dans la région de Chambéry (Savoie), a été confondu par ses téléphones portables une fois de plus, comme l’a révélé BFM.

Des téléphones devenus « les véritables fils conducteurs » de l’enquête.

Une cellule dite Ariane tente de remonter le temps et le parcours de vie de l’ancien militaire et d’évaluer s’il peut être impliqué dans d’autres affaires criminelles.

La fille de sa cousine

L’exploitation par les gendarmes de ces deux appareils sur lesquels il consultait régulièrement, notamment des sites pédopornographiques comme le Parisien- Aujourd’hui en France l’avait révélé en mars 2018, a permis de retrouver une vidéo dans laquelle sa petite-cousine, agée de 7 ans, subit des « caresses interdites ». « On y voit une main », raconte une source proche du dossier. Une main aux gestes déplacés qui pourrait être celle de Nordahl. La jeune victime est la fille de sa cousine qui réside dans le Gard. L’enfant avait séjourné quelques jours durant les vacances d’été dans la famille Lelandais peu de temps avant la disparition de Maëly. 

Le domicile de Nordhal Lelandais et des ses parents a été perquisitionné.

 La petite victime a été formellement identifiée tout comme les lieux du tournage, à savoir le domicile familial de Nordahl Lelandais à Domessin (Savoie). Ce mercredi, pour pouvoir comparer les lieux avec ceux aperçus furtivement dans la vidéo, le suspect a été extrait de sa cellule de l’Unité hospitalière spécialement aménagée (UHSA) du centre du Vinatier où il est pris en charge depuis ses aveux sur Maëlys le 14 février dernier. Pendant un peu plus de trois heures, les enquêteurs ont perquisitionné une fois encore la maison familiale pour s’assurer que les lieux étaient bien les mêmes que ceux sur la vidéo. À l’issue de ce transport, Nordahl Lelandais n’a pas été mis en examen. Une mise en cause qui pourra intervenir ultérieurement après un réquisitoire supplétif délivré par le parquet.

Ce nouvel élément accrédite les doutes sur les penchants pédophiles de Nordahl Lelandais depuis la révélation de la consultation de sites pédopornographiques. L’enquête a en effet démontré que quelques heures avant l’enlèvement de Maëlys, il avait surfé sur ces plateformes.

Nordahl Lelandais : ces autres dossiers qui intéressent la justice La mère de la fillette est une cousine de Lelandais. Une proximité familiale qui lui avait valu des menaces lorsqu’elle avait révélé par mégarde sur les réseaux sociaux son lien avec Nordahl.

La sœur de la mère de Nordahl habite aussi le Gard où une branche de la famille est installée. Ce lien géographique et familial avait conduit les enquêteurs à s’intéresser à deux disparitions suspectes dans ce département, deux adolescents volatilisés dans des conditions inexpliquées. Mais en l’état actuel de l’enquête, les affaires Lucas Tronche disparu en mars 2015 et Antoine Zoia en mars 2016 ne sont pas liées à Nordahl Lelandais.

«Moins d’une semaine avant la disparition de Maëlys» « C’est un homme qui franchit les tabous les uns après les autres », résume une source proche du dossier. Ces attouchements présumés sur une enfant de 7 ans, moins d’une semaine avant la disparition de Maëlys, relancent l’hypothèse d’une agression sexuelle de la fillette tuée. Mais en l’état des analyses sur les restes du corps, rien ne permet de dire si la petite fille originaire du Jura a subi des violences sexuelles. Elle a été retrouvée à l’état de squelette. Et selon nos informations «l’autopsie n’est pas conclusive ». Quant aux vêtements de Maelys, retrouvés dans un ravin, ils font toujours l’objet d’analyses poussées pour déterminer s’il existe des traces de viol. La prochaine audition de Nordahl Lelandais, qui était prévue initialement le 21 juin, a été repoussée au mois de juillet.

Près de Caen. Des chats aux pattes fracturées : enquête ouverte

Treize chats présentant des blessures suspectes ont dû subir des interventions chirurgicales depuis le début du mois d’avril 2018 dans la région de Caen. Depuis le début du mois d’avril 2018, 13 chats ont été soignés pour des membres facturés dans une clinique vétérinaire de la région caennaise.

Des blessures qui concernent un trop grand nombre d’animaux dans le même laps de temps pour ne pas apparaître suspectes. La gendarmerie a ouvert une enquête.

À Caen, Cambes-en-Plaine, Saint-Contest, Hérouville-Saint-Clair, Saint-Aubin-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande et Ouistreham. Depuis le début du mois d’avril 2018, les cas se sont multipliés. Des chats présentant à chaque fois de multiples fractures ont ainsi été retrouvés.

« J’en ai recensé treize durant cette période, souligne un chirurgien d’une clinique vétérinaire de la région caennaise qui a dû procéder à des interventions chirurgicales sur ces victimes à quatre pattes. Un des chats est même décédé. » Des blessures « étonnantes et suspectes »

À chaque fois, ces a,imaux présentent les mêmes symptômes : ils ont les pattes brisées (radius cassé et coude luxé). Une blessure très rare chez les chats. À tel point qu’en moyenne, « je n’opère pas plus de cinq fois par an pour ce genre de blessures. S’ils avaient été percutés par une voiture ou étaient tombés, ils présenteraient aussi des hématomes.Ce n’est pas le cas ».

Devant le nombre de chats blessés, un signalement a été effectué auprès de la gendarmerie. Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer l’origine de ces blessures qualifiées « d’étonnantes et suspectes ».