Fandeloup

La vie vous apparaîtra toujours telle que vous êtes vous-même. Si vous dites que la vie est belle, c’est parce qu’intérieurement vous vivez dans la beauté. Et si vous pensez qu’elle est ennuyeuse, absurde, c’est que vous êtes en train d’apercevoir votre reflet dans ce miroir…

La vie est à notre image, nous n’y voyons que ce que nous portons en nous. C’est pourquoi il se trouve toujours une vie différente d’une autre vie. On dit : « la vie », et on croit savoir de quoi on parle. Parce que tous les êtres sur la terre ont reçu la vie, on s’imagine qu’ils la vivent et la ressentent de la même manière. Eh non, en disant « la vie », chacun parle seulement à son niveau, d’après son degré d’évolution, il ne se prononce qu’en fonction de sa compréhension et de ses expériences.

Mais la vraie vie dans toute son ampleur, son immensité, sa beauté, on ne la connaît pas, on peut seulement s’en rapprocher ; et plus on rétablit le lien avec le monde de l’âme et de l’esprit, plus on s’en approche

La joie du dauphin

Le cri perçant du dauphin est bien connu… mais que signifie-t-il ? Une étude américaine menée par la National Marine Mammal Foundation de San Diego, explique que ce cri permet au dauphin de signifier à ses pairs la présence de nourriture mais aussi tout simplement d’exprimer…. sa joie ! !

Après de nombreuses années d’analyses des sos émis par les dauphins à gros nez et de baleines blanches, ils ont réalisé que le cri émit par les cétacés se produisait après un laps de temps correspondant à la libération de l’hormone du plaisir, la dopamine.

Ce mécanisme similaire à l’Homme, se retrouve aussi chez le singe et le rat.

Dans la vie il y a le soleil, il y a le vent, il y a le vert, il y a le bleu, il y a le plaisir d'une nourriture, d'une boisson, d'un baiser, il y a la joie qui rachète les larmes, il y a le Bien qu'il rachète le mal, il y a tout...ce que la vie peut donner...on reste ZEN...la vie est une grande roue qui tourne, rien ne reste figer....on reste positif , et on garde le sourire et la bonne humeur...mes ondes positives vous accompagnent

Les orques savent parler dauphin !

On mesurait déjà l’intelligence des orques au vue de leur faculté à se rappeler et à réaliser des figures. Mais l’épaulard serait aussi capable d’assimiler et de reproduire des sons semblables à ceux d’autres espèces, d’après une étude scientifique publiée dans le Journal of the Acoustical Society of America .

Des orques en contact avec des dauphins ont développé un « un profil de vocalisation » se rapprochant de celui du mammifère. D’après les scientifiques de l’étude, cette capacité d’imitation pourrait leur permettre de communiquer avec les différentes espèces qu’ils côtoient dans les océans, au vue de leurs larges aires de répartition. 

Le but de la vie est de vous donner la chance d’être la plus haute version de la plus grande vision que vous avez à propos de Qui Vous Etes. Quand les défis arrivent, dites-vous bien une chose très claire : Vous êtes venu pour cela. Montrez-vous à la hauteur et sachez que vous avez toutes les ressources pour créer le meilleur des résultats

La grammaire des mésanges mésanges sur fil barbelé

Le Bescherelle est un incontournable de nos souvenirs d’écoliers. Mais les oiseaux , comme la mésange bleue bataillent également avec des accords et la conjugaison et au cours de l’évolution leur chant s’est structuré autour de règles grammaticales.

Les phrases du petit passereau ne sont pas identiques dans toutes les populations. Ici elle contiennent des trilles, là, non. C’est la présence d’un compétiteur, la plus massive mésange charbonnière, qui influe sur cette syntaxe.

En effet, à la période de reproduction, les mâles poussent en chœur la chansonnette afin d’attirer une belle femelle. Mais les mélodies de ces deux espèces se ressemblant, la charbonnière a tendance à répondre à la mésange bleue créant une certaine cacophonie.

Aussi, en ajoutant quelques trilles, les mésanges bleues clouent le bec de leurs voisines. En ville, où vivent également ces deux espèces, le brouhaha ambiant est également fort ennuyeux lors des parades.

Aussi, pour se faire entendre, les mâles mésanges modifient la structure de leurs phrasés habituels et optent pour des chants plus courts, un tempo plus rapide et une suppression des notes trop graves peu audibles. Et de manière encore plus étonnante, ces changements affectent également les mélodies des mésanges de Paris, Londres, Bruxelles ou Prague !

On peut toujours se faire du mal, accepter qu'on nous rabaisse ou bien de ne pas être respecté, de ne pas être aimé, on peut également continuer de s'auto-saboter, voir pire, de s'auto-détruire. On peut.

Et puis on peut envisager autre chose, de bien plus agréable. Comme de prendre soin de soi, se permettre la chance de réussir, s'autoriser à continuer, avoir des projets menés à leur terme, accepter l'amour qu'on nous offre et même d'être respecté. Pour cela par contre, il est nécessaire de prendre conscience de ce que nous valons, et d'accepter le fait d'avoir fait des erreurs et de se les pardonner. Il faut également effacer les jugements d'autrui, récents ou très anciens, remontant parfois jusque dans l'enfance.

Pour cela par contre, il est nécessaire de transformer, et cela prend du temps, l'image que l'on a de soi, d'accepter de se valoriser, de commencer à s'offrir la confiance. Il est nécessaire d'accepter le fait que nous n'avons pas à chercher à devenir une personne qu'on est pas. Que la vie, les êtres apprécient et apprennent par la simplicité.

Il faut apprendre à s'offrir à soi-même l'amour inconditionnel avec possibilité d'évolution vers le mieux. Il arrive parfois que des personnes entrent dans notre vie pour nous aider à en prendre conscience. La vie fait bien les choses mais dans ce cas, les fait rarement durer. Car, tant que la prise de conscience n'est pas interne, il est bien difficile d'accepter le meilleur, de le garder surtout. On préfère le jeu de rejeter et d'être rejeté, de laisser ou d'être laisser consistant à réactiver des blessures qui demande à guérir.

Il peut sembler rassurant de vivre dans une souffrance bien connue plutôt que dans un bien-être continu inconnu. Une fois la prise de conscience faite par contre, une fois le travail effectué, assimilé, acquis, de formidables moments peuvent être pleinement savourés, vécus, préservés. Une construction saine et solide et possible, l'avancement se fait dans la durée. Que l'on soit seul, ou à deux

Quels sont les oiseaux qui chantent en hiver ?

Un pinson en hiver

Chez les oiseaux , le chant est très lié à la reproduction. Il n’est donc pas étonnant qu’ils se mettent à chanter principalement au Printemps. A l'inverse, l’été est la période du grand silence chez les passereaux.

La saison chaude coïncide avec la période de mue post-nuptiale qui consomme beaucoup d’énergie. Cependant, les oiseaux n’ont pas tous la même définition du printemps et le démarrage des chants s’étale sur plusieurs mois entre espèces précoces et plus tardives, migrateurs proches ou migrateurs transsahariens…

En décembre et en janvier, on peut entendre le chant cristallin et un peu mélancolique du Rouge-gorge familier, y compris à l'aube et au crépuscule, quand il fait encore nuit.

Les oiseaux défendent un territoire pendant l'hiver : ils s'y s'installent à partir d'octobre et chantent assidûment pour le délimiter. En janvier, on entend chanter d’autres oiseaux précoces comme le Troglodyte, le Grimpereau (qui n’arrêtent quasiment pas de chanter), la Grive draine et le Merle, ainsi que les Mésanges charbonnière et bleue.

Les Pinson, Verdier, Chardonneret, quoique sédentaires aussi, commencent un peu plus tard, en février, avant que n’arrivent les premiers migrateurs qui chantent dès leur arrivée, et parfois même en halte migratoire !

La vie est ténèbres, si elle n'est pas animée par un élan.

Et tout élan est aveugle, s'il n'est pas guide par le savoir.

Et tout savoir est vain, s'il n'est pas accompagne de labeur.

Et tout labeur est futile, s'il n'est pas accompli avec amour...

Quels sont les oiseaux qui vous réveillent au petit matin ?

Un rouge-gorge au petit

En mai et en juin, généralement une heure avant le lever du soleil, quelques espèces d’oiseaux nous offre un concert matinal appelé "chœur de l'aube".

Laissez-vous bercer par leurs vocalises printanières… avant qu’ils ne cessent de chanter à l’arrivée de l’été.

En vedettes de ce chœur de l’aube, on retrouve le merle noir, la grive musicienne, le rouge-gorge familier, ou encore le troglodyte mignon. Sans oublier la fauvette à tête noire.

Un peu plus tard, les mésanges bleues et charbonnières, le Pinson des arbres et le moineau domestique viennent se joindre au concert.

En cette période de reproduction pour la plupart des oiseaux de nos contrées, les femelles sont particulièrement à l’écoute des vocalises des mâles. En fonction des performances de ces derniers et de leur répertoire musical, les femelles récoltent quelques indices sur les qualités des prétendants possibles.

« Pour les espèces fidèles et les couples déjà formés, le chant de l’aube servirait à renforcer les liens avant l’accouplement », explique Ornithomedia. Puis à mesure que la luminosité augmente, les chants se font plus discrets, et les mâles recommencent à se nourrir, à surveiller leur territoire, ou à parader…

Et dans ce brouhaha ambiant, certaines espèces, comme les mésanges, n’hésitent pas à modifier la structure de leur chant pour se distinguer de leurs congénères.