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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Voici la plus grande bibliothèque du monde. Elle a ouvert en Chine et compte plus de 1,2 millions de livres. Lequel de tes amis aimerait la visiter ?
« J’ai vu mourir des animaux de compagnie pendant toute ma carrière », déclare le Dr John Robb, vétérinaire.
Des décennies de recherche ont pourtant établi un lien entre les décès d’animaux de compagnie et la sur-vaccination Le Dr John Robb, vétérinaire dénonce la survaccination des animaux Son plaidoyer est accueilli avec le sourire! Au cours de 32 dernières années, le Dr John Robb s’est battu pour sauver des animaux de compagnie.
En tant que vétérinaire, il a prêté serment de protéger ses patients à tout prix, même si cela devait enfreindre la loi. Son principal combat a porté sur le problème de la sur-vaccination des animaux de compagnie.
- Il a été ridiculisé, arrêté, mis en probation, et a une fois perdu sa clinique. Mais rien ne peut l’arrêter après avoir vu tous ces animaux souffrir et même mourir. Le vaccin qui l’a le plus préoccupé est le vaccin contre la rage. Le Dr Robb estime que le vaccin reste efficace pour toute la vie d’un animal (un test sanguin peut le déterminer).
Toutefois, en raison, en grande partie, de l’immense influence et de la puissance des fabricants de vaccins, le vaccin contre la rage est recommandé chaque année. Le Dr Robb déclare qu’il a vu des animaux vomir immédiatement après le vaccin, devenir malades, développer des maladies auto-immunes, des cancers et parfois même la mort.
Non seulement le nombre de vaccins n’est pas réglementé, mais la dose n’est pas non plus ajustée en fonction du poids corporel, ce qui rend le vaccin potentiellement dangereux et même létal pour les animaux de petite taille. Un chat de 5 livres reçoit normalement le même vaccin que celui d’un chien de 100 livres. Le Dr Robb trouve cela scandaleux, et il a administré des demi-plans de vaccin à ses plus petits patients.
Cela lui a valu quantité de problèmes au cours des années, mais il n’est pas prêt à abandonner. Le 22 février, il s’est exprimé devant le Conseil des fonctionnaires de l’Etat du Connecticut, les exhortant à se pencher sur la recherche en ce domaine, de même qu’à prêter une oreille attentive à ce que racontent les vétérinaires qui ont pu observer les effets secondaires désastreux des vaccins. Il les a exhortés à changer les lois traitant des vaccins pour animaux de compagnie. Mais au lieu d’être entendu, on l’a ignoré, ri de lui, et ces gens ont agi comme s’il n’avait rien dit.
Le Dr Robb s’exprime devant les fonctionnaires de l’Etat du Connecticut au sujet de la sur-vaccination des animaux de compagnie. « Il y a des milliers d’animaux de compagnie qui meurent chaque jour », a déclaré le Dr Robb aux responsables de l’Etat du Connecticut. Pour appuyer son point de vue, le Dr Robb a fourni à ces autorités 45 documents montrant que les vaccins sont « dose-dépendants ». Il leur a expliqué que des doses trop importantes pouvaient tuer un animal. Ces documents montraient également que, dans de nombreux cas, les vaccins de rappel ne sont pas nécessaires et ne protègent pas l’animal.
« Le patient ne reçoit aucun bénéfice et peut être exposé à un risque sérieux lorsqu’un vaccin inutile lui est administré », comme le précise un des articles présenté et écrit par le Dr Schultz. Les vaccinations de rappel sont une pratique courante. Alors que les lois du Connecticut sur le dosage du vaccin sont vagues, la plupart des Etats exigent des vétérinaires qu’ils donnent la dose complète du vaccin, quelle que soit la taille de l’animal. En ce qui concerne le vaccin contre la rage, celui-ci est administré à 12 semaines, puis répété au moins tous les trois ans.
Mais en fait, il est le plus souvent administré chaque année. Il est également recommandé que quatre doses du vaccin soient administrées en seulement deux semaines chaque fois qu’un animal de compagnie entre en contact avec un animal potentiellement enragé. Pourquoi tous les trois ans? Le Dr Schuttz explique que le coût élevé de ces études sur les vaccins a empêché de poursuivre les recherches pour savoir pendant combien de temps ces vaccins pouvaient se maintenir efficaces.
Le Dr John Robb, vétérinaire dénonce la survaccination des animaux Ne sur-vaccinez pas vos animaux de compagnie. Cela peut les tuer ! La plus longue étude sur le vaccin contre la rage a duré trois ans, ce qui, selon lui, n’est tout simplement pas assez long. Il fait valoir que le vaccin est capable de fournir une immunité pendant des périodes beaucoup plus longues. Actuellement, le Dr Schuttz est impliqué dans la « Rabies Challenge Fund », un projet visant à prolonger l’intervalle recommandé entre les rappels de trois ans à cinq ans, voire sept ans.
De son côté, le Dr Robb est convaincu qu’un vaccin contre la rage est valable, non seulement pour sept ans, mais pour la vie entière. Le Dr Robb a pu observer différents effets secondaires du vaccin comme des vomissements, des tumeurs au site d’injection, des maladies immunitaires et des décès immédiats (réaction allergique à un antigène).
Le Dr Robb refuse d’administrer un vaccin complet aux animaux qui sont trop petits. Pour avoir pensé et agi de la sorte, il a été mis en probation et ne peut plus administrer aucun vaccin. Il a contesté l’avis du Conseil d’Etat du Connecticut. La réponse qui lui a été faite l’a profondément choqué. « J’ai demandé au conseil d’Etat si je devais tuer un animal pour obéir à cette loi. Devrais-je vraiment le faire ? a-t-il demandé.
- On lui a répondu que « oui ». Quand une représentante a commencé à rire en disant : « J’ai passé toute ma carrière dans la pharmacie… », le Dr Robb lui a coupé la parole en disant : « Moi, j’ai passé ma carrière en voyant ces animaux mourir. » Il est aussi possible que cette discussion sur les effets secondaires des vaccins administrés aux enfants constitue l’un des plus importants problèmes ayant trait aux lois sur la santé. Ces lois sont passées par des gens qui ont été mis en place par le principe des « portes tournantes ». « Je dois faire ce que disent les fabricants. Et, le Conseil d’Etat du Connecticut dit: «si je dois tuer mon animal de compagnie, je dois le tuer parce que c’est la loi ». «Personnellement, j’ai fait le Serment d’Hippocrate. Il s’agit là d’une loi plus importante jamais passée dans l’Etat du Connecticut. Cette loi qui voudrait que je tue mon patient. Cela je ne le ferai jamais. »
Emmanuel Macron s’en prend aux associations de protection animale
Décidément, Emmanuel Macron risque de ne pas se faire beaucoup d’amis chez les protecteurs des animaux. Après s’être déclaré favorable à la réouverture des chasses présidentielles le 14 mars, le candidat d’En Marche! a critiqué les associations de protection animale jeudi lors d’un congrès organisé par la FNSEA.
Emmanuel Macron souhaite le retour des chasses présidentielles « Je n’ai jamais connu un éleveur qui était heureux avec des animaux malades. C’est comme l’idée qu’un employeur serait forcément quelqu’un qui adore licencier des gens.“ “Si quelqu’un est malheureux lorsqu’il y a un problème de bien-être animal, c’est l’éleveur le premier (…)
C’est lui pleure quand un animal meurt. Ce n’est pas les gens qui sont dans des associations ou dans des bureaux » a estimé le candidat à la présidentielle. L’association L214 visée? Son nom n’est jamais prononcé mais c’est probablement L214 qui fait figure de principale accusée. L’association de protection animale est en effet en guerre avec le syndicat agricole FNSEA depuis des années.
La cause animale importante pour les Français Selon un sondage Ifop pour la fondation 30 Millions d’amis dévoilé jeudi, la cause animale est un enjeu important pour quatre Français sur cinq (80%). Un tiers des Français la considère même le sujet comme «très important», soit une progression de six points par rapport à la dernière élection présidentielle de 2012.
Les animaux en laboratoires, ces êtres vivants qui meurent pour nous
Les animaux en laboratoires, ces êtres vivants qui meurent pour nous Autres articles Les États-Unis, un partenaire idéal pour faire progresser les objectifs de sécurité énergétique du Maroc (Département d'Etat)
Contre la pollution, un célèbre avocat américain se suicide par le feu Ségolène Royal lance une ONG contre le réchauffement climatique Des lapins aux yeux lésés, des souris brûlées et décapités ou encore des singes avec des aiguilles plantées dans le cerveau, les animaux en laboratoires sont sujets à de nombreux tests cruels pour prouver l'efficacité ou l'innocuité des produits, notamment cosmétiques, ménagers, pharmaceutiques et hygiéniques.
Que ce soit en recherche fondamentale ou appliquée, l'expérimentation animale prend différentes formes: la privation d'oxygène et de sommeil afin de créer de l'anxiété, de l'agressivité, des convulsions ou de l'hypertension chez les animaux, la transplantation, la greffe de têtes et d'organes, des décharges électriques, des tumeurs provoquées, l'ablation de nerfs, l'absorption de drogues et d'alcool, la noyade forcée, les essais de gaz toxiques, la manipulation génétique et la trépanation.
Souvent qualifiées de fiables et d'indispensables, les expérimentations en laboratoires sur les animaux, étant des "organismes entiers", seraient nécessaires à la mise au point de médicaments ou autres produits. Néanmoins, de plus en plus d'experts témoignent de l'inefficacité de l'expérimentation animale. En effet, une étude menée par un consortium de chercheurs visant à tester l'exactitude des expériences sur les souris pour reproduire les changements qui surviennent lors de trois troubles inflammatoires humains sévères, à savoir le trauma, la septicémie et les brûlures, a montré que les modèles de l'expression génique chez les humains et chez les souris éprouvant ces troubles ne sont pas corrélés.
Les auteurs de cette étude publiée en 2013 dans Proceedings of the National academy of sciences of the United States of America (PNAS), une revue scientifique américaine à comité de lecture publiant les comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences, ont expliqué que les réactions chez le modèle murin (souris) correspondaient de manière presque aléatoire à celles des humains.
Les chercheurs avaient donc appelé à accorder une priorité plus élevée à l'étude des conditions humaines plus complexes plutôt que de s'appuyer sur des modèles murins pour étudier les maladies inflammatoires humaines. Cette étude et tant d'autres viennent appuyer l'idée que l'anatomie, la physiologie et le métabolisme des animaux et des humains diffèrent considérablement, laissant penser qu'il est impossible de prédire si un être humain réagira de façon identique ou de façon différente. Par ailleurs, plusieurs études ont révélé que l'aspirine, un des antalgiques les plus utilisés, provoque des malformations tératogènes chez les souris, les rats, les chiens, les chats, les lapins et les singes.
Face à la cruauté des tests infligées aux animaux, plusieurs personnes prônent l'utilisation de la règle des 3 R, réduire, raffiner et remplacer, dont le but est de mettre en place et développer des lignes directrices dites "humaines" dans l'expérimentation animale. Élaborée en 1959, cette règle constitue le fondement de la démarche éthique appliquée à l'expérimentation animale en Europe et en Amérique du Nord et consiste à réduire le nombre d'animaux en expérimentation, à raffiner la méthodologie utilisée, ce qui implique d'obtenir plus d'informations pertinentes à moindre coût en terme de "mal être" animal et à remplacer, chaque fois que cela est possible, le modèle in vivo par des modèles in vitro ou "in silico", notamment des modèles mathématiques et bio-informatique.
En effet, plusieurs méthodes alternatives de recherche existent, dont la culture de cellules, de tissus et d’organes, le recours à des micro-organismes, la biologie moléculaire, les études de tissus post-mortem, les études statistiques et épidémiologiques sur les populations et la dissection virtuelle.
Des méthodes qui, non seulement épargnent les animaux d'une immense souffrance, mais sont également souvent moins onéreuses et plus précises. Chaque année, la journée mondiale des animaux dans les laboratoires, célébrée le 24 avril, rassemble les militants anti-vivisection qui tentent de sensibiliser le grand public quant aux expérimentations animales, sujet controversé face auquel les avis sont souvent ambivalents.
Aujourd'hui c'est la journée de la Terre ,l'occasion pour nous appeler combien notre planète est fragile face à une humanité aveugle qui épuise ses ressources ....
Nous avons demandé à un sage: Pourquoi ne ripostez- vous pas contre ceux qui se comportent mal envers vous ? Il a répondu avec le sourire: Quand un âne te bouscule, est ce que tu le bouscules aussi ? Quand tu vois un chien qui aboie, est ce que tu aboie aussi ? Seul le silence secoue les consciences!
Tout est question d'équilibre dans la vie... Trouves le juste milieu en toute chose...Ne vas pas jusqu'à l'épuisement , donnes le meilleur de toi même dans ta mesure....