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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le fabuleux Cirque de Gavarnie dans les Pyrénées, un endroit irréel à couper le souffle
Mourir comme un chien
Un monsieur nous a appelé ce matin pour un chien allongé dans l’herbe qui respire encore mais qui ne bouge pas. La scène se passe dans les quartiers Nord de Montpellier, entre un square et un petit terrain vague. Avant de nous contacter il a appelé la SPA mais personne ne répond.
Il a fini par trouver nos coordonnées sur le net. Nous sommes à 45 km de Montpellier. Nous lui demandons de rester sur place, nous allons le rappeler…
Tout de suite nous appelons Dona, de Félin pour l’Autre 34, qui ne répond pas non plus. Au troisième appel elle finit par répondre, elle nous connaît alors elle sait bien que si nous insistons c’est qu’il y a un problème.
Elle se rend sur place et là c’est l’horreur. Un tout petit Bichon, enfin ce qui a dû être un Bichon, gémit à peine, il est couché sur le flanc. Son poil est collé en dreadlocks, il est couvert de vermine, des asticots lui grignotent la cuisse. Ils sont des centaines dans un trou se disputant la chair avec les mouches. Ce petit chien est un mort vivant, il est littéralement bouffé par les vers, quasi comateux. L’odeur est pestilentielle. Dona l’installe doucement dans un drap, direction la clinique vétérinaire. Malheureusement le vétérinaire ne pourra rien faire pour le sauver, il est mort juste avant d’arriver.
En pleine ville, il a dû agoniser plusieurs jours, en plein soleil par 35 degrés.
Depuis quand n’a-t-il pas bu ou mangé ? Il ne porte pas de collier, il n’est pas identifié, il est âgé, il n’a plus de dents. Il n’était pas si loin des habitations, pourquoi personne n’est intervenu avant ce monsieur ? Comment peut-on laisser crever un chien ? Comment peut-on détourner le regard, continuer son chemin et rentrer chez soi comme si de rien n’était ? Ce petit chien a été un chiot il y a longtemps, il a eu un, ou plusieurs maîtres, où sont-ils ?
En dehors de sa blessure, son état général est celui d’un chien errant, il est maigre, sale, couvert de parasites et son poil n’a pas vu une brosse depuis des années. Il s’agit de maltraitance parce que laisser un chien dans cet état est une maltraitance.
Mourir seul, épuisé, de faim, de soif, près des habitations, dans une indifférence presque générale, c’est ce que l’on appelle crever comme un chien.
Grâce à ce monsieur qui n’a pas détourné le regard et qui a cherché de l'aide, grâce à Dona qui l’a pris dans ses bras, son supplice s’est arrêté en fin de matinée, presque dans la douceur. Il ne pesait plus grand chose, juste le poids de la misère.
Si seulement les habitants du quartier avaient réagi plus tôt, nous aurions pu le soigner, le sauver, plutôt que d’avoir à payer son incinération. Un chien errant, ne survit pas seul, il va mourir de faim ou/et de soif, s’il n’est pas bousculé par une voiture et ne va pas crever dans un fossé. Ces dernières semaines ce petit chien a sans aucun doute croisé des humains. Mais personne ne l’a « vu ». Pourtant dans humain il y a humanité ?
La prochaine fois que vous croiserez un chien errant, dites-vous que ce pourrait être le vôtre, alors à défaut de vous arrêter pour le prendre en charge, signalez-le.
MERCI à ce monsieur de nous avoir prévenu.
Sur notre site : https://www.apavh.com/mourir-comme-un-chien
Aimer les animaux signifie leur éviter toute sorte de souffrance, vivre les uns les autres et ne se sentir maître de personne ...
En cas d’aggravation des symptômes de l’insuffisance cardiaque (Essoufflement, Prise de poids, Œdème, Fatigue : EPOF), près d’un patient sur deux attend 14 jours avant de consulter. Pourtant, chaque jour compte ! N’attendez pas pour consulter votre médecin !
Une chienne retrouvée morte poignardée dans une baignoire !
La Fondation 30 Millions d'Amis a déposé plainte pour élucider les circonstances de la mort de la chienne, retrouvée poignardée et attachée dans une baignoire.
Ina, une chienne de type American Staffordshire Terrier âgée de 7 ans, a été retrouvée morte dans la baignoire d'un appartement à Morsang-sur-Orge (91). Attaché à la barre d'appui, l'animal présentait de multiples blessures par arme blanche.
Sa maîtresse indique l'avoir confiée, suite à son déménagement, à sa belle-sœur... qui elle-même l'aurait confiée à un « ami ».
La Fondation 30 Millions d'Amis a porté plainte pour acte de cruauté. Sordide ! Intervenues aux côtés des agents du commissariat de Juvisy-sur-Orge (91), les équipes de la Fondation 30 Millions d'Amis ont découvert, dans une baignoire ensanglantée, le cadavre d'une chienne de type American Staffordshire Terrier.
Le corps de l'animal présentait de multiples traces de blessures infligées à l'aide d'une « arme contondante », ce qu'a confirmé le vétérinaire chargé de l'autopsie. « L'individu a d'abord attaché la chienne à la barre d'appui de la baignoire pour l'empêcher de s'enfuir, avant de lui asséner plusieurs coups de couteau, explique Arnauld Lhomme, responsable des enquêtes à la Fondation 30 Millions d'Amis. Il ne s'agit pas d'un "coup de folie" mais, au contraire, d'un acte prémédité. »
Morte dans d'atroces souffrances
La maîtresse d'Ina, à l'origine du signalement transmis à la Fondation 30 Millions d'Amis, a expliqué qu'elle et son mari avaient recueilli cette chienne traumatisée il y 2 ans environ, avant de devoir s'en séparer suite à leur déménagement, 6 mois avant le drame. La belle-sœur de la jeune femme , à laquelle le couple avait décidé de confier la chienne, en a elle-même confié la garde à un « ami »... qui l'aurait ensuite transportée jusqu'à l'appartement de son grand-père, où a finalement été retrouvé le cadavre de l'animal supplicié.
« Le grand-père n'habitait plus à son domicile, étant parti en maison de retraite. Il n'a donc pas pu être témoin des faits, précise Arnauld Lhomme. Ce dont nous sommes sûrs en revanche, au vu des blessures, c'est que la chienne est morte dans d'atroces souffrances ! »
Afin d'élucider les circonstances de cet acte odieux, la Fondation 30 Millions d'Amis a déposé plainte « contre X » pour acte de cruauté. C'est la 2ème plainte déposée par la Fondation 30 Millions d'Amis pour un chien poignardé, en l'espace de 48 heures !
"La désobéissance civile est un geste fort. Il y a peu, des milliers de scientifiques ont appelé à y recourir face à la catastrophe écologique en cours
. C'est, à ma connaissance, sans précédent. D'autres causes immenses méritent sans doute que soit envisagée cette forme radicale de résistance. Il y a là matière à penser et à agir. Avec solennité. Mais comment n'être pas triste de constater que le refus des gestes sanitaires de base qui ne sont qu'un infime effort d'intelligence collective élémentaire soit aujourd'hui revendiqué comme une telle résistance ? Il me semble que cette obstination à mettre en danger la vie d'autrui relève en réalité plutôt de la bouderie presque obscène d'un enfant gâté paranoïaque qui ne veut rien, jamais, sacrifier de son confort. Fût-ce au prix de la mise en danger délibérée de la vie d'autrui
. Et, une dernière fois, pour rappel :
1) "Masquer" la population ne fait pas les affaires de l'État : rien ne fait plus peur à une société de contrôle que des citoyens non identifiables !
2) Nous avons réclamé - à juste titre - ces masques quand ils manquaient. Refuser de les utiliser, en espace clos, quand ils sont disponibles est totalement incohérent.
3) Nombreux sont ceux qui dénoncent les enjeux de pouvoir et d'argent des laboratoires pharmaceutiques. Raison de plus pour endiguer l'épidémie à moindre frais et sans médicament ! Même les plus "conspirationnistes" ne peuvent nier que le port du masque n'enrichira aucune puissance occulte...
4) Que le virus soit plus petit que les mailles du masque ne dit évidemment pas que ces derniers ne servent à rien : les gouttelettes qui portent une bonne partie des agents pathogènes sont arrêtées.
5) Oui, il y a d'autres maladies graves actuellement à l'oeuvre dans le monde. Et alors ? Que la seconde guerre mondiale ait été plus meurtrière que la première signifie-t-il que cette dernière soit anodine ?
6) Oui, nous pouvons - et c'est mon cas ! - avoir de nombreux griefs contre ce gouvernement et sa politique. Et alors ? En quoi cela nous autorise-t-il à mettre en danger la vie des plus fragiles ? Nous "entretuer" fragiliserait-il le pouvoir en place ?
7) J'ai souvent lu ces derniers jours que "bien respirer est essentiel à la santé". Certes. Bien boire aussi. Pour autant, quand l'eau de la mare est empoisonnée mieux vaut se retenir quelques minutes et aller à une source pure, non ?
8 ) N’y a-t-il pas une forme d’arrogance assez stupéfiante à penser que les experts n’ont rien compris et que des analyses ne reposant sur aucune compétence spécifique sont évidemment celles auxquelles donner crédit ? Comme si tout n’était qu’affaire de sondage, d’opinion et de choix personnel.
9) Refuser d'obéir aveuglément est sans doute une posture intéressante. Il y a tant de lois et de schèmes d'oppression à contester... Pourquoi manifester ce "courage" face à ce qui relève, justement, du soucis élémentaire de la santé d'autrui ? C'est un contresens radical.
10) Il n'y a aucune légitimité à craindre une "nouvelle normalité". De même que le confinement chez soi a été levé dès que possible (ralentir l'économie ne fait jamais les affaires de l'État), le port du masque (toujours terrifiant pour les forces de police) ne durera évidemment pas. L'émergence d'une société de contrôle assez terrifiante est possible et doit, à mon sens, être combattue. Mais, justement, c'est l'inverse qui a lieu ici !
11) Certains se vantent de n'avoir pas peur. Soit. La disposition psychologique de chacun est parfaitement légitime. Mais n'avoir pas peur des armes à feu n'autorise pas à tirer dans le tas. Tout est là.
12) Il n'y a vraiment rien de révolutionnaire ou de transgressif à nier les vérités médicales dans un geste d'égoïsme assumé qui prend la forme exacerbée de l'individualisme dominant du monde contemporain.
13) Et même si, de façon extrêmement improbable, le masque s'avérait essentiellement inutile, l'infime effort ne méritait-il pas d'être tenté ? Mettre en regard ce dérisoire inconfort (l'occident oublie si souvent les véritables maux de ce temps) face à la possibilité d'une vie sauvée ne clôt-il pas immédiatement le dilemme ?
14) Franchement, face à la souffrance des malades intubés, face aux 600 000 morts - ici et ailleurs -, le refus de l'infime effort dont il est ici question n'a-t-il pas quelque chose d'indécent ? Comme symptôme de l'oublie définitif de tout soucis du bien commun."
Un cochon, derniers instants avant l'abattage. Qui sommes-nous en tant qu'êtres humains si nous ignorons non seulement la souffrance des autres, mais la créons ???
Le plus merveilleux , c'est cette vie, pas celle d'un autre , alors n'envie personne , ne jalouse personne , ne juge personne , suis ta route , ta voie , ton chemin , et le merveilleux s'y déploiera........
La première et la seule fois où un humain a été gentil avec lui . Laissez les animaux hors de votre assiette !