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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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honteux

Publié à 17:40 par fandeloup Tags : sur homme chez france enfants fille
honteux

Pour la justice, Sarah, 11 ans, était consentante car elle "a subi sans protester" par Natacha Couvillers 

L’affaire de Pontoise est glaçante et la réponse de la justice française l’est presque encore plus. Aujourd’hui, le parquet a répondu que Sarah -11 ans - qui a suivi un inconnu de 28 ans et qui a subi des actes sexuels sans se débattre, était consentante.

L’homme n’est pas jugé pour "viol" mais pour "atteinte sexuelle". Cette affaire montre malheureusement un vide juridique de la loi française qui "ne fixe pas d’âge de discernement".

L’affaire Le procès de Pontoise se tenait aujourd’hui.

C’est l’histoire de Sarah, 11 ans, elle est en 6ème et son cours de gym a été annulé un après-midi d’avril. C’est alors qu’un homme l’aborde. Il a 28 ans, l'emmène chez lui et profite d’elle : il lui demande des fellations. Avant de la quitter, il l’embrasse sur le front et lui dit de ne rien dire à ses parents. De retour chez elle, Sarah dit à sa mère "papa va penser que je suis une pute"…

Le procès et le vide judiciaire

Après cet événement, et après que les parents de la petite fille portent plainte pour viol, la justice s’empare de l’affaire mais décide de faire un procès pour "atteinte sexuelle sur mineur", moins grave qu’un procès pour viol. Comme Sarah n’a pas protesté, ce n’est apparemment pas un viol ! Une aberration quand on pense à la contrainte morale qu’un adulte de 28 ans peut exercer sur une mineure de 11 ans ! Même la loi définit cet acte comme un viol car il y a pénétration et une fellation implique une pénétration.

Le site Sud Ouest rapporte que le parquet de Pontoise a estimé "que dans le cas d’espèce, il n’y avait eu ni violence, ni contrainte, ni menace, ni surprise". Le ministère public s’est fondé sur l’article 227–25 du code pénal qui stipule que "le fait, par un majeur, d’exercer sans violence, contrainte, menace ni surprise une atteinte sexuelle sur un mineur de 15 ans est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende".

L’âge de la majorité sexuelle est fixé à 15 ans en France , en référence à l’âge de la puberté. En-dessous de 15 ans, toute relation sexuelle avec un majeur équivaut à une "atteinte sexuelle". "Vous savez, maintenant, les filles sont faciles. Avant, à mon époque, il fallait rester au moins un an avec une fille pour la baiser, mais maintenant c’est en dix minutes." C’est Médiapart qui a tiré la sonnette d’alarme sur cette affaire.

L’agresseur raconte, sans aucune gêne :

"Vous savez, maintenant, les filles sont faciles. Avant, à mon époque, il fallait rester au moins un an avec une fille pour la baiser, mais maintenant c’est en dix minutes."

Durant le procès, la maman de Sarah explique que sa fille est dans un total déni de sa souffrance et de ce qu’il s’est passé. Le problème, c’est qu’en France, la loi française "ne fixe pas d’âge de discernement, il appartient aux juridictions d’apprécier si le mineur était en état de consentir à la relation sexuelle en cause" comme le rappelle le Conseil constitutionnel.

France Inter évoquait à la rasdio:

“le déni de sa souffrance vient d’un impensé de notre loi. La plupart des législations occidentales ont adopté une "présomption irréfragable d’absence de consentement du mineur victime d’actes sexuels" :

14 ans en Allemagne, Belgique, Autriche ;

16 ans pour l’Angleterre et la Suisse,

12 ans en Espagne et aux États-Unis.” Qu'en au Haut Conseil à l’Égalité, il recommandait en octobre 2016, dans son "Avis pour une juste condamnation sociétale et judiciaire du viol et autres agressions sexuelles" que l’âge de 13 ans soit retenu comme seuil en dessous duquel les mineur.e.s seront présumé.e.s ne pas avoir consenti.

Pour les mineur.e.s de 13 à 18 ans, le droit actuel continuerait de s’appliquer.

Pour Danielle BOUSQUET, Présidente du Haut Conseil à l’Égalité : “il est impensable que l’on interroge encore le consentement de jeunes enfants dans le cas de relations sexuelles avec des adultes. Ces faits sont des viols et doivent être jugés comme tels.”

Affaire à suivre.

donner

Publié à 16:36 par fandeloup Tags : moi amour
donner

Donne-moi, ton amour a jamais, pour toujours..Je te donne mon âme même si tu la condamnes...

seule

Publié à 16:16 par fandeloup
seule

Seule sous le bruit des vagues pour purifier son âme ,elle recouvre ses plaies d'algues cataplasme de ses drames...

donne

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : moi
donne

Donne-moi, ton toi pour vieillir avec moi..Donne-moi, le choix de ton toi, en moi... pour me réveiller,pour m'endormir,pour m'émerveiller tout contre toi..

toi

Publié à 15:29 par fandeloup Tags : sur musique moi ange
toi

Attiré par la musique que je jouais accompagné d'une lumière irréelle,j'ai senti ta présence à mes côtés et la sensation d'un battement d'ailes... Me raccrochant à la vision du néant,je lutte, je doute, contre cette certitude et puis soudain d'un frisson, je te sens comme dans un bien-être de béatitude...Toi l'ange de mon âme meurtrie et blessée tiens bien closes, les portes de toutes mes folies,engendrées par trop de douleurs classées dans des cases rangées, qu'on croyait guéries... Accorde-moi encore juste un instant. Accorde-moi juste un baume apaisant passer en onction sur mon âme meurtrie qui si seule, pleure des larmes de survie...

cadeau

Publié à 11:37 par fandeloup Tags : cadeau
cadeau

Le temps est un merveilleux cadeau: ne le gaspillons pas.. 

inédit

Publié à 11:21 par fandeloup Tags : amour littérature chez mort animal enfant sur
inédit

Inédit : une maman macaque dévore la dépouille de son petit

Une mère macaque de Tonkean a englouti les restes de son premier petit décédé au sein d'un refuge animal italien, une première pour cette espèce. Mardi, 26 septembre De Richa Malhotra Evalyne, macaque de Tonkean femelle (Macaca tonkeana) d'un refuge animal situé en Italie, porte le corps inerte de son petit juste après sa mort.

 Si les primates sont réputés pour pleurer la disparition de leurs proches et pratiquer le cannibalisme, des scientifiques ont observé pour la première fois un macaque de Tonkean (Macaca tonkeana) en train de dévorer la dépouille de son petit. Des chercheurs spécialisés dans l'étude des macaques du refuge animal du Parco Faunistico di Piano dell'Abatino ont aperçu une mère du nom d'Evalyne « s'occuper » pendant des semaines de son premier petit décédé, avant de dévorer son corps momifié jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un os.

Les macaques de Tonkean, une espèce originaire d'Asie du Sud-Est, transportent la dépouille de leurs petits pendant des heures, voire des jours. Cette pratique peut être une manière de manifester leur chagrin ou le signe de leur incompréhension face à la mort de leur progéniture. « Ce type de comportement a été observé chez les chimpanzés ainsi que chez quelques autres primates, dont les mères portent la dépouille de leurs nouveaux-nés jusqu'à sa décomposition », explique Frans de Waal, primatologue à l'université Emory aux États-Unis, qui n'a pas participé à cette nouvelle étude.

Cependant, « le cannibalisme est un élément nouveau ici », déclare le primatologue. « Habituellement, les macaques ne se dévorent pas entre eux. » Non seulement les macaques de Tonkean ne mangent pas leurs congénères, mais ils font partie d'une « espèce végétarienne qui ne mange jamais de viande », ajoute Arianna De Marco, biologiste de l'évolution à la Fondazione Ethoikos, en Italie, à l'origine de cette étude.

« CURIEUSE ET ÉMUE »

La mortalité infantile est un phénomène fréquent pour les mères macaques qui mettent bas pour la première fois, aussi bien à l'état sauvage qu'en captivité. Sur un total de 51 naissances au sein du refuge, 16 bébés macaques sont décédés ou sont morts-nés. D'après la biologiste, dont les observations ont été publiées ce mois dans la revue Primates, Evalyne est apparue secouée après la mort de son petit âgé de quatre jours, fixant et criant à l'encontre de son propre reflet dans la porte de son enclos, un comportement jamais observé auparavant.

Elle a par la suite continué de toiletter, de lécher et de porter son petit inerte, ce même lorsque son corps s'est complètement momifié au 8e jour après sa mort et lorsque sa tête est tombée au 14e jour. Selon De Marco, la momification a permis la conservation de la forme du corps, ce qui pourrait expliquer le fait qu'elle ait continué de soigner le cadavre. La mère macaque semble tenter de réconfort le squelette de son premier enfant, mort quatre jours après sa naissance.

 « Ce comportement a à la fois attiré ma curiosité et m'a émue », explique la biologiste. Au cours de la troisième semaine, alors que le reste de la dépouille s'est décomposé et que les poils sont tombés, Evalyne a été observée en train de mordiller les restes du nouveau-né. Selon la littérature scientifique, un seul autre cas de maman macaque dévorant son petit aurait été enregistré chez les macaques des monts Taihang (Macaca mulatta tcheliensis) de Chine. Si de nombreux primates portent la dépouille de leurs petits disparus pendant des jours, rares sont ceux qui les mangent.

 Trouver une explication à ce comportement est difficile », confesse De Marco, qui ajoute que cette attitude pourrait aussi bien survenir à l'état sauvage. « Le changement radical dans le comportement maternel, passant d'une attitude prévenante au cannibalisme, est déroutant. » Evalyne a dévoré le petit jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un seul os.

Le comportement étrange d'Evalyne peut éventuellement s'expliquer par le caractère nouveau de son rôle de mère et par le fait que son petit ait vécu suffisamment longtemps pour que des liens se soient tissés. Ainsi, le cannibalisme pourrait être l'expression ultime et extrême d'un attachement à son enfant, conclut la biologiste.

café

Publié à 10:24 par fandeloup

passer

Publié à 10:18 par fandeloup Tags : sourire
passer

Parce qu'il est bon de faire attention aux actions des personnes qui nous entourent . Elles ne pourront ou ne sauront pas toujours nous dire ce qu'elles pensent de nous , mais elles trouveront toujours un moyen de nous le montrer. Passons beaucoup plus de temps avec celles qui nous font rire et sourire, celles qui nous comprennent

souvenir

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : vie photo photos nuit sourire sur
souvenir

 J'AURAI VOULU T'ECRIRE....

Juste avant de partir j'aurai voulu t'écrire que le besoin de toi si dur, n'en finit pas... Et des milliers d'encore qui se perdent dans la nuit 

J'aurai voulu t'écrire mes secrets interdits. Le bruit de mes soupirs sous des larmes de pluie... Et mes visions d'horreurs dans le cœur .Et mes rêves en torpeur d'une paix reconquis...

J'aurai voulu t'écrire Le bonheur qui te ferai sourire dans ta vie éphémère...  Et ma vie en labeur de ton vide infini...

J'aurai voulu t'écrire ma vieillesse qui surgit chuchotant pour te dire ma jeunesse est partie... Tu as gardé la tienne et ta bouche sourit a jamais, sur l'ancienne petite photo jaunie.