Fandeloup

Les personnes les plus formidables sont celles qui ont connu l'échec, la souffrance, le combat intérieur, la perte, et qui ont su surmonter leur détresse... Ont une sensibilité, une compréhension de la vie qui les remplit de compassion, de douceur et d'amour. La bonté vient toujours de quelque part.......

Groupes et types chiens.

Les chiens se classent en différents types de groupes, qui ont chacun leur spécificité. En complément, certaines races ont dû être séparées en catégories, par rapport à leur «dangerosité». Découvrez dans cet article quels sont les groupes et les catégories de chiens, et où se trouve peut-être le vôtre!

Groupe 1

– Chiens de Berger et de Bouvier Les chiens de Berger et Bouvier se réunissent dans la première catégorie. À l’origine, ces gros «nounours» aidaient les bergers à réunir les troupeaux. Mais aujourd’hui, ces chiens sont aussi considérés comme de très bons animaux de compagnie, et non plus seulement comme des chiens travailleurs! Parmi eux: Le Berger blanc suisse, Beauceron, Komondor, Welsh Corgi (et oui !), Berger allemand bien sûr, ou encore le Malinois et le Berger australien. Le Bouvier bernois quant à lui ne fait pas partie de ce groupe, car les Bouviers dits «suisses» sont à part!

Groupe 2

– Pinschers, Schnauzers, Molossoïdes et Bouviers suisses La Fédération Cynologique Internationale a décidé de réunir ces chiens, pourtant assez différents les uns des autres, dans le groupe numéro 2. Il n’est du coup pas vraiment simple de décrire ce groupe en généralisant, car entre un molossoïde et un Bouvier suisse, on ne trouve vraiment pas beaucoup de points communs! Parmi ce groupe numéro 2, on retrouve: Le Montagne des Pyrénées, Bouvier bernois (que l’on retrouve donc ici!), Mâtin de Naples, Cane Corso, Boxer, Terre-Neuve ou encore le Shar Peï, et encore bien d’autres!

Groupe 3

– Terriers Tous les Terriers se retrouvent dans le groupe numéro 3! Il y a déjà bien longtemps, l’Homme avait remarqué que ces chiens allaient chasser leurs proies jusque dans les… terriers! Leur nom est donc venu tout naturellement de leur talent lié à ce type de «chasse». Les races du groupe 3: American Staffordish, Bull terrier, Cairn terrier, Jack Russell, Yorkshire, Westie, etc…

Groupe 4

– Teckels Les Teckels sont de vrais petits chanceux! Ils ont un groupe rien que pour eux, et autant vous dire qu’il se révèle aussi simple, voire encore plus simple que celui des Terriers… Puisque dans ce groupe, il n’y a qu’une seule et unique race: le Teckel (qui peut être à poils longs ou courts)!

Groupe 5

– Spitz et type primitif Cette fois, on passe à un groupe beaucoup plus fourni en termes de races! En effet, les chiens de type primitif sont en fait les races les plus anciennes ayant été très peu modifiées par l’Homme. De ce fait, leur caractère est souvent bien différent, et leur instinct très développé. En général, leur poil est soit très dense (lorsqu’ils sont issus de pays où les températures sont extrêmement basses) soit très court pour ceux qui vivaient à l’origine dans des régions très chaudes. Sachez que si vous choisissez un chien du groupe 5, il faudra lui assurer une éducation sans faille : si jamais un chien de type primitif sent une certaine «faiblesse» de votre part, il n’hésitera pas à prendre le dessus sur vous et sera ensuite difficile à éduquer. Parmi le groupe 5: Le Husky, l’Akita et Shiba Inu, Basenji, Eurasier, Malamute, Spitz nain et Spitz loup…

Groupe 6

– Chiens courants et chiens de recherche au sang Plus globalement, on commence à entrer dans les groupes dédiés aux chiens de chasse. Sauf qu’ils se divisent en beaucoup de sous-groupes, comme ceux des chiens courants et de recherche au sang. Ceux-ci représentent les chiens qui courent après les gibiers, et ceux qui les retrouvent lorsqu’ils sont blessés. Dans ce groupe: Beagle, Basset hound, chien courant slovaque, Dalmatien, Grand Griffon vendéen…

Groupe 7

– Chiens d’arrêt On continue dans les groupes consacrés aux chiens de chasse, avec cette fois les chiens d’arrêt. Ces chiens avaient surtout pour mission de poursuivre et arrêter le gibier, puis le rapporter aux chasseurs. Dans le groupe 7 se trouvent: tous les types de Braques, l’épagneul breton, le Griffon à poil dur, le Setter Irlandais, et bien d’autres.

Groupe 8

– Chiens de rapport, chiens leveurs, chiens d’eau Les chiens de chasse terminent leur rassemblement dans le 8ème groupe, consacré aux chiens qui rapportent le gibier, et ceux qui aiment particulièrement l’eau. Parmi ce groupe, on retrouve des races bien connues qui sont surtout passées du côté des chiens de compagnie préférées des Français! Dans le groupe 8: Cocker américain et anglais, Golden et Labrador retriever, Barbet, chien d’eau espagnol…

Groupe 9

– Chiens de compagnie Aujourd’hui, on a du mal à croire qu’un groupe soit réservé aux chiens de compagnie, tant le terme est entré dans le langage courant pour parler de tous les chiens, ou presque. Et pourtant ! Les chiens de compagnie pourraient être considérés comme les seuls n’ayant pas de «but» précis (au contraire des chiens de chasse, des chiens primitifs ou des lévriers, qui à l’origine avaient tous une utilité pour leurs possesseurs). Ces chiens-là ont donc la «belle vie», puisque leur maître ne pourra pas leur demander grand-chose, sachant qu’ils n’ont pas de capacité physique particulière (par contre, une intelligence à toute épreuve, ça oui!) Dans ce groupe: Le Carlin, le Bouledogue français, le Bichon maltais, le Caniche, le Cavalier King Charles, le Shih Tzu ou encore le Pékinois…

Groupe 10

– Lévriers C’est le dernier groupe recensé par la FCI: celui consacré aux lévriers. Il y a en tout 13 races qui composent ce dixième groupe. Les Lévriers étaient bien sûr utilisés à l’origine pour la chasse, car leur tête longue et allongée leur permettait d’avoir un champ de vision très large. Ils ont ensuite été très utiles pour les courses, car contrairement aux autres chiens de chasse, les lévriers ne sont pas endurants, mais sont de vrais sprinteurs qui peuvent accélérer sur des distances plus courtes. Au sein de ce groupe, on retrouve: Le lévrier irlandais, afghan, polonais, écossais, le Saluki, le Greyhound, le Whippet ou encore le Barzoï.

Les deux catégories qui classent les chiens «dangereux» Depuis 1999, certains chiens jugés dangereux doivent être répertoriés dans deux catégories distinctes, et doivent être obligatoirement attachés ou muselés sur la voie publique. Les chiens de la catégorie 1 sont considérés comme plus dangereux que ceux de la deuxième catégorie, puisqu’ils sont tout simplement interdits dans les lieux publiques (autres que la voie publique) et les transports en commun.

Catégorie 1

– Chiens dits «d’attaque» Dans cette catégorie, il n’y a que des chiens croisés, et aucune race définie. Mais leurs caractéristiques physiques les rapprochent de certaines races. Sont concernés: - les chiens assimilés aux Staffordshire terrier ou American Staffordshire terrier (type pitbull) - les chiens assimilés au Mastiff - ou Tosa

Catégorie 2

– Chiens dits «de garde et de défense» Dans cette catégorie, on retrouve cette fois des chiens de race et des croisés. Sont concernés: - le Rottweiler - le Staffordshire terrier et l’American Staffordshire terrier - le Tosa - et les chiens croisés qui peuvent être assimilés au Rottweiler Quelle que soit la race de votre chien, il y a forcément une gamme de croquettes adaptée à ses besoins chez Ultima. 

L'ouragan Jose pourrait frapper le Québec la semaine prochaine!

Hier nous vous rapportions que l'ouragan Jose pourrait se faire ressentir à Terre-Neuve, mais voilà que de nouveaux détails rapportés par Global News nous indiquent que c'est tout l'est du Canada qui pourrait être frappé par l'ouragan Jose qui est de catégorie 2 en ce moment.

En effet, selon ce que rapporte Global News , le Québec, l'Ontario et les provinces des maritimes pourraient ressentir les effets de l'ouragan Jose la semaine prochaine.

Toutefois, cela ne veut pas dire que l'ouragan touchera terre au Québec ou ailleurs au Canada, mais il est fort possible que l'ouragan qui se dirige en mouvement circulaire vers l'Amérique du Nord en ce moment provoque de fortes précipitations dans l'est du pays. Voici une image montrant où est rendu l'ouragan en ce moment:

 Les enfants préféreraient leur chien...

Il n’est pas rare de rencontrer des enfants en adoration devant leurs animaux de compagnie. La relation est parfois si forte qu’elle surpasserait même celle d’une fratrie, et c’est la science qui le dit! Nous le savons depuis déjà un bon moment : les animaux aident les enfants à se développer.

En plus de leur éviter parfois des allergies, les animaux «écoutent» les petits et son réceptifs à leurs paroles. Cette relation exceptionnelle entre les enfants et les animaux a donc été étudiée en 2017 par les chercheurs de l’Université de Cambridge, qui en ressortent des résultats très intéressants…

L’objectif précis de l’étude était le suivant: les chercheurs voulaient tester la solidité de ces relations par rapport à d’autres liens familiaux proches. Des enfants de 12 ans, issus de 77 familles, ont donc répondu à une série de questions. Plusieurs données ont été étudiées: les sexes des enfants, les types d’animaux de compagnie, et enfin les relations entre frères et sœurs comparées aux relations avec les animaux.

Les chiens, meilleurs confidents toute catégorie confondue Tout d’abord, les petits possesseurs de chiens ont déclaré avoir une relation plus forte avec Max que les possesseurs d’autres types d’animaux.

Les filles auraient quant à elles des relations plus riches que les garçons avec leurs boules de poils. En revanche, la plupart des enfants s’est accordée sur une plus forte relation entretenue avec leurs animaux qu’avec leurs frères et sœurs. Et ils avouaient surtout plus de satisfaction et moins de conflits avec leurs chiens et chats… Ce qui n’est finalement pas étonnant! Même si les animaux ne répondent pas, les enfants se confient à eux Les chercheurs ont commenté ces résultats:

«Même si les animaux de compagnie peuvent ne pas comprendre entièrement ou répondre verbalement, les enfants se confient tout autant à leurs animaux qu’à leurs frères et sœurs. Le fait que les animaux ne puissent pas comprendre ou parler en retour peut même être un avantage, car cela signifie qu’ils sont impartiaux et neutres». Parfait donc pour rassurer un petit en quête de réconfort. Matt Cassels, qui a dirigé ces recherches, a également prouvé grâce à cette étude que les enfants qui avaient des relations plus fortes avec leurs compagnons à quatre pattes étaient plus sociables et partageaient, aidaient et coopéraient plus avec les autres.

 Cœur détruit

L'amour ma quitté ,dans les profondeurs de mon cœur une brèche c'est crée . Doucement tu as filé dans le vent ,emportant avec toi tout mon bonheur d'aimer  Dans l'espace tu te disperse sans te retourner.Maintenant mon cœur restera sans joie .Il battra normalement sans superflu .Avec ton départ l'amour de mon cœur est devenu poussière .

On l'a kidnappée dans l'enfance, réduite en esclavage, enfermée dans un bocal et montrée en spectacle pendant 46 ans. Elle s'appelle Lolita et survit au Miami Seaquarium avec une rage inouïe, que seul l'espoir peut expliquer. La vie de Lolita aurait pu être bien différente.

Lorsqu'elle naquit vers 1966 au sein du pod L de la Communauté des Orques Résidentes du Sud, sa mère Ocean Sun (L25) et toute sa famille l'entourèrent de leur amour et de leur protection farouche. Les orques étaient alors nombreuses en Colombie-Britannique, et si parfois un chasseur leur tirait dessus depuis la berge, elles menaient le reste du temps une vie tranquille, oubliée des hommes, dans les eaux sombres du Pacifique.

À l'âge d'un an, Lolita avait déjà appris à chasser son saumon chinook tout en continuant à téter sa mère. Puis elle commença à explorer son environnement, s'en alla jouer avec d'autres enfants et apprit le dialecte de sa tribu. La petite orque grandit très vite.

À trois ans, elle participait aux chasses en groupe, rabattant le poisson vers ses compagnons et découvrant peu à peu comment trouver les meilleures proies en fonction du vent ou des marées. Lolita était bien jeune encore, mais elle était déjà un membre à part entière de sa communauté. Son cerveau, lourd de cinq kilos, enregistrait toutes les règles de la survie dans sa mémoire puissante. Un jour, elle deviendrait elle aussi une matriarche respectée suivie de ses fils et filles adultes et de toute une tribu de petits-enfants, libre et heureuse dans son propre monde.

Mais c'était sans compter avec une industrie naissante, celle de la captivité… Horreur à Pen Cove

Le 8 août 1970, Lolita-Tokitae, alors âgée de quatre ans, nageait aux côtés de sa famille dans la baie d'Admiralty en direction du Puget Sound dans l'État de Washington. D'un seul coup, la communauté entière des 85 orques fut rabattue avec violence vers la crique de Pen Cove, au large de l'Île de Whidbey. L'opération « Namu Inc » était lancée !

Deux trafiquants de dauphins, Ted Griffin et Don Goldsberry, avaient mis tous les moyens en œuvre pour capturer leurs poules aux œufs d'or : avions de reconnaissance, bateaux ultrarapides, explosifs M-80 jetés par grappes dans l'eau…

Le chaos fut total. Les enfants furent séparés de leurs mères par un filet. Cinq orques, dont quatre enfants, se noyèrent durant la capture. Pour cacher leur crime, les ravisseurs leur ouvrirent le ventre et le bourrèrent de chaînes et de pierres avant de couler les corps. Lolita fut hissée dans un hamac tandis que les orques adultes criaient leur détresse. Les petits appelaient leurs mères avec de longs sons déchirants.

Parmi ces parents suppliants, Ocean Sun, le cœur brisé, qui vit sa fille chargée sur un bateau et partir pour toujours. Lolita-Tokitae En arrivant au Miami Seaquarium le 24 septembre 1970, la petite Tokitae fut rebaptisée Lolita. On répartit les six autres enfants du Pod L capturés avec elle entre le Japon, le Texas, le Royaume-Uni, la France (Calypso) et l'Australie. Tous étaient extrêmement jeunes et tous décédèrent moins de cinq ans après.

Lolita est donc aujourd'hui l'ultime survivante des 45 membres de la Communauté des Orques Résidentes du Sud capturées et vendues entre 1965 et 1973. On comprend qu'aujourd'hui, cette communauté peine à se relever de ces captures, qui finirent par être interdites et se portèrent vers l'Islande. Sa population est à ce point menacée qu'elle bénéficie d'une protection spéciale, l' Endangered Species Act.

Cette loi s'applique aussi à l'orque Lolita et devait lui valoir la liberté. Mais la résistance de l'industrie est grande et Lolita, toujours prisonnière.

J'aimerai être le vent et souffler sur la terre afin de réduire en poussière la haine et la misère... J'aimerai être une fleur et pousser sur la terre pour souffler un doux parfum de paix, d'amour et de bonheur ... J'aimerai être un petit oiseau et survoler la terre en laissant dans son sillage une mélodie d'amour... Et si l'Amour était dans les armes et dans les cœurs alors notre monde serait meilleur..

Il est arrivé un soir, Animal parmi d'autres animaux, Inconnu parmi les inconnus. Il est arrivé un soir, Avec ses frères de misère, Dans un drôle de convoi qui ne roule que la nuit. Il est arrivé un soir, Avec l'espoir de ceux qui ignorent qu'ils vont mourir, Avec cette solitude dans la multitude. Il est arrivé un soir, S'est blotti contre les petits corps chauds, Pour attendre la dernière heure. Il est arrivé un soir, A suivi le couloir aux premières lueurs, Pour mourir le matin venu. Il était arrivé un soir, Un animal à rayer sur les registres, Et puis c'est tout.

MESSAGE

Hirondelles : le début du grand rassemblement

L’automne semble vouloir prendre ses quartiers comme en témoignent ces hirondelles qui ont toutes, ou presque, quitté leurs nids douillets dans les granges et autres appentis pour se percher, en rangs d’oignon, sur les fils électriques.

Ce sont les plus jeunes qui ont initié le mouvement et qui, du haut de leurs perchoirs, observent les villes et villages qui les ont vu naître. Si certains individus, à l’instar de la petite nichée tardive qui vit ici, dans ma grange, continue à passer la nuit près du nid, la plupart des jeunes de l’année ont désormais investi des dortoirs situés dans des zones de roseaux ou au cœur de champs de maïs, les roselières étant de plus en plus rares.

Ce sont eux qui prendront les premiers le départ pour l’Afrique, bien avant leur parents, guidés par le champs magnétique, les étoiles, la lune mais surtout par un programme génétique qui les dispense d’apprentissage auprès d’adultes quant à la route à suivre.