Fandeloup

Solitaire, la tête dans les nuages, il était d'ailleurs. Pas besoin de passeport, quand son esprit pouvait voyager, là ou personne ne pouvait le joindre. Les quatre pieds sur terre, il savait que parfois il fallait savoir se perdre pour mieux se retrouver, quitte à se faire oublier dans son pays. Car tel est le destin du vrai Voyageur.

On passe une partie de sa vie à vouloir changer les choses, les êtres, à vouloir détruire certains obstacles , certaines paroles, à tenter d'escalader des montagnes, à croire aux belles paroles ... Arrive ce jour où l'on s'aperçoit, que s'adapter, c'est accepter que certaines choses ne changeront pas, quand elles ne dépendent pas de nous, parce que la sagesse, c'est la faculté de s'adapter au changement.

La nature dit toujours quelque chose... soyons à son écoute.

Je ne me lasserai pas de voir,ou encore, le plus important pour moi, de sentir la nature se réveiller.

Accompagner avec les yeux une feuille qui tombe,juste pour ne pas la laisser mourir seule....

Notre monde manque d'espaces silencieux. Là où l'homme ne sait plus où regarder, la lumière lui donne à voir, mais plus encore à penser. Et c'est dans ce silence, qu'il atteint la paix et la sagesse ... sentiment d'être en harmonie avec soi, perfection de l'instant, force et puissance, harmonie et équilibre des sens. Inspiration profonde qui nous fait comprendre que la lumière est un lieu et que ce lieu met tout en lumière, si l'on fait confiance au temps.

Et si l'on écoutait plus ? Si la parole est le corps de la pensée, le silence en est la tête. Abaisser sa cime vers l'autre, c'est l'écouter vraiment, c'est apprendre quelque chose, c'est s'approcher du mystère de la nature où dans chaque son s'incarne l'âme de l'autre.

Certains effleurent la lisière de notre existence pour s'imprimer en nous, en tissant des liens inaltérables. On ne sait comment, ni pourquoi, mais leur "être " nous accompagne à chaque instant de notre Vie

Le paysage est un état d'âme ... Le chant naturel de la nature est triste, même s'il exprime le bonheur La correspondance qui s'établit avec lui est de l'ordre divin, correspondance faite d'une foule de sensations fugitives. On en jouit, mais on ne peut les peindre. Et c'est mieux ainsi

La réalité est immonde

Il y a longtemps que cette pratique est connue : elle concerne TOUS les pays anglo-saxons ! Cela a été dénoncé il y a de longues années par les assos britanniques de sauvetage de greyhounds. Même les étudiants en école vétérinaires en Grande Bretagne ont dénoncé cette réalité, et ont reçu en réponse des menaces sur leur avenir , sur l'obtention de leurs diplômes ! Car oui, ce sont les greyhounds de course qui en font les frais.

En Europe, on pense que seuls les galgos sont maltraités. Les greyhounds de course le sont tout aussi largement, mais vous ne les voyez pas dans les rues comme c'est le cas en Espagne : les massacres se passent derrière les hauts murs de "refuges" bidons (qui sont des centres d'extermination), derrière les murs des centres d'expérimentation "scientifique", derrière les box prison des champs de course, pour finir écorchés sur l'étal de boucherie des marchés asiatiques. I

Ils sont des MILLIERS à "disparaitre" chaque année !

Personne ne veut l'entendre, le croire, depuis des dizaines d'années, malgré le militantisme des assos de défense de greyhounds. Tous ces témoignages ont même été dénigrés, niés avec vigueur par certaines assos pro-galgo, qui se sont livrés à une guéguerre "pour leur clocher", comme s'il était question de cela... Et maintenant, seulement maintenant, à peine des yeux et les oreilles s'ouvrent ! Messieurs dames: tous les pays anglo-saxons ont cette pratique ! N'oubliez pas que les pays "anglo-saxons ont "déclassé" le greyhound dans leurs lois: il n'est plus "chien de compagnie", mais "animal de rente", ce qui veut dire que l'humanoïde le plus taré a droit de vie ou de mort sur lui, sans avoir de compte à rendre.

    PITIE POUR LES GREYHOUNDS: OUVREZ LES YEUX !