Fandeloup

Quand le bébé naît, les médecins sont sous le choc en voyant son cordon ombilical!

Pour un papa, la naissance d’un enfant n’est jamais quelque chose d’aisé. Entre le stress de la situation et l’excitation de ce moment unique, il y a de quoi rendre chèvre plus d’un solide gaillard.

Alors quand cet internaute a été appelé en urgence dans la salle d’accouchement pour voir son bébé, il s’attendait au pire. Le médecin lui a dit de se dépêcher mais pour une raison bien particulière : il voulait qu’il voie le cordon ombilical de son bébé et qu’il le prenne en photo.

Pourquoi ?

Parce que c’est un miracle que son bébé soit encore en vie. Le cordon ombilical, qui unit le bébé à sa maman est d’une importance capitale. Il est composé de veines et d’artères et transporte les nutriments et l’oxygène nécessaires au bon développement du bébé.

S’il s’enroule au point de former un noeud, cela peut avoir de lourdes conséquences sur le développement du nourrisson et même conduire à sa mort. Ce sont les mouvements du foetus qui provoquent ces noeuds. Habituellement, ils sont assez laches, et donc sans danger pour le bébé. Mais parfois, ils peuvent être très serrés et se révéler alors extrêmement dangereux.

Ce risque concernent surtout les foetus qui sont déjà très grands par rapport à leur âge de gestation. Pour éviter que ces noeuds n’entraînent de graves accidents, il est recommandé aux parents de compter les mouvements de leur enfant dans l’utérus. S’ils en comptent moins de huit en une heure, il est alors conseillé de faire une échographie qui pourra indiquer si tout va bien pour le bébé.

Deux chiennes sauvées de l'euthanasie grâce à ... un câlin

Il y a 10 mois par Brice Kala et Keira, deux chiennes qui devaient être euthanasiées, viennent de nous prouver que les câlins pouvaient sauver des vies.

L'organisation Angels Among Us Pet Rescue, située dans le nord de la Géorgie, aux États-Unis, a publié il y a quelques jours cette photo de Kala et Keira accolés derrière les barreaux, quelques heures avant d'être tuées. Un texte émouvant accompagnait alors la photo : "Je suis Kala, voici Keira.

Nous avons tellement peur ici. Les gens qui travaillent au refuge savent que nous sommes terrifiées, mais ils nous ont dit qu'aujourd'hui était la date limite. Il faut que quelqu'un nous sauve sinon nous allons y passer.

Keira est noire, et elle pas un "vrai Boxer". Mais elle est tellement courageuse et me dit que tout ira bien, peu importe l'issue de la journée. Elle me dit d'être courageuse à mon tour, mais je ne sais pas si je peux l'être.

Pouvez-vous voir nos regards ? Keira sait ce qu'il va se passer. On peut le voir dans ses yeux. Elle est brave, mais je peux sentir son cœur battre la chamade alors que je m'accroche à elle. Si personne ne nous sauve, quelqu'un l'emmènera loin de moi. Je vais la voir quitter le corridor et je sais qu'elle ne reviendra pas. Je serai alors la suivante. Mais je ne serai pas aussi courageuse. Elle m'a donné de l'espoir alors que je n'en avais pas, et maintenant, c'est fini."

Le message partagé, le "bouche à oreilles" des réseaux sociaux fera le reste. En seulement deux heures les deux chiennes avaient déjà trouvé une famille. L'association a par la suite affirmé sur sa page Facebook que les deux chiennes semblaient très heureuses dans leur nouveau foyer.

Pas mal comme petite histoire n'est-ce pas ?

Voici la photo, pleine d'émotions, qui permit à Kala et Keira de sauver leur peau

Deux heures et six minutes plus tard, les deux jeunes filles avaient déjà trouvé leur Prince charmant  

Comme quoi les câlins, ça peut sauver des vies!

Il touche quelque chose de dur avec la pince à épiler dans la narine de cet homme.

Lorsque cela sort, ce dernier souffle de soulagement. Tout le monde connait la sensation désagréable d'un nez encombré.

Entre le pollen et la poussière, il y a toujours quelque chose qui vient se fourrer dans notre nez.

En règle générale, se moucher ou éternuer permet de nettoyer nos narines, mais le monstre qui se cachait dans le nez de cet homme a dû être retiré par un professionnel.

Une fois la mission terminée, le patient et le médecin ont, tous deux, les yeux pleins de larmes et à juste titre : Je pense que les personnes ayant regardé cette vidéo ont toutes perdu leur appétit, cependant, le patient lui est heureux d'en avoir fini avec cette gêne qui l'empêchait de respirer correctement.

Je suis sûr que comme moi, vous vous demandez comment une chose pareille a pu se produire et surtout comment elle peut être évitée ???!!! Malheureusement, seuls les ORL peuvent répondre à ces questions !

Juste avant la tempête, le maître attache son chien à un arbre et l’abandonne.

Voici ce qui arrive ensuite. C’est bientôt l’été, ce qui est synonyme pour les humains de vacances, détente et farniente et d'abandon pour les animaux.

Ce chien a été abandonné dans son quartier. Son maître n’a pas trouvé mieux que de l’attacher à un arbre et de le laisser là. Mais soudain, un violent orage est tombé et le chien s’est retrouvé seul, grelotant sous les trombes d'eau qui tombaient : Heureusement que cette voisine a le coeur sur la main.

En voyant le chien, elle a immédiatement fait tout ce qu’elle a pu pour le délivrer et le mettre à l’abri, chez elle. Il existe toujours une solution pour vos animaux lorsque vous partez en vacances. Mais l’abandon n’en est jamais une.

N’abandonnez pas votre animal de compagnie cet été !

Maltraitances en maison de retraite : des cas isolés ou un problème récurrent ?

À Nîmes, quatre plaintes pour des maltraitances ont été déposées contre une maison de retraite. Le manque de moyens est-il à mettre en cause ?

Cas isolés ou maltraitance généralisée dans les établissements ? Ce mercredi est la journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées. Quatre plaintes ont été déposées à l'encontre de la maison de retraite Les Oliviers, du groupe les Opalines, à Nîmes

 Une aide-soignante sera jugée devant le tribunal de Nîmes le 5octobre pour "coups et blessures sur personne vulnérable". Le tribunal correctionnel de Nîmes a déjà condamné une aide-soignante du même établissement il y a deux ans, pour des violences sur deux personnes âgées.

Après des années de courriers à la direction des Oliviers ainsi qu'à l'ARS, les familles des victimes présumées témoignent au micro de Fabien Randrianarisoa. Le 19 avril, les enfants de Jacqueline Bourion lui rendent visite à la maison de retraite quand ils entendent des cris qui viennent d'une autre chambre.

"Ça devait être vers 19h, donc ce n'est pas des heures où on est habitué à être sur place, du coup on a rencontré des claques et c'était 'taisez-vous, votre parole n'a pas d'intérêt, à qui vous le direz, c'est ma parole qui compte' et la mamie disait 'aïe, aïe, aïe, tu me fais mal' ".

Neuf jours plus tard, rebelote. Un agent de service hospitalier aurait été témoin des mêmes faits. Myriam, ex-agent de service hospitalier aux Oliviers Lettre d'attestation de constat d'une gifle donnée. - Aucun(e) Aujourd'hui, une employée de la maison de retraite le reconnait. L'aide-soignante mise en cause ne serait pas un cas isolé.

"Non, ce n'est pas la seule qui a fait de la maltraitance dans la maison, c'est pas la seule, mais elle en faisait beaucoup. C'est celle qui était plus reconnu en fait. Le plus reconnu parce que déjà, rien que verbalement, quand elle s'adressait à un résident, même en salle à manger, elle s'adressait à lui avec agressivité".

Et justement en 2014, la mère de Caroline Pico avait été victime d'une autre aide-soignante. " Ce qui s'est passé, c'est que ma mère a été découverte toute sanguinolente, le visage tuméfié, pleine de plaies ouvertes et elle a dénoncé. Au départ, elle ne voulait pas le faire par peur, et on a essayé, plus ou moins, de minimiser son discours, de la faire passer pour folle par la suite ".

Lettre envoyée en recommandé par la maison de retraite. - Aucun(e) En mémoire de sa mère, Caroline Picot a eu le courage d'aller en justice, pour obtenir la condamnation de l'aide-soignante qui violentait sa mère en 2014. Pour la direction de la maison de retraite, les faits de maltraitances sont des cas isolés.

Charlotte Félix, directrice de la maison de retraite Les Oliviers La direction de l'établissement a uniquement tenu à préciser qu'elle ne tolérait aucune dérive, afin de ne pas interférer dans l'enquête en cours. Nous avons également invité la direction du groupe les Opaline qui a refusé, en précisant "mettre tout en œuvre pour veiller au bien être de leurs résidents et de leurs salariés ".

Même demande à l'Agence Régionale de Santé qui n'a pas donné suite.

Peu après la naissance, l’éléphanteau est maltraité avec des lames. Des années plus tard, ils le forcent à entrer dans l’arène.

Travail de routine au Center for Elephant Conservation en Floride (USA) : un éléphanteau est attaché au sol et entouré de gardes qui le maltraitent avec des cordes et des bâtons.

Il est absolument inconcevable que des choses pareilles se passent au sein même d'infrastructures portant le blason "protection des éléphants".

Le fait est que derrière ce genre de traitements cruels se cache en fait une industrie de divertissement traditionnelle, connue de tous. Le gestionnaire de ce centre est la compagnie de cirque américaine Ringling Brother Circus qui utilise cette infrastructure pour faire reproduire et dresser les éléphants de cirque.

Les éléphanteaux sont retirés de leurs mères peu après la naissance et entraînés pour les représentations. Dans le processus de dressage, les hommes utilisent un instrument appelé le "crochet". Au bout de cette "canne de dressage", il y a deux lames qui sont généralement enfoncées dans la peau sensible de l’éléphant pour le dresser.

Les images sont la triste preuve de la torture à la fois physique et mentale infligée aux animaux. Il n’est pas surprenant de savoir que cette canne a été interdite dans de nombreux États des États-Unis. On devine que ce processus de dressage est très douloureux pour les éléphants lorsque l’on voit le nombre de morts.

Un éléphanteau de 8 mois a dû être euthanasié après avoir chuté d’une plate-forme et s’être fracturé deux pattes. Quelques années auparavant, un éléphant de 3 ans s’est noyé après avoir couru dans le courant d’eau le plus proche pour fuir la fameuse canne de torture.

C’est à cause de ce genre d’accidents, désormais largement connus du grand public, ainsi que de ces affreux clichés publiés par l’ancien dresseur, Sam Haddock, que la compagnie Ringling a mis fin à son programme de dressage d’éléphants.

Les éléphants à la retraite ont été renvoyés dans leur prison de torture : le Center for Elephant Conservation, en Floride. Personne ne sait vraiment si ces derniers sont toujours entraînés ou non. Selon la compagnie, les animaux sont également utilisés dans la recherche pour le cancer.

Néanmoins, des éléphants dans le monde entier continuent à être entraînés de cette façon absolument bouleversante. En Thaïlande, par exemple, les dresseurs ont recours à une technique bien particulière appelée "phajaan", dont le principe est de "briser l’esprit de l’éléphant".

En d'autres termes, faire en sorte que l’éléphant soit complètement soumis aux hommes. Pour ce faire, les animaux sont battus, affamés et privés de sommeil. Tant que des scènes terribles comme celles-ci existeront, tous les programmes comprenant des animaux servant juste à nous divertir, doivent être boycottés.

Il existe des sociétés protectrices des animaux ainsi que des réserves naturelles qui se battent pour la libération des éléphants de cirque torturés et qui méritent d’être soutenues : l'organisation Save Elephant Foundation ou la réserve naturelle Elephant Nature Park. Aussi choquantes qu’elles soient, les images ci-dessus peuvent marquer le début d’un tournant, d’une prise de conscience et d’une amélioration des conditions des éléphants.

Partagez cet article pour montrer à tous l’envers du décor magnifique et coloré des cirques.

POUR VOUS

À 64 ans, elle n’a aucune idée de ce qui lui pousse sous l’épaule. Quand le chat devient bizarre, elle comprend tout!

Tom est un petit chat de gouttière blanc et noir. Quand il était bébé, il pouvait attendre Sue McKenzie toute la journée sous la pluie. Mais son mari n’a jamais voulu que le chat entre dans la maison. Un jour Sue attire quand même le félin chez elle avec un morceau de viande.

Depuis, il n’a plus quitté la maison. 20 ans plus tard, Sue s’est rendue compte que ce jour-là, elle avait vraiment pris la bonne décision. Sue apprécie que Tom sache rester indépendant, voire même distant.

Il cherche rarement le contact avec les humains et se sent plus chez lui dans la nature. Mais un jour, son comportement change radicalement. Ce jour-là, Tom se met à suivre Sue, alors âgée de 64 ans, partout où elle va.

Une chose encore plus incroyable se produit lorsqu’elle s’assoit : le chat saute immédiatement sur ses genoux et se met à taper continuellement son épaule droite et son cou avec sa petite patte, en miaulant. Pendant 2 semaines, Tom continue à lui tapoter le cou et l’épaule dès qu’elle s’assoit.

Inquiète de ce comportement, Sue l’emmène chez le vétérinaire. Mais pour lui, tout va bien chez le chat. Et pourtant, en rentrant à la maison, Tom recommence son nouveau rituel étrange.

C’est alors que Sue comprend. Peut-être que Tom essaie de lui dire quelque chose ? Elle touche son épaule et sent une bosse. Sue se rend chez le médecin, qui l’envoie directement à l’hôpital. Le diagnostic tombe rapidement : elle souffre de la maladie de Hodgkin. Elle a une tumeur à l’épaule ! Elle se fait opérer et doit suivre des séances de chimiothérapie.

Un an plus tard, les médecins la rassurent : Sue, qui est grand-mère de 2 petits-enfants, n’a plus de cancer ! “Je dois vraiment remercier Tom”, raconte-t-elle, “mais il n’est pas d’humeur, il est redevenu distant et il me laisse tranquille désormais.”

Les animaux de compagnie sont souvent très importants pour leurs maîtres. Mais qui peut dire que son chat lui a déjà sauvé la vie ? Si, vous aussi, vous trouvez que le geste héroïque de Tom montre à quel point nos compagnons sont intelligents, partagez cette histoire avec tous ceux que vous connaissez !

Se relever d’une épreuve terrible prend du temps et demande de mener des combats pour laisser passer l’avalanche afin de devenir paisible, sans avoir de peur ni de terreur. Ainsi, pouvoir avancer, à contre-courant, sur le ruisseau de l’existence et se laisser bercer par le désir… d’attendre de nouvelles heures

Les sentiments d’hier ne s’effacent pas. Ils donnent naissance à ceux du présent et renforcent ceux à venir