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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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agression

Publié à 15:56 par fandeloup Tags : photo 2010 oiseaux chez
agression

Landes : Bougrain-Dubourg et des militants de la LPO agressés 

Une demi-douzaine de membres de la Ligue de protection des oiseaux (LPO) qui menaient ce lundi matin une opération contre le braconnage des pinsons ont été violemment pris à partie par des riverains à Audon (Landes).

Des journalistes qui accompagnaient les militants de la LPO, dont son président Allain Bougrain-Dubourg, ont également été la cible d'insultes et de violences.

Les militants avaient pénétré quelques minutes auparavant dans un champ de maïs à Audon où ils avaient repéré plusieurs dizaines de pièges à pinsons, appelés «matoles» dans le Sud-Ouest.

Alors qu'ils commençaient à détruire ces pièges, un riverain est sorti de chez lui armé d'une pelle. Il a alors insulté militants et journalistes puis frappé certains d'entre eux à l'aide de son outil, a constaté un photographe de l'AFP.

«On est intervenus sur une installation de plusieurs dizaines de pièges, a relaté Allain Bougrain-Dubourg. Quand on a voulu retirer les matoles, des gens sont sortis dans une grande violence, nous avons pris trois ou quatre coups de pelle, on est quatre ou cinq dans ce cas.»

Le pinson, espèce protégée depuis 1976

Un second riverain est également sorti en brandissant un outil agricole pour menacer écologistes et journalistes. Il a tenté à son tour d'arracher appareils photo et caméra.

Les pneus des véhicules de certains écologistes et journalistes ont par ailleurs été crevés. L'altercation a duré une quinzaine de minutes, jusqu'à l'arrivée des gendarmes appelés sur place. Ces derniers ont restitué à un journaliste une caméra dérobée par l'un des agresseurs.

Depuis 2010, la LPO lance chaque année des actions contre le braconnage des oiseaux dans les Landes lors desquelles ses militants détruisent les matoles.

Ces petits paniers grillagés sont utilisés par les chasseurs pour capturer les pinsons - une espèce protégée depuis 1976 - afin de les manger.

«C'est l'Etat qui est responsable»

Un peu plus tôt dans la matinée, les membres de la LPO avaient déjà détruit des matoles dans un autre champ de maïs distant de quelques kilomètres.

Autour de ces pièges, «nous avons découvert des dizaines de cadavres de chardonnerets», a-t-il affirmé. Selon lui, ces chardonnerets se font prendre dans les matoles, mais cette espèce protégée n'intéresse pas les chasseurs qui les écrasent pour s'en débarrasser.

«N'importe qui peut voir ces pièges depuis la route, l'impunité perdure ! C'est l'Etat qui est responsable, je suis sidéré que le ministère de l'Ecologie ne bouge pas alors qu'il sait très bien que ça existe et que la loi sur la biodiversité est en plein débat au Parlement», s'est insurgé le président de la LPO, qui dénonce un «décalage entre le discours officiel et la réalité de terrain».

Allain Bougrain-Dubourg a annoncé son intention de porter plainte pour cette agression et la dégradation de véhicules, ainsi que pour usage de pièges prohibés et destruction d'espèce protégée. Le riverain ayant porté des coups de pelle a, quant à lui, indiqué vouloir porter plainte pour violation de propriété privée.

olé

Publié à 15:15 par fandeloup

le bus de l'US Cognac rugby prend feu,

Publié à 15:08 par fandeloup Tags : chez enfants société photos divers google voiture actualité
 le bus de l'US Cognac rugby prend feu,

39 enfants évacués d'un bus en feu en Charente  

Le bus s'est stationné aux abords de ces habitations avant de prendre feu.

Une catastrophe a été évitée sur une route de Charente. Un autobus transportant une quarantaine de personnes, dont une majorité d'enfants, s'est violemment embrasé.

Aucune victime n'est à déplorer. Un drame évité de justesse. Ce dimanche matin, un bus a pris feu sur une route de Charente, rapporte Sud Ouest.

Le pire a été évité de justesse puisque 39 enfants ont été évacués en urgence par les adultes présents à bord.

L'autobus a été totalement calciné, comme le montrent des photos publiées sur le site du journal local. Un peu avant 9h du matin, les enfants qui partaient pour disputer un match de rugby ont vu de la fumée sous leurs pieds.

Le chauffeur du bus a alors stationné le véhicule aux abords d'habitations avant que les éducateurs présents ne fassent sortir les enfants.

Ces membres d'un club de rugby se sont éloignés du bus, qui aussitôt pris feu. "Même si tout s'est passé dans le calme, les enfants ont eu peur et nous aussi. On avait l'accident de Puisseguin en tête", a expliqué à Sud Ouest Alain Rougier, un éducateur du club de rugby qui suivait le bus en voiture.

Interrogé par La Charente Libre, le chauffeur du bus ne s'explique pas l'origine du drame, le véhicule ayant été en révision peu de temps avant l'accident.

Personne n'a été blessé "grâce à la présence d'esprit et au très bon réflexe du chauffeur du véhicule, qui l'a fait très vite évacuer avant qu'il ne s'embrase entièrement", ont précisé les pompiers. Une habitante a témoigné auprès du journal local avoir dû se réfugier chez sa voisine tant les flammes étaient puissantes. Sa maison a également pris feu.

Les pompiers ont réussi à maîtriser l'incendie vers 10h30 du matin. Les enfants ont été accueillis à l'école d'Étagnac, avant d'être récupérés sur place par leurs parents ou acheminés dans un autre car.

pétition

Publié à 14:27 par fandeloup Tags : vie amour animal animaux
pétition

Ministère de l'agriculture: Supprimer l'encagement total des femelles porc dans l'élevage industriel

Pourquoi c'est important

La vie n'est pas une marchandise.

Il est inadmissible que pour allaiter et engraisser plus de petits, la truie soit prisonnière d'un carcan l'immobilisant pour le seul profit - produire vite et beaucoup- , au mépris de la souffrance de la vie animale. Si le consommateur était au courant de ces pratiques, il préférerait pour manger du jambon sans souffrances inutiles, l'acheter en le payant plus cher.

On doit boycotter ces élevages intensifs que ce soit porcs, poulets ou vaches entassés dans des prisons où l'animal ne peut plus bouger.

En plus de l'aspect inhumain de ces pratiques, il faut dire que les chairs de ces animaux n'apportent plus rien à celui qui les mangent sinon les toxines endogènes créées par cette incarcération, toxines-poisons pour l'organisme humain.

On creuse sa tombe avec ses dents! Philosophes et romanciers ont dénoncé cette ignominie : "La cruauté envers les animaux est la violation d’un devoir de l’homme envers lui-même."

Tant que les hommes continueront à détruire sans pitié les êtres vivants des règnes inférieurs, ils ne connaîtront ni la santé ni la paix. Tant qu'ils massacreront les animaux , ils s'entretueront. En effet, qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l'amour.

«La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »

Pétition AVAAZ.org

Réchauffement

Publié à 14:03 par fandeloup Tags : monde mer paris
Réchauffement

Réchauffement: De grandes villes menacées par la montée des eaux

Hong Kong, Shanghai, New York ou Tokyo sont vouées, à long terme, à partiellement disparaître sous les eaux selon un rapport...

Shanghai, Bombay, ou Hong Kong: sous l'effet du dérèglement climatique, de grandes villes sont vouées, à long terme, à partiellement disparaître sous les eaux, même si le monde parvient à limiter le réchauffement planétaire à 2°C, soulignent des chercheurs américains dans un rapport publié dimanche.

A + 2°C, le niveau des mers continuera à s'élever, pour couvrir des territoires aujourd'hui peuplés de 280 millions de personnes, pointe l'étude de l'institut de recherche Climate Central, publiée à trois semaines de la conférence sur le climat de Paris.

«Un réchauffement de +2°C représente une menace pour l'existence à long terme de nombreuses grandes villes et régions côtières», souligne Ben Strauss, un des auteurs.

Mais à +4°C, le phénomène concernerait plus de 600 millions d'habitants. Deux cents ou deux mille ans Les mesures prises pour réduire rapidement et drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, qui dérèglent le climat et persistent dans l'atmosphère, feront malgré tout une différence:

«nous avons encore devant nous un vaste éventail de choix», ajoute le chercheur. Deux cents ans (ce qui est peu probable) ou 2000, il est difficile d'estimer la vitesse à laquelle la mer va monter, souligne l'étude.

En terme de population, la Chine serait en première ligne: à +4°C, la montée des eaux concernerait un territoire aujourd'hui peuplé de 145 millions de personnes, un chiffre divisé par deux à +2°C, selon cette étude, qui ne tient compte ni de l'évolution démographique ni de la construction d'infrastructures comme des digues.

Des phénomènes irréversibles au-delà d'un certain seuil Parmi les autres pays particulièrement affectés: Inde, Bangladesh, Vietnam, Indonésie, Japon, Etats-Unis, Philippines, Egypte, Brésil, Thaïlande, Birmanie, Pays-Bas...

Parmi les villes principales, Hong Kong, Calcutta, Dacca, Jakarta, Shanghai, Bombay, Hanoi, Rio, Buenos Aires, New York ou Tokyo. Un lien sur le site de Climate Central permet de visualiser les impacts, par grande ville côtière.

Un premier diagnostic sur les Etats-Unis, paru en octobre dans les Comptes-rendus de la revue Académie américaine des sciences, promettait l'engloutissement de Miami et la Nouvelle-Orléans. Les projections prennent en compte la dilatation de l'océan quand il se réchauffe, la fonte des glaciers mais aussi la dégradation des calottes du Groenland et de l'Antarctique, irréversible au-delà d'un certain seuil.

«La COP de Paris affectera la frontière globale entre terre et mer» D'une région à l'autre, cette élévation ne sera pas égale: «Dans la plupart des cas, elle peut se traduire en centimètres par siècle, mais les deltas et les zones urbaines» sont plus vulnérables, notamment parce qu'ils sont moins protégés par les sédiments.

L'étude se base notamment sur des données satellitaires sur les niveaux océaniques. Ben Strauss, co-auteur de l'étude, veut croire qu'il sera «possible de changer, l'économie comme la politique»: «Certaines réunions historiques ont dessiné des frontières territoriales. La COP de Paris affectera la frontière globale entre terre et mer».

tristesse

Publié à 13:20 par fandeloup Tags : amour animal chien chat chats
tristesse

Ce chat a été découvert enchaîné et cadenassé dans la forêt.

Si quelqu’un n’était pas passé dans les parages, cet adorable chat noir et blanc serait probablement toujours enchaîné dans les bois, seul… ou pire encore.

Janet Zimmerman, une bénévole au sein d’un refuge animalier, était à la recherche d’un chien perdu dans les bois, la semaine dernière, lorsqu’elle a entendu les miaulements d’un chat tout proche. 

« Elle a suivi les cris de l’animal jusqu’à de petits arbres et des bosquets, et elle a été horrifiée par ce qu’elle a découvert là », explique Copper’s Cat Commune, une association de sauvetage pour chats, dans une publication Facebook. « Car là, sous des branches épineuses, ou des ronces, se trouvait un chat noir et blanc…ENCHAÎNÉ À UN ARBRE ! »

Ce chat âgé d’à peine un an était enchaîné, avec un gros cadenas autour du cou. « Ce n’était pas un accident », a expliqué Zimmerman à la chaîne locale ABC13.

« Quelqu’un lui a délibérément fait subir cela. Il servait peut-être d’appât pour un chien, ou pour un autre animal, ou bien c’était un sacrifice d’Halloween. J’étais choquée et bouleversée. »

Copper's Cat Commune Copper’s Cat Commune Zimmerman l’a aussitôt sauvé de ce piège infernal. Le chat, depuis surnommé Forest par les sauveteurs, n’a pas particulièrement souffert de cette expérience, que ce soit physiquement ou émotionnellement. « Il est toujours très affectueux et sociable », explique l’association sur sa page Facebook.

Forest est désormais hébergé dans une clinique vétérinaire locale, tandis que les bénévoles de Copper’s Cat Commune s’efforcent de lui trouver la famille d’adoption idéale.

Dans l’intervalle, il fait des câlins à toutes les personnes qu’il croise, et il semble adorer tout cet amour et toute cette attention qu’on lui porte.

Les Tarahumaras

Les Tarahumaras

Les Tarahumaras, super-athlètes et fêtards de l'extrême

Dans "Born to Run", Chris McDougall, reporter-coureur américain, raconte comment il a été initié par le peuple le plus rapide de la terre. Fantastique.

 

 

Comme les Schtroumpfs ont leur village de champignons au milieu d'une vaste forêt, les Tarahumaras ont un pays, dans les montagnes au nord de Mexico : la Sierra Madre occidentale, à l'ouest de Chihuahua.

 

 

C'est une région grande comme la Suisse, faite de hauts plateaux (de 1 500 à 1 800 mètres d'altitude) et de canyons (de 500 à 1 800 mètres). Leur nom, donné par les premiers missionnaires, est une déformation de "raramuri", c'est-à-dire "les pieds qui courent", dans leur langue dérivée de l'uto-aztèque.

 

 

Dans ce pays tourmenté oublié de Dieu, voilà cinq siècles que ces farouches et taciturnes coureurs résistent à notre civilisation. La dernière fois qu'ils se sont ouverts à des étrangers, ces derniers les ont asservis, puis ont fiché leurs têtes sur des piques de trois mètres de haut.

 

Isolé du monde, ce peuple, descendant des Chichimèques, appartient à une civilisation lente où règnent la timidité institutionnalisée, la discrétion, la stratégie de la fuite. C'est toujours en prenant leurs jambes à leur cou qu'ils ont répondu à l'agresseur.

 

Ces fusées détalaient si vite, en se repliant toujours plus loin, que personne ne pouvait les suivre. Depuis, ils vivent reclus dans la meilleure planque à ciel ouvert du continent, le Copper Canyon, refuge de tous les désaxés d'Amérique, des bandits, des mystiques, des assassins, des jaguars mangeurs d'hommes, des guerriers comanches et des narcotrafiquants qui veillent à l'aide de lunettes si puissantes que rien ne leur échappe à des kilomètres à la ronde. Tribu fantôme et "snobinarde"

 

Une fois passé le territoire des Los Zetas et des New Blood, deux cartels rivaux d'une cruauté impitoyable, ce n'est pas dit qu'un Tarahumara daigne vous adresser la parole. "Ils n'aiment être vus que lorsqu'ils l'ont décidé, et poser les yeux sur eux sans autorisation, c'est comme déranger quelqu'un sous la douche", explique Chris McDougall.

 

Alors, pourquoi risquer une émasculation pour une tribu fantôme et "snobinarde" de surcroît ?

C'est qu'une question toute bête hantait le reporter pour les magazines Men's Health et Esquire : "Pourquoi ai-je toujours mal aux pieds ?"

Quand on pratique la course à pied, l'ultrafond ou le trail, c'est normal de se déglinguer. 80 % des coureurs sont confrontés aux blessures aux genoux, mollets, tendons, hanches ou talons, "que vous soyez lourd ou léger, crack ou poireau". Aucune invention n'a enrayé ce fléau.

Cette problématique va donc entraîner Chris McDougall à la recherche de l'homme qui courait comme les chevaux, Mica True, surnommé El Caballo Blanco (cheval blanc), un mystérieux ermite adepte de la sagesse antique, dont les amis les plus proches vivent dans des grottes et mangent des souris.

Adopté par les Tarahumaras, ce vagabond solitaire a fait de la course à pied son mode de vie, une source de joie permanente. Il vole à petites foulées sur des terrains suicidaires.

Personne ne peut le battre sur de très grandes distances, pas même un cheval. Les bobos, les maux de toutes sortes ? Disparus. Son secret ? Il vit comme l'homme des cavernes et court pieds nus ou chaussé de fines sandales de cuir.

Des jouisseurs surhumains Les Tarahumaras fascinent. "Cette modeste tribu recluse (a) résolu à peu près tous les problèmes de l'humanité, écrit l'auteur. Leurs grottes (sont) des couveuses de Prix Nobel tous voués à l'éradication de la haine, des maladies cardio-vasculaires, des périostites tibiales et autres gaz à effet de serre.

Il n'y a ni meurtre, ni guerre, ni vol, pas de corruption, d'obésité, de pédophilie, d'hypertension, de diabète, de dépression, puisque des quinquas étaient plus rapides que des ados, dont les grands-parents couraient des marathons à 80 ans."

On peut penser que leur mode de vie les oblige à une discipline d'enfer. Or, pas du tout. On découvre dans ce livre que ce ne sont ni des moines Shaolin, ni des ascètes, adeptes de diètes végétariennes, mais des jouisseurs surhumains, capables de résister à la douleur ainsi qu'à leur "lechuguilla", une affreuse tequila à base de serpent et de cactus, qui ferait cloquer la peinture.

Ils font la fête comme si c'était la Saint-Sylvestre toutes les semaines, buvant de la bière de maïs (tesgüino) jusqu'à l'épuisement des jarres.

Puis, ils se lèvent pour s'affronter dans des courses à pied de deux jours : la "rarahipa", dont le principe consiste à pousser une balle sans s'arrêter à la manière des footballeurs. Ecchymoses et gueule de bois Tout est possible pendant une "tesgüinada", la beuverie-marathon qui précède leur jeu de balle et le compromet parfois. Ces fêtes folles servent une noble cause.

Elles ont pour but d'évacuer les émotions explosives, les rancunes, dans une société très fermée, sans police, mais où chacun dépend des autres. Sans la bière, boisson sacrée et remède à tous leurs maux, les Tarahumaras se seraient éteints, estimait l'ethnographe et explorateur norvégien Carl Lumholtz, qui, dès 1890, va vivre près de huit ans parmi les peuplades autochtones de la Sierra Madre. Au quotidien, les hommes de la tribu ne trouvent pas le courage de flirter avec leurs propres épouses sans noyer leur timidité, au cours de cuites magistrales.

Souvent, de cette bacchanale naissent des enfants de père inconnu, rapidement rebaptisés fils ou filles de l'arc-en-ciel ou du Soleil. Aussi, chez certains peuples du continent, dès qu'un arc-en-ciel apparaît, les femmes restent-elles cloîtrées.

La course comme art corporel Dans les années 90, les amateurs d'ultrafond avaient déjà pu entendre parler des Tarahumaras. À l'époque, Rick Fisher - photographe aventurier pas très finaud - avait fait venir quelques hommes de la tribu jusqu'à Leadville, bourgade minière autrefois pimpante où se déroulait une de ces courses pour cinglés.

C'est là que les Indiens furent reconnus comme étant les plus grands coureurs d'ultra au monde. Puis Fisher, que les télés et les sponsors avaient rendu mégalo, s'est mis à dérailler et à voir trop grand

C'était oublier une chose : pour les Tarahumaras, la course, ce n'est pas du commerce avec des médailles, des chaussures méga-techniques, des contrats, des sponsors, mais de l'art corporel. Face à tant d'emmerdements, les Indiens regagnèrent leur canyon sans se faire prier et ne revinrent plus jamais à Leadville.

En tout cas, leur cas inspira les coachs et les chercheurs. Une équipe d'Harvard fit courir un guépard sur un tapis roulant avec un thermomètre dans le rectum pour évaluer sa résistance à la chaleur, ainsi qu'un porc pour comprendre pourquoi ce dernier était si mauvais coureur (absence de ligament nuchal).

D'autres scientifiques consacrèrent des années de recherches à la chasse à l'épuisement, et tentèrent même d'attraper, en vain, une antilope dans le Wyoming. Si l'aventure vous tente L'austérité des Tarahumaras est difficile à vivre, mais c'est certainement plus économique et plus efficace qu'une cure de "détox" à 5 000 euros et au terme de laquelle vous reprendrez tous vos kilos perdus.

Si l'aventure vous tente, commencez par oublier les semelles, puis courez 20 minutes dans l'herbe ou sur le sable, pieds nus ou avec des chaussures Vibram FiveFingers.

Faites de petites foulées rapides. Pour éviter les blessures, cultivez votre force, non pas en soulevant de la fonte, mais en escaladant un mur, en sautant un ruisseau, en rampant sous un tronc, en sprintant jusqu'à faire "exploser" vos poumons.

Pour devenir résistant, il faut subir des chocs. Mais ne le faites pas avant d'avoir consulté un médecin. N'étant plus des chasseurs-cueilleurs, le processus sera long.

Côté alimentation, le régime journalier des Tarahumaras se compose de :

500 grammes de tortillas,

400 grammes de haricots rouges,

8 grammes de sucre,

150 grammes de "pinole" (bouillie de maïs),

30 grammes de "nopoles" (bouillie de cactus),

30 grammes de quelites (plante locale),

15 grammes de poivron rouge,

30 grammes de courge,

6 grammes de lard,

3 grammes de café fort.

Auquel on peut rajouter une fois par semaine :

2 oeufs, 100 grammes de poisson ou de viande et une tasse de lait entier.

Les Tarahumaras possèdent également la recette d'un aliment qui les rend sveltes, forts et infatigables, l'"iskiate", que l'on obtient en dissolvant des graines de chia dans de l'eau avec un peu de sucre et de jus de citron. Une cuillère de chia équivaut à un smoothie de saumon, d'épinards et d'hormones humaines, et contient une quantité invraisemblable d'omégas 3 et 6, de protéines, de calcium, de fer, de zinc, de fibres et d'antioxydants.

Si vous deviez choisir un seul aliment à emporter sur une île déserte, c'est celui-là. Les coureurs aztèques en mâchaient en allant au combat et les Hopis y puisaient leur énergie pendant les courses épiques de l'Arizona à l'océan Pacifique.

 

sauvetage

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : annonce bonne histoire femmes animal chien voiture cadeaux
sauvetage

Un chien affamé était trop apeuré pour accepter l’aide d’étrangers.

Découvrez comment son histoire se termine

Parfois, la peur nous fait faire des choses stupides qui peuvent se retourner contre nous. Elle peut même nous pousser à refuser de l’aide venant de personnes que nous ne connaissons pas.

Un chien terriblement affamé et apeuré avait un comportement identique, dans l’état de Washington. Toutes les méthodes habituelles pour établir le contact avaient échoué.

Puis, deux jeunes femmes qui sortaient de l’ordinaire sont intervenues. Lorsqu’Amanda Guarascio et Dylan Parkinson ont entendu parler de la tragique histoire de ce chien, elles ont décidé de lui venir en aide.

Le malheureux animal avait été séparé de ses maitres (ou ils l’avait abandonné) et errait depuis plusieurs mois près d’une route très fréquentée. De nombreux conducteurs avaient tenté d’aider le chien et de le nourrir, mais il avait trop peur pour accepter ces cadeaux.

 Au début, Amanda et Dylan ont essayé de gagner la confiance du chien avec de la nourriture. Malheureusement, même avec elles, cette astuce n’a pas fonctionné. Elles ont décidé d’attendre quelques heures et de retenter une fois de plus, pour donner au chien le temps de s’habituer à leur présence. Mais elles ne parvenaient pas à gagner la confiance de l’animal.

Puis, Amanda a décidé de tester une tactique peu conventionnelle. Elle s’est allongée au sol en se recroquevillant, en tournant le dos au chien. Malgré ses premières peurs, le chien s’est rapidement désintéressé du corps immobile allongé au sol. C’est alors qu’Amanda s’est mise à ramper lentement vers lui. Elle a passé presqu’une heure ainsi, rampant vers l’animal centimètre par centimètre.

 Ses efforts et sa patience ont été récompensés. Le chien ne s’est pas enfui. Quelques minutes plus tard, lorsqu’il a été à portée de main, il s’est allongé près d’Amanda. Elle a réussi à caresser le chien délicatement. Mais elle ne voulait pas abuser de cette confiance durement gagnée. Elle a passé quatre heures de plus avec son ami à quatre pattes avant d’essayer de l’emmener dans sa voiture.

 Heureusement, le chien n’a pas opposé de résistance, cette fois. Actuellement, il se trouve dans la clinique vétérinaire du coin, où il est en train de se rétablir pleinement. La peur a failli le faire mourir de faim. Ces deux femmes ont eu assez de bonne volonté et de patience pour le sauver malgré tout.

un trou se forme sous une route

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : photo photos voiture
un trou se forme sous une route

Mississippi : un trou se forme sous une route et engloutit 15 voitures

Un effondrement de terrain a provoqué un phénomène impressionnant samedi, sur un petite route américaine. La route s'est soudainement ouverte pour aspirer une quinzaine de voiture.

Le glissement de terrain a été photographiée par les pompiers, prévenus de la situation par des riverains.Le glissement de terrain a été photographiée par les pompiers, prévenus de la situation par des riverains.

La scène a surpris les passants. Dans la soirée de samedi, devant un petit restaurant du Mississippi, les passants entendent un grand "boum". Ils ont à peine le temps de comprendre ce qui se joue quand la route s'ouvre sous leurs yeux.

Le phénomène, qui n'a causé que des dégâts matériels, serait dû à l'effondrement du terrain sous le bitume, causant l'apparition de ce qu'on appelle "wormhole", littéralement un "trou de ver". Sur Twitter, les riverains ont publié des photos de la scène.

tristesse

Publié à 09:42 par fandeloup Tags : animaux dessous vie bébé
tristesse

Ce petit veau veut voir une dernière fois sa mère avant d'être emmené. Mais alors...

L'élevage industriel est devenu normal. Cependant, bien que la vie des animaux est prédestinée à ce type d'horreurs, le lien entre une mère et son bébé ne peut être anéanti

 Le clip se termine avec le veau qui est rejeté en arrière. On ne voit pas où la mère est emmenée. Ce qui est clair, c'est que la mère est séparée du veau, cependant. Les vaches laitières doivent donner naissance chaque année afin de produire suffisamment de lait.

Les veaux retirés à leur mère après leur naissance sont vendus pour engraissement ou élevage. Bien que cette pratique soit la routine de l'industrie laitière, la séparation de la mère et du veau est à chaque fois un moment déchirant.