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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ils sont doués de passions.. Ils sont doués de raison. Ils ont des sentiments.. Dans leurs veines coule du sang. Sang froid ou sang chaud Ce ne sont pas que des animaux. Ils miaulent, grognent ou ululent Aboient, sifflent ou hurlent, piaillent, chevrotent ou trompettent, rugissent, feulent ou caquettent .Mais arrêtons de les appeler des bêtes...
Comme nous, ils aiment la vie .Comme nous, ils aiment leurs petits.
Arrêtons de les tuer et de les manger. Arrêtons de les considérer avec infériorité
Mais laissons-les vivre à nos côtés. On les maltraite, on les torture. On prend leur peau et leur fourrure. Nous leurs faisons subir tant d’atrocités qu’il est pour moi impossible de tout citer. Mais certains sont de leur coté .Certains ont compris le mot Humanité. Le mot Humilité. Nous pouvons tous, c’est certain, les aider sans pour cela les aimer. Au moins les respecter et ne plus les manger. A ceux qui ont déjà compris, a ceux qui connaissent le prix d’une vie .Je ne dirais que ceci. Restez forts, restez unis. Chaque jour le rang des bons grossit. Les sans voix comptent sur vous, sur moi, sur toi. Pour que s’élèvent d’une seule voix Ces simples mots, PLUS JAMAIS CELA.
Il y a ceux qui tuent
Il y a ceux qui sauvent
Il y a ceux qui respectent
Il y a ceux qui sont abjects.
Il y a ceux qui protègent la vie,peu importe quelle vie,Et ceux qui au moindre regard sortent le fusil ou le poignard.
Parfois, il suffit d’écrire pour exprimer son ressenti. Mais comment mettre la peine et la douleur dans des mots ? La tristesse de mon cœur qui chaque jour grandit. Je suis triste pour toutes ces bêtes. A chaque seconde, on se demande ce que l’on va lire ou voir d’encore pire. L’horreur avec un grand H pour tous ces animaux. La vivisection, la reproduction intensive, la torture, l’abattage, l’élevage en batterie, l’abus sexuel, j’en passe et des meilleurs
Comment peut-on se dire Humains et commettre tant de méfaits. Ce qui me désole le plus c’est que tous les peuples du monde sont concernés, ce qui prouve que l’humain est mauvais dans ses gènes. Bien sûr, il existe de belles personnes, celles qui ont su évoluer et qui protègent au lieu de détruire, mais si peu. Nous sommes ancrés dans ce monde de consommation, nous en voulons toujours plus en détruisant tout.
Le futile est devenu maître de nos vies. Tout est prétexte pour tuer et massacrer.
Qui pense quand il se maquille ou se lave à toutes ces bêtes qui sont sacrifiées pour notre soi-disant beauté ?
A toutes ces bêtes que l’on dépèce vivantes pour se vêtir. A ces taureaux sacrifiés dans les arènes, les combats de coqs ou de chiens, les courses de lévriers, la chasse à courre, etc. Toute cette méchanceté gratuite et inutile qui ne fait que le plaisir de quelques-uns.
Comment peut-on encore dormir sur ses deux oreilles en faisant tant de mal ?
Tant de questions, si peu de réponses. Et moi, je fais quoi de mon coté ?
Pas grand-chose en tout cas, je suis là à me poser toutes ces questions sans arriver à trouver de vraies réponses. Je prends soin de mes bêtes, des oiseaux qui ont faim, je protège du mieux que je peux la nature qui m’entoure, j’utilise des produits non testés sur les animaux mais est-ce bien suffisant ou est-ce assez pour me donner un semblant de bonne conscience ?
Aurais-je le courage de changer ma vie pour trouver du temps à accorder à toutes ces petites âmes sans défense?
Il faut que je trouve le courage de le faire, il faut que j’écoute mon cœur, on a qu’une vie et vivre avec des regrets n’est pas ce que je souhaite.
Quand je pars, aux frayeurs de la nuit, que mon corps doucement s'enfuit, ton parfum comme une peau sur mon corps, m'accompagne pour être plus fort, aux heures sombres qui tournent, comme l'horloge repoussée par le vent, une éternité à contre sens de la vie, qui vient souffler la dernière bougie, je roule vers un destin inconnu, lieu où les ébènes me mettront à nu, pénombre qui me mène aux lendemains, pour me ramener à tes mains, quand tu pars, aux éclaircies du matin, que ton corps vient et me rejoint, mon parfum comme ces embruns, t'accompagne sur ce chemin
Les Galgos
Je fais partie des canins .Je suis une race de chiens.Je suis normalement ton meilleur copain.
Mais moi, va savoir pourquoi je suis né pour souffrir .Né pour ton plaisir. Né pour t’obéir. Tu ne t’occuperas jamais de moi .Jamais tu ne me parleras. La seule chose que tu feras pour moi est de crier, me battre et m’exploiter. Je passerai ma vie derrière toi .Ma pauvre et misérable vie a courir derrière des leurres pour te combler de bonheur. Pendant quelques années, si j’arrive à te faire gagner tu me garderas dans ton foyer, sans aucune considération pour moi. Juste un repas et un toit. Jamais, tu ne me prendras dans tes bras. Jamais tu ne joueras avec moi .Jamais rien tu ne partageras. Je ne serai jamais ton chien .Moi qui rêvais d’être ton meilleur copain. Puis arrivera le jour tant redouté. Où tu seras blasé, où tu seras frustré. Pour une course mal négociée, une course que je n’aurai pas gagnée Tu décideras de me punir, de te venger. Alors tu chercheras le pire moyen. Et je sais bien que vous les humains vous ne manquez pas d’imagination pour arriver à vos fins. Je serai sûrement trainé derrière une voiture ou pendu devant une devanture. Je serai peut-être torturé. Battu ou amputé.Laissé pour mort au coin d’une rue. On me jettera dans un puits en attendant mon agonie. Si la chance est de mon côté, je serai sûrement sauvé et adopté par une famille aimante à l’étranger. Mais faut pas se leurrer, faut pas rêver. Les trois quart d’entre nous finiront dans un trou. Au nom de quel art, quelle tradition peut-on nous faire vivre de cette façon ? Nous, Podencos, Galcos ou lévriers ne demandons qu’à être aimés.Alors merci à ceux qui se battent pour nous. Merci à vous de prendre soin de nous.
Je verse une larme sur toi mon ami,ou que tu sois dans n’importe quel pays. Je verse une larme sur toi mon petit pour ne pas oublier qui je suis. Je suis si impuissante, si fatiguée de ne pas pouvoir plus vous aider. Chaque jour, plus de connerie humaine renforce ma peine et ma haine. Toujours plus de cruauté, d’atrocités et ceci dans le monde entier, aucun pays, aucune ethnie qui ne vivent sans vous massacrer. On a beau le dire, on a beau l’expliquer. Les massacres ne font que continuer. Beaucoup se réjouissent de vous voir souffrir .Certains en éprouvant même du plaisir. Combien d’entre nous vous entendent crier ? Vous entendent nous appeler le soir dans leurs nuits agitées. Car, mon sommeil n’est point serein tant que je ne vous sais pas bien. Je ne sais plus quoi dire, ni écrire pour soulager votre martyr. Alors je verse des larmes sur vous, mes amis. Vous qui m’avez, il y a longtemps choisi. Je sais que ce n’est rien par rapport à votre chagrin. Mais je me dis que chaque larme coulée fait qu’un animal soit sauvé
Un peu rouillés, voir cabossés, tous ces wagons,mal agencés, en file indienne, ils vont rouler, destination, personne ne sait, toute une famille, éparpillées, l'espoir de voir le jour se lever, celui aussi de s' retrouver, en pays neutre à l'arrivée
Telle une feuille de chêne parcourant le ruisseau je navigue au gré de l’eau. Telle une plume emportée par le vent je me balade allègrement. Tel un grain de poussière soulevé par les pieds je m’élève au firmament. Je me sens emportée, je me sens vidée. Telle une coquille de noix dont le fruit a pourri .Telle une fleur fanée disparue avec la fin de l’été. Tel un arbre trop vieux et que l’on a coupé .Je vieillis et ainsi passe la vie.
Le vent
As-tu déjà entendu le vent te parler ?
As-tu déjà pris le temps de bien vouloir l’écouter ?
Lorsqu’ ‘il veut te parler, il souffle dans les branches s’approche de toi avec nonchalance et siffle toutes ses doléances. Bien sur que l’on ne le comprend pas. Bien sûr que l’on ne sait pas qu’il a tant de choses à nous dire. Parfois, je m’allonge où je m’assois et j’attends qu’il vienne à moi. J'ouvre grand mes oreilles et mon cœur et quand il sent que je suis prête,il arrive sans bruits et sans peurs pour essayer de m’expliquer sa requête..
Et sais-tu ce qu’il me dit ? Il laisse siffler sa peine et son mépris pour ce que nous faisons de notre vie. Il pleure sur les arbres et les taillis. Parfois la colère le prend, et il nous envoie tempêtes et ouragans. Mais il me dit, j’ai beau vous avertir,j’ai beau vous le crier vous fermez les yeux sans vous soucier. De ce que la nature vous a donnée Savez vous qu’elle peut aussi le supprimer ? Si vous aussi, vous voulez l’écouter, prenez le temps tout simplement d’honorer et d’aimer chaque être vivant. Alors vous aurez ce privilège charmant d’avoir comme ami, Monsieur le Vent.