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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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chateau

Publié à 09:45 par fandeloup Tags : nature animal bonne
chateau

Notre planète est sublime ! Pour le constater, il suffit de bien observer la nature : elle marche comme une machine bien huilée et les spectacles qu'elle nous offre sont parfois à couper le souffre. Qu'il s'agisse d'une montagne au mille couleurs ou d'un animal aux multiples têtes, notre bonne vieille Terre ne cesse jamais de nous étonner. Sans compter ce que nous-même, humains, apportons de beauté et de bizarrerie !

Fort de Cittorgarh, en Inde



Cette chienne a eu une fin horrible

Publié à 09:24 par fandeloup Tags : société google chez amis mort animal animaux enfant
Cette chienne a eu une fin horrible

Cette chienne a eu une fin horrible, les gens se mobilisent pour retrouver le coupable

                   Epsy, retrouvée par son maître, le collet au cou.

 La chienne de 12 ans a été retrouvée morte par son maître et un voisin. Une plainte a été déposée à la gendarmerie de Lantosque. La SDA et la Fondation Brigitte Bardot ont été alertées.

"Je ne dors plus, je ne mange plus, je ne vis plus." Un flot d'incompréhension, de tristesse et beaucoup de colère aussi, envahit Pascal Jouanny, qui habite depuis 4 ans le hameau Le collet des moutons, au Cros d'Utelle. Vendredi après-midi, il a découvert sa chienne morte, étranglée, par un collet à sanglier, sur un sentier, près de chez lui.

"J'ai vu ma chienne pendue au câble", dit-il la colère dans la voix. "Elle était déjà morte, encore chaude. J'en suis malade. Je ne vois plus que ça. Je ne pense plus qu'à ça.

Epsy, c'était comme mon ombre. Je suis chauffeur-livreur et elle m'accompagnait tout le temps dans le camion."

Samedi, Pascal Jouanny est allé porté plainte à la gendarmerie de Lantosque. "Je leur ai laissé le collet, pour qu'ils regardent s'il y a des empreintes. J'espère qu'ils vont prendre cette affaire au sérieux.", dit-il, bien décidé à ce que celui qui a installé ce piège interdit, réponde de ses actes.

La mort de la chienne a suscité l'indignation dans le voisinage. Et la révolte s'organise.

La SDA - la Société de défense des animaux - a été contactée immédiatement. Patrick Villardy, son président, est outré : "Il n'y a pas qu'un animal qui peut se prendre dans un collet, cela peut aussi être un enfant.

Je vais me porter partie civile dans ce dossier." De même, la Fondation Brigitte Bardot et 30 millions d'amis ont été alerté, ainsi que l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Sur Facebook, l'affaire se répand et une pétition va être lancée.



horreur

Publié à 08:35 par fandeloup Tags : bleu enfant fille annonce 2010 mort femme chez amour bonne homme vie citation
horreur

Meurtre du petit Bastien : 30 ans de prison pour le père, 12 ans pour la mère

La cour d'assises de Melun a condamné le père du petit Bastien, enfermé vivant dans un lave-linge, à trente ans de réclusion pour meurtre, mais aussi la mère à douze ans de prison pour complicité.

Christophe Champenois et Charlène Cotte, les parents du petit Bastien. Christophe Champenois et Charlène Cotte, les parents du petit Bastien.

Quatre jours de débats et quatre heures de délibéré. Et hier à 22 heures, la cour d'assises de Seine-et-Marne a rendu son verdict dans le procès de l'affaire Bastien, l'enfant martyr de la machine à laver. Elle a condamné le père, Christophe Champenois, reconnu coupable de meurtre, à trente ans de réclusion criminelle, dont vingt ans de sûreté, et la mère, Charlène Cotte, coupable de complicité de meurtre et violences, à douze ans de prison.

L'accusée, qui comparaissait libre, a été incarcérée sans verser la moindre larme devant ses proches, effondrés. La cour et les jurés n'ont donc pas suivi l'avocat général qui, hier midi, avait requis la perpétuité à l'encontre du père, accusé d'avoir tué son fils de 3 ans en le plaçant dans le lave-linge, mais un acquittement en faveur de la mère pour la complicité, réclamant par ailleurs cinq ans de prison pour les violences.

Le magistrat avait fait une distinction majeure entre les parents impliqués dans cet effroyable infanticide. Plus tôt donc, il avait développé ses arguments.

Eric de Valroger considère que Charlène Cotte n'était pas complice, au sens juridique, du meurtre de son fils, à Germigny-l'Evêque le 24 novembre 2011.

 Meurtre de Bastien : le père condamné à 30 ans de réclusion, la mère à 12 ans

« Si je devais requérir sur des principes moraux, je l'enverrais à l'échafaud, a-t-il lancé à l'attention des jurés. Vous n'êtes pas ici pour faire de la morale mais pour prendre une décision fondée sur le droit. »

La chambre de l'instruction avait renvoyé la mère devant les assises pour complicité, estimant qu'elle a voulu détourner l'attention de sa fille en faisant un puzzle avec elle pendant que Bastien mourait dans le lave-linge.

« A quoi cela servait-il de détourner l'attention de M. qui n'avait pas la possibilité d'intervenir à son âge (NDLR : 5 ans au moment des faits) ? » a interrogé Eric de Valroger, qui dépeint une femme dominée, immature, une mère indigne. Quant à Christophe Champenois, il l'a qualifié de cruel, rappelant ses paroles à l'annonce du décès de Bastien :

« Comme ça, il ne nous emmerdera plus [...] On aura une alloc en moins. » Puis l'avocat général a enfoncé l'accusé avec cette citation de Victor Hugo :

« Derrière lui, le meurtre laisse un vomissement, qu'un jour il faudra boire. Le jour est venu de boire, M. Champenois. »

Les avocats de la Voix de l'enfant, Enfance et partage et l'Enfant bleu, trois associations parties civiles, ont, eux, estimé que rien n'aurait été possible sans la mère.

« L'enfant a été replacé dans sa matrice originelle, le tambour d'une machine à laver, comme dans le ventre de sa mère. Charlène Cotte le lave quand il sort en sang, comme lors d'une naissance », plaide Yves Crespin pour l'Enfant bleu.

Avocate de la sœur de Bastien, Me Catherine Bahuchet s'est tue durant une bonne minute pour montrer à la cour que Charlène avait eu « cinq fois plus de temps pour sauver Bastien.

En 2010, elle a la force d'enfermer son compagnon dans la chambre quand il veut emmener M. Comment croire qu'elle n'ait pas eu l'énergie de réagir alors qu'elle sait l'issue de Bastien fatale ? »

Puis elle s'emporte, fixant les parents : « Votre fille sait ce que vous avez fait, elle ne peut pas se construire sur vos mensonges ! » Défenseur du père, Me Jean-Christophe Ramadier a livré une plaidoirie lucide et pleine d'humanité, parlant d'un crime qui dépasse l'entendement. Il a tenté d'expliquer que le père de Bastien appelait au secours :

« Quand il menace, la veille, sur la messagerie d'un travailleur social, de jeter son fils par la fenêtre, c'est un appel au secours. Le week-end du 11 novembre, il était chez ses parents avec Bastien, et lui avait fait un câlin. Il adhérait aux services sociaux. Je porte ce dossier comme un fardeau depuis quatre ans. La grandeur d'un homme, c'est aussi sa fragilité, j'en appelle à votre humanité et à la paix. »

Décrivant la vie de sa cliente, « sous perfusion des allocs, du RSA et des Restos du cœur », Me Gérard Zbili, l'avocat de la mère, a essayé de convaincre que l'absence de larmes n'est pas une absence d'affect. Car, durant ces quatre jours, les témoins étaient émus, certains en pleurs. Jamais Charlène Cotte.

« Mon fils, je l'ai aimé, je n'ai pas voulu sa mort. D'habitude, j'arrivais à calmer Monsieur. Ce jour-là, sa haine était plus forte. Bastien sera toujours dans mon cœur. J'ai grandi, si ça devait recommencer, je parlerais, je n'aurais plus peur », a dit l'accusée hier. Des mots d'amour, enfin.



horreur

Publié à 07:59 par fandeloup Tags : chat animal texte actualité chats nuit travail chez vie
horreur

Un chat torturé avec un fil de clôture à Charleroi: "Il était presque coupé en deux..."

Ce mardi, un vétérinaire établi à Ransart a sauvé la vie de Pierrot. Ce chat a été découvert très mal en point vers 19h par sa maîtresse. Le pauvre animal avait un fil de clôture extrêmement serré placé autour du corps.

« Une nuit de plus et il n’aurait pas survécu », nous apprend-on au cabinet du vétérinaire. 37 réactions Envoyer à Imprimer Pierrot a survécu mais il a dû passer la nuit au cabinet du vétérinaire.

 Pierrot a survécu mais il a dû passer la nuit au cabinet du vétérinaire. « Propriétaires de chats, prenez garde, un détraqué sévit sur Ransart ! Il attrape vos chats et entoure leur bassin d’un fil de clôture qu’il serre au maximum !

Faites attention, regardez minutieusement vos minous car c’est tellement serré que ça se cache sous les poils. Si vous remarquez ce type de barbarie, c’est une urgence ! Foncez directement chez votre vétérinaire ou en clinique. Partagez l’information autour de vous ! »

C’est le mot que l’on peut lire sur la page Facebook d’une vétérinaire établie dans la région de Ransart et qui a préféré rester discrète. Un texte alarmant qui vise à mettre en garde les propriétaires de chats.

Pourquoi ? Parce qu’il y a eu une victime dans le quartier. Il s’appelle Pierrot et mardi, il a failli mourir. C’est en rentrant du travail mardi dernier que cette dame, appelons-la Marie, a retrouvé son chat, qui l’attendait de pied ferme.

« Elle a été surprise parce que le chat est resté tout près d’elle, il miaulait et se frottait. Avec insistance. Pourtant, les chats, c’est très indépendant. Ça vient voir quand vous rentrez mais après, ils vivent leur vie ! Et là, le chat insistait auprès de sa maîtresse », nous explique une personne qui travaille au cabinet de la vétérinaire.

« Et c’est en le caressant qu’elle s’est aperçue que quelque chose lui enserrait l’abdomen. Le chat était presque coupé en deux », raconte-t-elle.



bonne nuit

Publié à 18:49 par fandeloup

Un hôpital admet les animaux

Publié à 18:40 par fandeloup Tags : bonne france animal animaux chiens chats
Un hôpital admet les animaux

Un hôpital admet les animaux de ses patients en Italie

C’est une mesure exceptionnelle qu’on aimerait voir arriver en France!

A Treviglio, en Italie, les patients peuvent désormais se faire hospitalier avec leurs animaux de compagnie, à condition toutefois que certaines règles simples soient respectées.

A Treviglio, le Conseil municipal vient d’adopter une mesure qui permet aux chats, aux chiens et aux lapins d’accompagner leurs maîtres lorsque ceux-ci sont hospitalisés (sauf dans les services de réanimation, d’anesthésie et de gynécologie).

Cette décision concerne les 4 hôpitaux publics de la ville de 29000 habitants, et entrera en vigueur mi-septembre. Quelques règles simples Pour que les animaux soient admis dans les services de soins, il suffira de se conformer à quelques règles simples : l’animal devra être à jour de ses vaccins, porter une puce et être détenteur d’un certificat de bonne santé.

Chats et lapins devront avoir une petite cage ou un panier pour dormir, et les promenades dans les couloirs ne seront tolérées qu’en laisse.

Quant aux chiens, la laisse sera obligatoire, de même que la muselière si il s’agit de molosses. Ce dispositif permettra aux personnes n’ayant pas de solution pour faire garder leur animal pendant leur hospitalisation de ne plus s’inquiéter à ce sujet ; et permettra également aux passionnés d’animaux de ne pas être séparés de leur compagnon à des moments où leur réconfort leur manquerait cruellement. La même chose en France? En France, certains centres hospitaliers acceptent la présence sporadique de « chiens visiteurs ».

De nombreux médecins ont constaté que la présence d’animaux aidait les patients à se sentir mieux. Quelques maisons de retraites de l’hexagone commencent à accepter que leurs pensionnaires s’y installent avec leurs animaux de compagnie, pour les mêmes raisons. Alors peut être que bientôt, des hôpitaux français accepteront eux aussi les petits compagnons des malades.

En outre, la Lombardie (région dans laquelle se situe Treviglio) serait sur le point d’adopter une loi régionale donnant accès à tous les lieux publics, sans exception, aux animaux de compagnie. Là encore, voilà une idée qui fait rêver !



apprendre

Publié à 17:59 par fandeloup
apprendre

Apprenez à être seul, c'est tout. Et rappelez-vous, une personne qui sait être seule n'est jamais seule. Ceux qui ne savent pas être seuls, sont seuls et isolés.



tristesse

Publié à 17:48 par fandeloup Tags : animaux
tristesse

Après chaque enquête dans un zoo , j'essaye de trouver un mot qui décrit mon ressenti. Pour le zoo d'Anvers ce mot est " Honte"... Honte a ce zoo de maltraiter psychologiquement les animaux et honte a nous, du moins a ceux qui s'y rendent de cautionner ça.... Celui qui ose parler de bien être dans un zoo n'a jamais connu la captivité....

Asbl Wolf Eyes



tristesse

Publié à 17:13 par fandeloup Tags : pouvoir vie france animaux
tristesse

Déchirant sdf qui pleure parce qu'il a entendu une dame se plaindre de son odeur. Il s'en excuse et des larmes coulent doucement le long de son visage...

Il dit qu'il ne sait plus où se mettre, que la rue l'a détruit, qu'il se fait honte... Il a le visage de quelqu'un qui boit... Et alors ? Qui peut s'octroyer le droit de le juger ?

Une quarantaine d'années, 7 ans dehors, affamé, malade depuis des jours et avec une chienne, ce qui l'empêche d'accéder à un éventuel lit...

Et pendant ce temps-là de "faux sdf" exploitent la France et nos animaux...

Quelques euros lui ont été donnés. Je le rattrape sur le quai en lui disant de ne plus jamais s'excuser, que c'est aux gens de le faire quand ils se montrent si cruels, qu'on se retrouve du jour au lendemain dans la rue et qu'il ne devrait pas y être, HONTE À LA FRANCE.

Il me dit qu'il n'a rien fait de mal pour être dans la rue et qu'il n'en peut plus, qu'il est sans cesse humilié. Je lui dis de s'accrocher, de garder le moral, de ne pas flancher, que son destin va changer, que c'est une longue étape dans sa vie... il pleure encore... Il répond qu'il va essayer... Je tente de trouver des mots... je ne les trouve pas... Je préférerais pouvoir lui filer ma paye...

Et pendant ce temps-là, je sens une petite langue chaude dans ma main... Sa petite chienne noire me remercie clairement d'être avec son maître, de lui parler sans pitié, sans condescendance, comme à un être humain normal et pas comme à une merde...



maltraitance

Publié à 16:31 par fandeloup Tags : assistante maternelle chez enfants femme bébé
maltraitance

Strasbourg : 18 mois de prison ferme pour la nounou violente

Une nourrice a été condamnée par le tribunal correctionnel de Strasbourg à 18 mois de prison ferme pour des violences sur une fillette de 9 mois dont elle avait la garde.

Une assistante maternelle de 49 ans a été jugée coupable de violences sur une fillette de 9 mois dont elle avait la garde en janvier 2014.

Cette femme a été condamnée par le tribunal correctionnel de Strasbourg (Bas-Rhin) à 18 mois de prison ferme.

Le bébé avait dû être hospitalisé pour des fractures aux avants-bras et plusieurs hématomes. Poursuivie pour violences sur mineur de 15 ans, la prévenue qui comparaissait libre, a été condamnée mercredi à une peine de 18 mois ferme aménageable, assortie d'une interdiction définitive d'exercer une activité en lien avec des enfants, selon le greffe du tribunal correctionnel de Strasbourg, confirmant des informations des Dernières Nouvelles d'Alsace.

Le parquet avait requis 4 ans d'emprisonnement dont 2 ans ferme. La nounou a nié les violences Présentée comme une nourrice exemplaire selon des témoins, la prévenue qui totalisait 18 ans d'expérience, s'était vue confier la garde de la victime en janvier 2014.

Durant la garde, elle avait envoyé des SMS à la maman, dans lesquels elle se plaignait du comportement de l'enfant, selon une source proche du dossier.

Venue récupérer son enfant un soir chez cette assistante, le bébé avait été pris de vomissements et, sur les conseils d'un pédiatre, conduit aux urgences du CHU de Strasbourg où des médecins avaient relevé des blessures.

La protection de l'enfance avait alors alerté le procureur de la République et l'enfant avait été retiré à ses parents pour être placé dans une famille d'accueil durant quelque 17 jours d'enquête. Mis en cause par la nourrice, le père avait été entendu par les enquêteurs avant d'être rapidement mis hors de cause.

«La nounou a orienté les recherches sur le papa mais cette piste a été rapidement écartée, il a été relâché», a expliqué l'avocate des parents Me Audrey Infantes.

A la barre, l'assistante maternelle a nié être l'auteur des blessures présentées sur le corps de la jeune victime. Plaidant l'existence d'un «doute» dans cette affaire, son avocat avait plaidé la relaxe de sa cliente.



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