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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Publié à 15:44 par fandeloup Tags : message

horreur

Publié à 15:25 par fandeloup Tags : monde animaux
horreur

Abject Archaïque Façon désuète de se nourrir dans le monde occidental

Quels que soient les animaux consommés de cette manière ou d’une autre manière, les hommes sont toujours aussi monstrueux, et ce, quelles que soient les espèces animales torturées pour leur alimentation.

fondement

Publié à 14:50 par fandeloup Tags : monde nature
fondement

 L’Amour est le fondement du monde. Où il y a l’Amour, il y a la paix, là où il y a égoïsme il y a misère et souffrance. Apprenez de Mère nature qui donne d’Elle-Même, même si elle est exploitée par l’Homme.

horreur

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : sur bonne vie animaux animal
horreur

Les queues des cochons sont systématiquement coupées dans les élevages porcins français, révèle un audit mené par la Commission européenne en juin 2019.

Pourtant, la réglementation en vigueur impose des mesures préventives pour réduire le stress des animaux afin d’éviter le recours à cette mutilation.

La Fondation 30 Millions d’Amis exige du ministre de l’Agriculture Didier Guillaume des mesures pour mettre fin à cette barbarie. Un simple « soin », aux dires (sibyllins) des éleveurs… Plus de 20 millions de porcelets – soit 99 % du cheptel français – subissent chaque année la « caudectomie ».

Cette mutilation consiste à leur couper la queue afin d’éviter de futures morsures entre congénères (en raison des conditions d’élevage). Alors que la directive européenne sur la protection des porcs en élevage (2008/120/CE) interdit le recours systématique à cette pratique, préconisant d’améliorer les conditions de vie des animaux , l’amputation de la queue est pourtant réalisée de manière routinière. L’enrichissement du milieu dans les exploitations est si déficient que la caudectomie n’a même pas l’effet escompté : la plupart des cadavres de cochons à l’abattoir présentent des blessures à l’arrière-train. Un calvaire pour ces animaux émotifs, curieux et capables d’altruisme

Pour éviter que les animaux ne s’entre-dévorent sous l’effet de la frustration et de l’anxiété, la réglementation exige que ceux-ci puissent « accéder en permanence à une quantité suffisante de matériaux permettant des activités de recherche et de manipulation suffisantes, tels que la paille, le foin, la sciure de bois, le compost de champignons, la tourbe ou un mélange de ces matériaux, qui ne compromette pas la santé des animaux ».

Or, 95 % des cochons français sont actuellement détenus dans des bâtiments fermés, sur un sol percé en matériau rigide appelé « caillebotis ». Avec, pour seule distraction… un simple morceau de bois ou de plastique à mâchonner ! Les commissaires européens constatent par ailleurs que les porcs n’ont pas accès à l’eau en permanence…

Un calvaire pour ces animaux émotifs, curieux et capables d’altruisme. Souffrances animales : pour une bonne partie de l’opinion, la prise de conscience est déjà là ! Reha Hutin Entre le manque de formation des éleveurs français sur la directive européenne et l’inefficacité des contrôles – pas toujours inopinés – des inspecteurs des services vétérinaires, rien ne protège réellement les cochons, encore moins les « mesures du gouvernement en faveur du bien-être animal » annoncées il y a quelques semaines.

« L’arrêté ministériel promulgué le 24 février [2020, NDLR], sans consultation des associations de protection animale, et censé mettre les élevages français en conformité avec la directive européenne, s’avère insuffisamment exigeant en ce qui concerne les matériaux manipulables, affirme l’association Welfarm pour la protection des animaux de ferme, partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis. Ainsi, pour les truies détenues en cases individuelles ou en petit groupe jusqu'à 10 individus, l’arrêté permet aux éleveurs d’utiliser, seule, une chaîne combinée à un morceau de bois tendre. » 81 % des Français rejettent l’élevage intensif : changeons de modèle « Welfarm déplore cette vision à court terme, fortement préjudiciable aux animaux et demande au gouvernement de faire évoluer globalement le modèle d’élevage porcin vers plus de durabilité en imposant notamment une mise en conformité avec la réglementation européenne dans les plus brefs délais », conclut l’association, qui lutte également contre la castration à vif des porcelets mâles.

« Nous voilà devant une nouvelle preuve de l’incapacité du gouvernement à faire respecter les réglementations minimales en matière de “protection animale”, déclare de son côté Brigitte Gothière, cofondatrice et porte-parole de L214. Il est impossible d'espérer de réelles avancées pour les animaux tant que la condition animale dépendra du ministère de l’Agriculture. » « Alors que 81 % des Français sont pour l’interdiction de l’élevage intensif [baromètre 30 Millions d’Amis /Ifop, janvier 2020], le gouvernement refuse de changer de modèle et préfère satisfaire le lobby de l’agroalimentaire, fustige Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis. L’indignation profonde de nos concitoyens face aux souffrances endurées par les animaux se manifestera, tôt ou tard. Pour une bonne partie de l’opinion, la prise de conscience est déjà là. Aux politiques d’être en phase ! ».

horreur

horreur

Les pesticides, principale cause de la disparition des oiseaux en France

|En trente ans, l’Europe a perdu plus de 421 millions d’oiseaux. Une situation alarmante due en grande partie au dérèglement climatique mais surtout aux pesticides.

Comment expliquer l'alarmante disparition de millions d'oiseaux ces dernières années ?

Le dérèglement climatique désoriente les oiseaux migrateurs, mais le premier coupable est une molécule chimique : l'imidaclopride, qui agit sur eux comme un poison à mort lente lorsqu'ils picorent par exemple des graines enrobées de pesticides semées dans les champs.

Quels oiseaux sont en déclin ?

Le chardonneret élégant, le coucou, le milan royal, le pigeon ramier, la perdrix grise, l’alouette : la situation est alarmante. Non seulement ces oiseaux disparaissent, mais cette disparition s’est accélérée ces dernières années : "Depuis 1989, on a perdu en France à peu près un tiers des oiseaux des milieux agricoles, constate Frédéric Jiguet, ornithologue et professeur au Centre d'écologie et des sciences de la conservation du Muséum d’histoire naturelle. Les alouettes, les tourterelles des bois, les perdrix, sont des espèces en déclin et dont on perd chaque année 1 % à 2 % des effectifs. On a perdu à peu près un quart des coucous en France, l’une des espèces en déclin marqué."

En tout, près de 275 espèces sont touchées, dont 32 % d’oiseaux nicheurs. Certaines, comme le moineau friquet, ont presque disparu dans toute l’Europe de l’Ouest. D’autres plus gros, comme les merles, les pies ou les corneilles, qui mangent tout y compris des oisillons, survivent mais se réfugient en ville. Le phénomène n’est pas qu’européen. En cinquante ans, près de trois milliards d’oiseaux ont aussi disparu en Amérique du Nord.

Comment sait-on qu’ils disparaissent ?

Des comptages sont effectués chaque printemps par des centaines d’ornithologues et d’amateurs. Ils écoutent et enregistrent les bruits des oiseaux à des points précis et identiques d’une année sur l’autre, et notent toutes leurs observations. En les compilant, ils arrivent au constat que partout en France, ces espèces déclinent. Quand une espèce perd 25 % de ses effectifs en dix ans, comme c’est le cas pour le chardonneret élégant par exemple, il est ajouté à la liste rouge des espèces menacées en France. Cette liste, éditée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), ne cesse de s’étoffer.

Qui est responsable de la disparition de ces oiseaux ?

Les conséquences des activités humaines sur l'environnement sont, on le sait, une des principales raisons du déclin des espèces animales.

Mais comment cela se traduit-il pour les oiseaux ?

Les effets du changement climatique De nombreux oiseaux qui migrent au printemps et en automne sont perturbés par les effets du dérèglement climatique. Le coucou en fait partie : La femelle a la particularité de ne pas élever son propre poussin et de pondre un œuf dans le nid d'une autre espèce, comme le rouge-gorge, explique Frédéric Jiguet. Avec le changement climatique, les printemps sont de plus en plus précoces en Europe. Quand les coucous arrivent de migration, les rouges-gorges ont déjà pondu leurs œufs, il est donc trop tard pour que les femelles coucous puissent pondre dans un nid de rouges-gorges. Les effets indirects des pesticides Pour protéger les récoltes des insectes et animaux dits nuisibles, les agriculteurs utilisent depuis longtemps toutes sortes de pesticides, insecticides qui sont autant de poisons.

En France, l’agriculture répand chaque année plus de 65 000 tonnes de pesticides pour traiter les céréales, la betterave ou encore les vignes. La plupart de ces produits ont des effets directs sur le déclin des oiseaux, qui se nourrissent de graines, d’insectes ou de petits rongeurs. Parmi eux : La bromadiolone, pesticide répandu depuis les années 70 pour lutter contre les campagnols, tue aussi par ricochet les rapaces, notamment les milans, victimes collatérales de ce raticide. Cet anticoagulant est indirectement ingéré par ces oiseaux, qui s’empoisonnent en se nourrissant de rongeurs. Les vermifuges sont utilisés sur les animaux (chevaux, vaches, moutons) pour éliminer les insectes parasites.

Certaines espèces d’oiseaux comme la bergeronnette, le tarier, ou l’étourneau, se délectent de ces insectes, et sont à leur tour empoisonnés par ces produits vétérinaires. Les néonicotinoïdes, insecticides les plus virulents, sont responsables du déclin des abeilles et de trois quarts des insectes. Commercialisés depuis les années 80, ils sont interdits en France depuis septembre 2018.

En Allemagne, on estime qu’à cause d’eux, la biomasse des insectes a diminué de 80 %. Faute d’insectes, les oiseaux ne peuvent plus nourrir correctement leurs oisillons. Ce constat explique que les oiseaux des champs, directement en contact avec les pesticides, soient plus affectés que ceux des forêts.

Comment les pesticides agissent-ils sur les oiseaux ?

Qu’ils soient insecticides, désherbants, ou fongicides, les pesticides ont tous des effets sur la santé des oiseaux. "Ils vont agir sur plusieurs organes, notamment le foie et l’encéphale, détaille Norin Chaï, vétérinaire à la ménagerie du Jardin des plantes à Paris. Ils vont entraîner des lésions au niveau reproducteur, affiner et fragiliser la coquille des œufs. Les pesticides peuvent aussi entraîner des lésions nerveuses, causer des retards de croissance, une baisse de la fertilité, des pertes de repère dans l'espace, etc."

Les pesticides dérèglent également les hormones thyroïdiennes, indispensables au vol et à la migration des oiseaux, comme le coucou et l’hirondelle.

"Les hormones thyroïdiennes sont essentielles pour la prise de poids et les changements des muscles, précise Barbara Demeinex, biologiste et endocrinologue, et autrice du livre Cocktail toxique : comment les perturbateurs endocriniens empoisonnent notre cerveau (Odile Jacob, 2017). Elles sont indispensables pour la navigation. À cause de l’interférence des pesticides, les oiseaux vont littéralement perdre le Nord."

Plus de 287 produits suspects ont été recensés. Des produits qui ne sont pas seulement cancérogènes mais aussi mutagènes et reprotoxiques, c’est-à-dire qu’ils affectent aussi les mécanismes de la reproduction. Pourquoi on parle d’effets sublétaux Les pesticides causent une mort lente chez les oiseaux. Chez la perdrix grise, le pigeon biset ou chez le ramier, les effets, dans un premier temps, ne sont pas visibles.

"La majorité des pesticides ont des effets sublétaux, c'est-à-dire des effets insidieux, liés à des expositions plus longues où répétées à ces produits", analyse Olivier Cardoso, écotoxicologue à l’ONCFS, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Avec pour conséquence "des troubles neurologiques, des troubles de l'immunité, des perturbations endocriniennes, qui vont mettre en jeu la santé de l'animal, mais pas forcément de manière foudroyante, violente, et qui vont même avoir parfois des effets transgénérationnels et des effets sur la population globale de ces animaux, avec un affaiblissement général de ces populations."

Pesticides et mortalité des oiseaux : causalité démontrée

En février 2018, l’ONCFS a publié un rapport qui prouve pour la première fois que les oiseaux sont bien exposés aux pesticides, et en particulier l’imidaclopride. Cette molécule appartient à la famille des néonicotinoïdes utilisés dans les champs pendant plus de vingt ans. Ce rapport précise que "sur 3 000 cas suspects d'oiseaux empoisonnés sur 20 ans, 239 carcasses ont été récupérées près de champs fraîchement semés dans les zones de culture céréalière intensive du Nord et du Centre de la France. Plus de cent cas ont été associés à une réelle exposition à l'usage agricole de la molécule insecticide imidaclopride.

Dans les deux tiers des cas, les oiseaux avaient mangé des semences traitées. La mortalité par empoisonnement a donc été déclarée probable dans 70 % des cas." Cas suspects d'oiseaux empoisonnés entre 1995 et 2014, principalement localisés dans le centre-nord de la France, zones de culture intensive de céréales. Cas suspects d'oiseaux empoisonnés entre 1995 et 2014, principalement localisés dans le centre-nord de la France, zones de culture intensive de céréales.

 Dans le sillage de ces conclusions, le Museum d’histoire naturelle compte saisir l’Office français de la biodiversité, afin de comparer la carte des achats de pesticides en France avec celle des observations d’oiseaux dans les départements, afin de voir quels produits chimiques peuvent être précisément incriminés dans la diminution des oiseaux.

Comment font les oiseaux pour s’empoisonner avec l’imidaclopride ?

L’imidaclopride est particulièrement facile à repérer et picorer car elle enrobe la semence d’une couleur rose. Les graines ainsi traitées ne sont pas toutes enfouies lors du processus d’ensemencement. Entre 10 et 70 graines par mètre carré restent en surface, ce qui en fait nourriture abondante pour les oiseaux. Or quelques dizaines de ces graines suffisent à déclencher chez eux des effets neurologiques ayant des conséquences sur leur vigilance et leur motricité. Semences certifiées de maïs semblables aux semences enrobées d'imidaclopride. Semences certifiées de maïs semblables aux semences enrobées d'imidaclopride

 Pourquoi interdire ne signifie pas la fin des problèmes Malgré sa récente interdiction, les effets de cet insecticide perdurent.

"L’imidaclopride et les molécules de cette famille peuvent rester plusieurs années dans les sols où elles peuvent s'accumuler, affirme Stéphane Foucart, auteur de Et le monde devint silencieux - Comment l'agrochimie a détruit les insectes (Seuil, 2019). On trouve dans le pollen et le nectar des fleurs sauvages, butinées par les papillons et les abeilles en marge des champs, des traces non négligeables et parfois même létales de produits."

Par ailleurs, on détecte encore, cinquante ans après, du DDT, insecticide interdit en France depuis le début des années 70, dans le liquide amniotique des femmes enceintes.

Après les oiseaux, les hommes ?

"Quand des scientifiques vous alertent sur la dangerosité d'un produit, la moindre des choses, c'est de prendre son temps, de réfléchir et d'adapter la production en fonction de ce que l'on vient d'apprendre, estime l’écologiste Fabrice Nicolino, journaliste et auteur du livre Le crime est presque parfait (Les Liens qui libèrent, 2019). Or là, on fait exactement le contraire. Autrefois, les canaris permettaient d’alerter sur l’imminence d’un coup de grisou dans les mines. Eh bien c'est le même message que nous adressent les oiseaux quand ils disparaissent par centaines de milliers. Il faut il faut sonner le tocsin, c'est évident." Le risque à terme, selon les ornithologues : c’est de se retrouver avec un petit nombre d’espèces qui prendraient la place de toutes les autres, avec d’un côté certaines adaptées à la pollution et au changement climatique, et de l'autre des oiseaux d'élevages – poules et autres canards – qui seraient, elles destinés à la consommation.

Ce serait donc la fin de la biodiversité telle qu’on l’a connue jusqu’à présent.

laver

Publié à 14:36 par fandeloup Tags : sur
laver

Gel hydroalcoolique ou savon : lequel est le plus efficace ?

Environ 80 % des maladies infectieuses se transmettent par les mains, par contact avec des objets contaminés. C'est pourquoi se laver les mains régulièrement, notamment après avoir voyagé dans les transports en commun ou avant les repas, est indispensable.

Le gel hydroalcoolique présente l'avantage d'être facilement transportable sous forme de petit flacon. Mais selon l'Organisation mondiale de la Santé et l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), l'utilisation de solutions et gels hydroalcooliques est préconisée uniquement en l'absence de point d'eau disponible. Car si l'alcool élimine la plupart des bactéries et virus présents sur la peau, il ne « lave » pas à proprement parler, et ne doit pas être utilisé sur des mains souillées ou des plaies.

Une étude de 2019 a d'ailleurs montré que le gel hydroalcoolique est moins efficace que le lavage des mains. Le meilleur réflexe contre les contaminations reste donc de se laver les mains avec du savon et de l'eau au minimum 20 à 30 secondes, avant rinçage.

Pensez aux zones entre les doigts et aux ongles. Privilégiez un savon liquide, les savons solides ayant tendance à se transformer en nids à microbes.

En revanche, les savons étiquetés antibactériens ne sont pas plus efficaces qu'un savon lambda. Et surtout, séchez vos mains avec un essuie-mains à usage unique !

'amitié

Publié à 10:49 par fandeloup Tags : coeur belle vie amitié
'amitié

L'amitié est une belle chose ,qui nous arrive dans la vie et réchauffe le coeur . Mais faut savoir la reconnaitre et la cultiver Pour éviter que ne pleurent nos coeur

thym

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : sur belle article cadre
thym

Le thym détruit les infections de la gorge, la grippe, combat les infections respiratoires et bien plus encore

Surnommé par certains “l’ennemi de la toxine”, le thym faitl’objet de légendes qui remontent à la Grèce Antique. Ainsi, il serait, selon de vieilles croyances, né des larmes de la belle Hélène de Troie, dont l’amour interdit a déclenché une guerre désormais gravée dans l’histoire. Mais au-delà de la légende, le thym est avant tout une herbe vastement utilisée en cuisine. Et contrairement aux origines mythologiques qu’on lui prête, ses vertus pour la santé sont quant à elles, scientifiquement documentées. Zoom sur les bienfaits du roi des lamiacées. Réputé pour ses nombreuses vertus thérapeutiques, le thym a su se hisser au rang d’indispensable de nos cuisines. Toux, grippe, ou affections respiratoires, le Thymus vulgaris a plus d’un tour dans son sac pour soulager les affections du quotidien. Son utilisation traditionnelle est d’ailleurs reconnue par l’OMS ainsi que par la Coopérative scientifique européenne de phytothérapie (ESCOP), sans oublier que ce dernier est inscrit sur le registre des plantes médicinales de la pharmacopée française. Et pour cause, sous forme d’huile essentielle, en infusion ou en application externe, il dispose d’une pléthore de bienfaits. Passons-les en revue. Le thym détruit les infections de la gorge 1.Anti-infectieux Si le thym se distingue comme un allié santé considérable, c’est en partie grâce à ses vertus anti-infectieuses et antiseptiques. Dans le cadre d’une étude, son utilisation sous forme d’huile essentielle aurait démontré une action considérable contre 120 souches de bactéries issues de patients souffrant d’infections buccales, respiratoires et d’infections génito-urinaires. Consommer du thym sous forme de tisane ou tout simplement le saupoudrer sur vos plats et salades, serait utile pour profiter de ses bienfaits. 2.Anti-inflammatoire Antioxydant et anti-inflammatoire, le thym doit ses vertus à un composé phénolique: le thymol. Selon les chercheurs, ce dernier serait à même de soulager l’asthme en ciblant les radicaux libres responsables de l’inflammation. Jean-Louis Brazier, pharmacologue conseille l’inhalation de thym pour dégager les voies respiratoires. L’idéal est de faire bouillir de l’eau et de la verser dans un bol en y ajoutant 2 cuillères à soupe de thym. Il faudra ensuite pencher la tête au-dessus du récipient en veillant à la couvrir d’une serviette, puis respirer doucement pendant quelques minutes. 3.Antimicrobien Sous forme de tisane, le thym apporterait un soulagement considérable en cas d’inflammation oropharyngée. Sans oublier sa capacité à stimuler l’immunité pour combattre certaines pathologies. Pour une action efficace, vous pouvez le consommer sous forme de tisane, à raison de 3 fois par jour. Il peut être utile d’y ajouter du miel d’eucalyptus aux propriétés expectorantes ou du jus de citron pour ses propriétés antiseptiques. Le thym détruit les infections de la gorge 4.Antiviral En inhalation et sous forme d’huile essentielle, le thym s’avère particulièrement utile pour combattre les symptômes de la grippe. Selon une étude publiée par The American Journal of Essential Oils and Natural Products, l’aromate serait doté de propriétés antivirales utiles pour lutter contre la maladie sans porter atteinte aux cellules épithéliales. Les scientifiques suggèrent également une action efficace contre l’hémagglutinine, une protéine à la surface de la grippe, responsable de sa fixation sur la cellule cible. 5.Décongestionnant Considéré comme un décongestionnant redoutable, le thym s’avère utile pour un grand nombre de pathologies. Selon Thierry Thévenin, producteur herboriste et le Dr Laurent Chevallier, nutritionniste, sa consommation sous forme de tisane serait particulièrement utile pour les voies respiratoires. Un avis partagé par Christelle Lassort, naturopathe et thérapeute en médecines alternatives qui rappelle que le thym « agit sur beaucoup de maladies ORL et respiratoires”. Ce dernier serait doté de vertus expectorantes favorisant le rejet. Un atout de taille en cas de rhume, de toux et d’asthme. La pharmacienne Christine Cieur-Tranquart conseille d’associer ses vertus antitussives, antivirales et antiseptiques à une plante anti-inflammatoire et émolliente en cas de toux infectieuse ou virale. Mises-en garde L’utilisation du thym est déconseillée aux personnes sous traitement anticoagulant ou en cas de grossesse. À savoir qu’il ne doit pas être consommé sur une durée excédant 3 semaines au risque d’entraîner des dérèglements, des irritations ou de l’hypertension.

a savoir

Publié à 16:33 par fandeloup Tags : chez article animaux haie soi texte sur
a savoir

RAPPEL 

Entre le 15 mars et le 31 juillet, il est interdit de tailler les haies. Sites de reproduction, de nourrissage et de refuge pour de très nombreuses espèces d'animaux, les haies représentent un petit écosystème en soi. Dès la fin de l'hiver, elles sont colonisées par un cortège d'oiseaux qui y construisent leurs nids.

La LPO rappelle qu'il est légalement interdit - par arrêté préfectoral - de tailler ou d'arracher toute haie après le 15 mars et jusqu'au 31 juillet.

* Arrêté du 24 avril 2015 relatif aux règles de Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales (BCAE).

* Le règlement du Parlement Européen et du Conseil n° 1306/2013 du 17 décembre 2013, article 94, impose aux États membres de prendre une mesure sur « l'interdiction de tailler les haies et les arbres durant la période de reproduction et de nidification des oiseaux »....

A savoir : ce texte de loi NE S'APPLIQUE PAS AUX PARTICULIERS, il est destiné aux haies de la voie publique, le long des linéaires des routes / chemins / cours d'eau, etc. Mais, même si il n'existe pas de réglementation Nationale sur la taille des haies à destination des particuliers, ces derniers se doivent de suivre la réglementation sur les espèces protégées.

Les particuliers doivent veiller à ne pas porter atteinte aux habitats et espèces protégés (avifaune) compte tenu de l'article L.411-1 du code de l'environnement qui pose le principe d'interdiction de la destruction et de la perturbation intentionnelle de ces habitats et espèces. Des infractions sont définies et réprimées par les articles L.415-3 (délit) et R.415-1 (contravention de 4ème classe) du code de l'environnement. La problématique de la destruction des nids n'en reste pas moins identique chez les particuliers.....

coro

Publié à 15:56 par fandeloup