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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Exister justifie d'exister. C'est bon d'exister. Ça ne doit « servir » à rien d'exister. On n'est pas obligé de servir à quelque chose. On n'est obligé de servir à rien. On a le droit d'exister d'abord.
Assis là sur le banc de la solitude je tourne les pages de la vie. Je ferme les yeux au présent pour un instant. Et sur un air de poésie je tourne les pages du passé. De vieux souvenirs que je croyais oubliés, envahissent mes pensées.Je retourne sans détour dans des instants que le temps avait effacés, les vieux rêves de mes souvenirs surgissent en moi, et me voilà transpercé d'une histoire oubliée,les secondes se sont écoulées d'un sablier percé,comme si le temps avait reculé. Je suis là aux présent à revive le passé,mais ce rêve est si réel que je suis emprisonnée,je ne veux point en sortir car je suis rassasiée. Car le présent de ce passé, m'appartient pour l'éternité. Car c'est ma vie et nul point personne ne peut y changer. Je reviens à l'instant du futur de ma vie et je sais que je suis l'encre de mon histoire car je sais que tout ce qui sera de moi écrit sera le reflet de mon miroir,et c'est ce qui nous accroche à jamais à la vie. Je ne veux nul point rien y changer mais c'est mon histoire et rien ne peut l'effacer, je suis la dans le noir ou le rêve vient danser, et je vois passée ma vie les yeux fermés d'incertitude assis là sur le banc de la solitude sur cet instant, j'ouvre les yeux de ma vie rien pour la défaire rien peu la changer c'est mon histoire un reflet de pensée
Rejeté, on t’a laissé.
Tu voudrais mourir, Pour pouvoir enfin en finir. L’espoir n’est plus en toi, Et ça me fait beaucoup d’émoi.
J’ai parcouru le livre mauve de ma vie jusqu’à aujourd’hui. Chaque page tournée représente un jour et une nuit Pendant laquelle je rêve sans savoir vraiment où je suis. Peut-être dans un monde qui sans cesse me poursuit ? Je me demande parfois si ce n’est pas la suite de mon livre? Comme si l’inconscient savait à l’avance ce qui va suivre. Réveillé, Je n’arrive pas à tourner les pages des lendemains. Elles existent, mais impossible de les saisir avec les mains. Comme c’est étrange, le futur est presque à ma portée. Tout est écrit à l’avance sans que je puisse me transporter Vers ma destinée, il me manque un sens qui dépasse le présent. Pourtant c’est quand même bien une succession d’instants qui s’ajoutent au fur et à mesure de mon vivant fuyant Le passé suivant une vitesse équivalente aux mouvements. Cet ordre insondable du temps me laisse pantois et sans mots. Ce livre est à moi, c’est un don du ciel qui m’en a fait cadeau.
Buck revient de très loin. Victime de la cruauté humaine, il a été retrouvé criblé de balles de plombs dans un sac poubelle. Il était à pratiquement dans le coma quand il a été secouru. Les vétérinaires ont fait l'impossible pour le sauver et après de multiples opérations, Buck s'est remis sur ses pattes !
Il est devenu porte-parole de la maltraitance animale et vis désormais près de la mer où il semble très heureux. On lui souhaite plein de belles choses
On pourrait comparer la vie à une fleur.
Une fleur…Au départ ce n’est qu’une graine qu’on plante dans le sol. Puis elle grandit et des petits bourgeons apparaissent avant de s’ouvrir complètement et de s’offrir au grand air.
Si cette fleur reçoit trop de soleil, elle brûle et meurt.
Si au contraire, elle reçoit trop d’eau elle se noie.
Si on ne s’occupe pas d’elle, elle pourri depuis l’intérieur de la graine, remonte jusqu’à la tige avant d’attaquer ses belles pétales. Celle-ci alors se fripent et tombent. Il ne reste qu’une tige toute abimée, écrasée par les pieds des passants qui ne font pas attention à elle…et alors là encore elle meurt. Car personne ne fait attention à cette petite fleur toute fragile.
Et bien la vie c’est ça. On nait telle une graine se plantant dans le sol. Puis on grandit et on connait des joies et des peines. Nos joies nous brûlent et nos peines nous noient. Pour vivre il faut connaître des joies et des peines. Il arrive que des personnes ne fassent pas attention à nous, nous écrasent et nous font crever. Notre corps et notre cœur s’abiment et se fripent. Tout ce que l’on demande c’est de l’amour. Car l’amour fait vivre. L’amour nous cause des souffrances, des pleurs, du bonheur, du plaisir. L’amour que se soit celui d’un amant, celui d’une mère, celui de nos amis, il nous permet de vivre, de nous épanouir.