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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abeilles

Publié à 19:57 par fandeloup Tags : cadres vie moi chez fond animaux hiver jardin pouvoir
abeilles

Dans ma bulle... de miel... Les abeilles périssent petit à petit, aidez nous à les préserver et à leur permettre de vivre leur vie en toute quiétude.

Présentation détaillée du projet J'ai pour objectif de repartir sur des bases plus solides grâce à vous et ce financement me permettra d'installer d'autres ruches aux alentours de chez moi.

Pour permettre de récolter différents types de miel mais aussi pour permettre de repeupler les abeilles à différents endroits de ma région. En effet, ce n'est un secret pour personne, les abeilles sont en danger. De plus en plus de ruches périssent chaque année. Comme la plupart des apiculteurs je ne peux que constater les dégâts, qui sont au fur et à mesure des années de plus en plus fort.

Pour le début de cette année 2015 on peut constater entre 60 et 80% de pertes de colonies.

- les pesticides: les abeilles ramène le nectar contaminé dans la ruche et cela mène à leur perte.

- hiver trop doux: les abeilles d'hiver se tuent à la tache trop tôt dans la saison à butiner alors qu'elles sont sensées rester à l'intérieur de la ruche pour protéger la reine du froid. Je m'appelle Didier, j'ai 35 ans

- J'ai pour passion l'apiculture depuis tout petit. Dès que j'en ai eu la possibilité, j'ai pu acquérir une maison avec assez de terrain pour y installer des ruches donc je me suis dit ... je me lance. Je suis des cours d'apiculture depuis 2 ans pour savoir comment gérer au mieux ces animaux tellement utiles pour notre alimentation quotidienne. J'ai préparé un rucher au fond de mon jardin, celui-ci est idéalement placé et permet à mes petites protégées de pouvoir butiner tout au long de l'année.

Je possède 6 ruches depuis l'année dernière, quelle ne fut pas ma tristesse d'en voir 4 sur les 6 mortes à la fin de l'hiver. Les ruches sont bourrées de nourriture mais plus aucune abeille ne se trouve dedans. Photo_467-1431460970 Malgré ce coup dur, je reste extrêmement motivé, je compte améliorer leur habitat en construisant un rucher couvert pour les protéger des intempéries, racheter des colonies ainsi que des ruches et ruchettes.

À quoi servira la collecte ?

Je compte construire un abri couvert autour de mes ruches, cela permettra de les protéger de la pluie et du vent +- 1000 € L'achat de 10 colonies d'abeilles de race Apis Mellifera Mellifera (ou abeille noire du pays) (+- 180 € par colonie --> 1800 €) L'achat de ruches (type Dadant 10 cadres et ruchettes Dadant 6 cadres), du matériel pour les soigner (traitement d'hiver et nourrissement) et de matériel pour l'extraction - 1200 € à cela s'ajoute le pourcentage de KisskissBankBank et nous arrivons à 4500 € au total pour le projet

Si l'objectif est dépassé, cela me permettra d'acheter de nouvelles colonies ou du matériel supplémentaire pour m'occuper au mieux de mes protégées.



Fini, le seuil de 15 €

Publié à 18:50 par fandeloup Tags : france carte vie chez création annonce gratuit
Fini, le seuil de 15 €

Fini, le seuil de 15 € pour payer par carte Michel Sapin annonce la création d’un comparateur gratuit des tarifs bancaires de base et la fin du minimum d’achat pour régler par carte bancaire.

Bercy va demander aux banques de supprimer les frais fixes — la commission interbancaire de paiement — qui pénalisent les petits règlements par CB. Bercy va demander aux banques de supprimer les frais fixes — la commission interbancaire de paiement — qui pénalisent les petits règlements par CB. (LP/Cédric Lecocq.)

« Pas de paiement par carte bancaire en dessous de 15 € d’achat. » L’affichette trône sur des centaines de milliers de caisses de commerçants français. Elle devrait bientôt disparaître. C’est en tout cas le projet de Michel Sapin, le ministre des Finances, qui dévoile, dans les colonnes du « Parisien »

- « Aujourd’hui en France», une série de mesures pour faciliter la vie quotidienne des clients des banques françaises. Vers la fin du minimum d’achat pour régler par CB. La scène se joue tous les jours chez des petits commerçants français. Un client arrive avec trois bricoles dans les mains devant la caisse enregistreuse, la carte bancaire sortie du portefeuille, et le marchand lui répond : « Désolé, monsieur, je ne prends pas la carte en dessous de X euros d’achat… »

Le ministre des Finances veut mettre un terme définitif à cet incroyable blocage français. « Je souhaite qu’il n’y ait plus d’obstacles au paiement par carte bancaire », explique Michel Sapin. Bercy va donc demander aux banques de revoir les tarifs applicables aux utilisateurs des terminaux de paiement. Plus précisément, il s’agira de supprimer la partie fixe des frais (appelés commission interbancaire de paiement) qui pénalise les petits achats. Si les banques ne jouent pas le jeu, Michel Sapin promet de prendre la mesure par la voie légale.

 Paiement par carte : la fin du montant minimum? Un comparateur de tarifs. Frais de tenue de compte, de cartes bancaires, commissions aux noms incompréhensibles… Difficile de se retrouver dans la jungle des tarifs bancaires. Pour faciliter la comparaison entre les établissements et la concurrence, l’État va lancer son propre comparateur de tarifs bancaires d’ici à la fin de l’année. Une sorte de service public de la consommation des services bancaires.

« Il comparera 11 services bancaires de base, comme les frais liés aux cartes bancaires ou les frais de retenue de compte », précise Michel Sapin. Les commissions d’intervention, mais aussi les frais facturés lors d’un retrait d’argent dans un réseau autre que celui de la banque du client, seront également auscultés. Changer de banque plus facilement.

Les professionnels de la finance ont l’habitude de dire que les Français ont plus de chances de divorcer que de changer de banque ! Peut-être parce que, malgré de multiples réformes, changer d’agence demeure un chemin de croix, notamment pour faire migrer les prélèvements et les virements.

Les sénateurs ont voté en avril un amendement à la loi Macron pour favoriser la mise en concurrence des établissements. Il prévoit la délivrance d’un mandat à la banque d’arrivée pour effectuer au nom du client toutes les démarches nécessaires. Le client sera aussi informé des chèques qu’il a pu émettre à partir du compte qu’il va clôturer. Un flou entourait la possibilité de rendre payants ces services.

« Ils seront gratuits », affirme Michel Sapin.



VERDICT d’un tribunal

Publié à 18:46 par fandeloup Tags : vie enfants société 2010 soi
VERDICT d’un tribunal

VERDICT d’un tribunal en Italie : l’ autisme du garçon a été causé par le vaccin autisme-du- garçon Une indemnité à vie a été accordée à un enfant autiste qui avait précédemment reçu le vaccin hexavalent.

Le Ministère Italien de la Santé devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie.

C’est en 2006 que ce petit garçon a été vacciné avec le vaccin hexavalent de routine fabriqué par la multinationale Glaxo Smith Kline. Il s’agit du verdict émis par le Tribunal industriel de Milan présidé par le juge Nicola Di Leo.

Selon ce juge, l’existence d’un lien causal entre la vaccination et la maladie a été établi. Qui plus est, en se référant au rapport de l’expert judiciaire et médical Alberto Tornatore désigné par le tribunal :

« Le petit garçon a surement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. Il est donc probable que son autisme ait été provoqué par le vaccin Infanrix Hexa. »

L’autisme du garçon a été causé par le vaccin :

INTERVIEW

« décision incroyable » affirme l’expert Le vaccin hexavalent est administré en 3 injections au cours de la première année de vie. Il protège contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche et les infections du type haemophilus influenza type b.

En 2011, avant d’aller au tribunal, la famille du petit garçon de neuf ans qui avait été diagnostiqué autiste en 2010 avait introduit une requête auprès du Ministère, mais leur requête fut rejetée. Dans la suite, les parents ont porté plainte.

« Le Ministère avait 60 jours pour faire appel après le prononcé du 23 septembre. Mais aucun appel n’a été déposé » affirme Alessandra Genovési, l’avocate du petit garçon.

Le jugement a donc été considéré comme res judicata (= ayant force de la chose jugée). La famille a émis le souhait que dans le futur, on se soucie de prendre plus de précautions avec ces vaccins. L’enfant va recevoir un dédommagement bimestriel (= tous les deux mois) de 1.683 euros plus un payement ponctuel.

L’ autisme du garçon a été causé par le vaccin

– Les vaccins et la logique inversée par Michele Bocci Le rapport de 18 pages de l’expert médical désigné par la Cour se réfère à « un document confidentiel de poids de GlaxoSmithKline » traitant des « soi-disant effets secondaires de l’Infanrix Hexa, signalés pendant les essais cliniques et après la pré-autorisation, entre octobre 2009 et octobre 2011.

Selon le témoignage de l’expert, il y a apparemment eu « cinq cas d’autisme rapportés au cours des essais, mais ces cas sont restés non cotés ou ont été omis de la liste des effets indésirables remise aux autorités avant l’autorisation de mise sur le marché. »

Le verdict a aussi précisé – en conformité avec les conclusions de l’expert médical – que le vaccin avait « une propension spécifique à provoquer l’autisme, quoique théoriquement faible si elle est calculée sur la base des essais cliniques pré-autorisation, mais qui en réalité était sous-estimé, en raison de l’existence récemment confirmée par les autorités sanitaires australiennes, de lots de vaccins contenant un désinfectant à base de mercure, désormais interdit en raison de sa neurotoxicité démontrée. »

Rien n’indique que l’Agence italienne du médicament ait dans la suite lancé des contrôles sur le vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline. « Aucune enquête particulière n’est en cours sur ce médicament qui, comme tous les vaccins, doit subir une surveillance post-marketing », explique l’Agence, ajoutant :

« Il n’existe aucune preuve à l’heure actuelle qu’un changement soit intervenu dans la situation : les avantages de ce produit l’emportent encore sur les risques. » Les liens présumés entre la vaccination et l’autisme ont fait l’objet d’un débat international considérable pendant un certain nombre d’années.

En 2012, une peine prononcée par la Cour de Rimini a établi un lien entre le vaccin trivalent ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et le syndrome de Kenner (Autisme).

A l’époque, le Conseil scientifique du Calendario Vaccinale de la Vita – un groupe rassemblant médecins de famille, pédiatres et associations spécialisées de santé publique a publié cette déclaration :

« Ce verdict pourrait déclencher une perte de confiance en un outil de prévention qui protège la santé de nos enfants et l’ensemble de la population italienne ! », encourageant le Ministère de la santé à faire appel. Le verdict de la cour de Rimini se référait à une étude publiée dans le Lancet en 1998, et établissant un lien entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme.

Quelques années plus tard, cette recherche a été retirée du journal, car elle était considérée comme peu fiable. Une enquête similaire à celle de Rimini à nouveau sur le lien présumé entre le vaccin ROR et l’autisme a été lancée par le bureau du procureur de Trani.

Au cours des trois dernières années, l’alarmisme ambiant – que les autorités de la santé estiment injustifié – a provoqué une diminution du nombre d’enfants vaccinés.

En mars dernier, Movimento 5 Stelle (le Mouvement des cinq étoiles) de Lombardie a déposé un projet de loi en vue de suspendre la vaccination obligatoire, « compte tenu des niveaux de vaccination déjà élevés en Lombardie.

Ce mouvement précise qu’il est temps de permettre le consentement libre et éclairé à propos de la vaccination. » La réponse de la Société de Santé publique a été assez sèche : « Il s’agit d’une perspective dangereuse pour la santé publique. »

Initiative Citoyenne se réjouit que justice puisse se faire (même si cela ne rendra pas en soi la santé à cette jeune victime) sur base de FAITS incontestables et notamment sur base du contenu fondamental de ces documents confidentiels du fabricant lui-même, que notre collectif a notamment révélés –et qu’une Ministre comme Laurette Onkelinx tentait fort maladroitement de banaliser en prétextant qu’il n’y avait rien à cacher, rien de confidentiel là-dedans!

L’information se répand dans tous les pays auprès des avocats et des journalistes, au Royaume-Uni, ici en Pologne où malgré la difficulté de la langue on peut voir qu’ils citent Initiative Citoyenne et les risques accrus de la double vaccination par Prevenar et Infanrix hexa,…

Toutes les victimes de tous les pays devraient à chaque fois exiger l’exhumation de ces documents existants mais ô combien gênants et accablants qui sont pour cette raison enfouis sous le sceau de la confidentialité.

Il est vraiment urgent en outre de lever toutes les obligations vaccinales dès lors qu’il n’est écrit dans aucune loi que les personnes sont obligées de risquer à chaque fois un spectre de plus de 800 effets secondaires différents à chaque vaccination contre une ou seulement quelques maladies ciblées !!!!!!!!!!!!



message

Publié à 17:52 par fandeloup Tags : message

Il a donné naissance à la loi sur le don de RTT

Il a donné naissance à la loi sur le don de RTT

Mon fils est mort d'un cancer à 11 ans. Il a donné naissance à la loi sur le don de RTT

Pour permettre à Christophe de s'occuper de son fils de neuf ans atteint d'un cancer, ses collègues lui ont offert 170 jours de RTT. Un élan de solidarité qui a donné l'idée aux parents de Mathys de faire voter une loi éponyme qui autorise le don de RTT. Actée dans le privé, la loi reste floue pour les fonctionnaires. Une inégalité qui pourrait bientôt changer. Témoignage d'un combat solidaire. Édité et parrainé par Barbara Krief

Une photo de Mathys, à l'origine de la loi éponyme, emporté par un cancer du foie.

En 2010, lorsque mon fils de neuf ans est tombé malade d’un cancer du foie, le don de RTT n’existait pas encore. Grâce à l’association Mathys, que nous avons créée avec ma femme après la disparition de notre enfant, une loi éponyme a pu voir le jour, légalisant ce geste solidaire.

Il aura fallu attendre quatre ans avant qu’elle soit promulguée et qu’elle soit mise en application. Il aura fallu attendre encore un an pour qu’elle s’applique également au secteur public. Je ne comprends pas la cause de cette lenteur.

D’autant plus que dans la loi de 2014, il est écrit que les fonctionnaires peuvent bénéficier du don de RTT. Seul le décret de cette partie de la loi n’avait pas, et n’a toujours pas, été signé. A cause de cet "oubli", des parents se voient refuser le droit d’accepter ce don de temps, pourtant si précieux lorsque l’on a un enfant gravement malade.

On venait pour une appendicite, pas un cancer Je sais de quoi je parle, je me suis moi-même battu pour avoir du temps pour mon fils. A neuf ans, Mathys a commencé à se plaindre de douleurs au ventre. Comme elles persistaient et qu'elles étaient localisées à droite de l'abdomen, on s'est rendus à l'hôpital.

Ma femme avait fait un petit sac, on pensait repartir quelques jours après. On venait pour une banale appendicite nous, pas un cancer. Une semaine avant, il jouait encore au tennis. Mais le diagnostique est tombé. Notre fils avait une tumeur de 17 centimètres de diamètre dans le foie.

Avant même de pouvoir envisager une greffe, il fallait faire une chimio. Une épreuve à laquelle nous n'étions pas certains qu'il survive à cet âge là. Après avoir utilisé tous les jours de RTT dont je disposais pour rester près de Mathys, j’ai été contraint de me mettre en congé maladie. D'autant plus que pour bénéficier d'une greffe de foie, il fallait que notre fils soit hospitalisé à Paris.

On y est restés un mois et demi. Puis on est retournés chez nous, on avait choisi, à sa demande, l'hospitalisation à domicile. Une hospitalisation à domicile difficile A la fin des trois mois de congé, j’ai été convoqué par un inspecteur de la sécurité sociale. Il avait mon dossier et celui de mon enfant sous les yeux.

Désolé, il m’a dit que "ça n’était pas fait pour cela les congés maladies" et il m’a coupé mes droits. J’ai donc dû retourner au travail le lundi suivant, laissant ma femme seule avec Mathys, qui bénéficiait de l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Cette allocation est loin d’être satisfaisante dans ce genre de situations. Un seul parent peut en bénéficier et pendant ce temps, il ne touche plus la totalité de son salaire, seuls 40 euros par jour sont garantis. Pourtant, un enfant gravement malade a besoin que ses deux parents soient auprès de lui 24h/24.

D'autant plus, qu'avec l'hospitalisation à domicile et l'état de notre fils qui s'aggravait, s'occuper de lui seul était physiquement impossible. Avec la moitié de son corps paralysé, ma femme n'aurait pas pu le porter pour lui faire monter les marches de notre maison. Pareil pour ses toilettes, nous les faisions nous même.

Mathys préférait que sa mère s'en occupe plutôt qu'une des infirmière à domicile. Mais nous ne regrettons rien, même si l'épreuve était difficile psychologiquement et physiquement. Gérer une hospitalisation à domicile lorsqu'il s'agit d'un enfant atteint d'une maladie si rare et si grave, sa forme de cancer était particulièrement agressive et mutait sans cesse, est impossible pour un parent seul.

Même à deux, ce n'est pas évident. 170 jours de RTT offerts par mes collègues Dès mon retour, mes collègues de l’usine Badoit m’ont tout de suite demandé ce que je faisais là. C’est une entreprise à taille humaine, je dirais même à taille familiale.

Nous sommes 182 employés, nous nous connaissons tous, ils avaient donc entendu parler de ma situation. Je leur ai donc expliqué le refus de l’inspecteur de la sécu de me laisser en congé maladie et l’épuisement de tous mes jours de congés. C’est à ce moment que mon chef a eu l’idée de me donner ses jours de RTT.

Il en a parlé à la direction, il voulait savoir comment faire pour transférer ses heures sur mon compte. Après l’accord des supérieurs, chacun a pu donner, sur la base d’un volontariat anonyme, le nombre d’heures ou de jours qu’il souhaitait.

Au total, j’ai eu 170 jours de RTT et nous sommes 182 employés. Je ne sais pas qui a donné quoi, mais je sais que mes collègues m’ont donné ce qu’il y avait alors de plus précieux pour moi : du temps. Ils me l'ont donné pour que je puisse le passer avec mon fils. Je leur suis reconnaissant à vie.

Grâce à eux j’ai pu accompagner Mathys dans la maladie qui l’a emporté, le 31 décembre 2010. Je ne savais pas comment les remercier Après la mort de mon fils et avant de pouvoir retourner à l’usine, j’ai dû me rendre chez un médecin du travail avec ma femme.

Lorsque nous lui avons raconté cette histoire de don de RTT, elle est restée abasourdie. Jamais, en 30 ans de carrière, elle n’avait entendu parler d’un tel élan de solidarité entre collègues. Elle nous a dit de ne pas garder notre histoire pour nous, de la répandre pour qu’elle en aide d’autres.

Nous étions alors loin d’imaginer que nous allions faire naître une loi… qui porterait le nom de notre fils. Lorsque je suis retourné au travail, après les 170 jours de RTT, je me suis senti entouré et en famille. Je ne savais pas comment remercier mes collègues et je me souvenais des mots du médecin du travail. J’ai alors contacté la presse locale pour témoigner de leur générosité. Une journaliste de "La Tribune du progrès" est alors venue nous interviewer.

Ce qui devait être une petite histoire de quelques lignes, s’est transformée en un grand article d’une page. On a déposé un projet de loi En plein contexte de début de crise économique, de plans sociaux à répétition, de délocalisation et de mauvaises nouvelles pour les salariés des usines françaises, cette histoire était une petite étincelle. Au milieu de l’actualité morose, se tenait fièrement et avec humilité, l’histoire de l’élan de la solidarité des salariés de l’usine Badoit.

Jamais le directeur de l’usine ne s’est servi de mon histoire comme argument marketing. C’était un geste purement altruiste de la part de toute l’entreprise. Même si, bien sûr, la marque ne s’est pas plainte d’une publicité si positive. Je ne sais pas non plus si cela a boosté leur ventes mais cet élan de solidarité nous a définitivement rapproché davantage.

L’ambiance aujourd’hui est très bonne et les relations entre salariés sont toutes très satisfaisantes, tous postes confondus. Malgré les retours largement positifs, j’avais le sentiment de ne pas en avoir fait assez. J’ai donc décidé, avec la mère de Mathys, de rédiger un projet de loi pour tenter d’offrir un cadre légal à cette situation dont je n’étais pas la seule victime.

Ma femme et moi avons ensuite créé une association, baptisée D'un papillon à une étoile, pour donner plus de force à notre argumentaire et nous avons finalement donné le projet à Jean-François Chossy, le député de Loire de l’époque.

Un an pour signer un simple décret ! Quatre ans plus tard, après un changement de majorité qui nous a mis des bâtons dans les roues, nous avons enfin pu célébrer le passage de la loi. Pour l’occasion, j’avais même pu rencontrer à Paris un policier qui s’était vu offrir 300 heures de RTT par ses collègues mais dont il ne pouvait pas profiter.

La raison ?

Le décret d’application de la loi de 2014 concernant le secteur public n’avait pas été signé en même temps que celui concernant le secteur privé. Il aura donc fallu attendre qu’un deuxième policier ne puisse pas profiter de ce temps offert pour s’occuper de sa fille extrêmement malade pour que Marylise Lebranchu s’empare du dossier et promette une signature du décret pour la fin mai 2015.

Pourquoi attendre, au total, cinq ans pour une loi qui ne nécessite ni argent, ni mesure exceptionnelle ? Pendant que je continue de me poser cette question, des parents fonctionnaires sont empêchés d’accepter un don bénévole et anonyme qui pourrait leur permettre d’être au chevet de leur enfant malade. Un gâchis.

Propos recueillis par Barbara Krief.



humour

Publié à 16:13 par fandeloup Tags : humour

gateau surprenant

Publié à 16:06 par fandeloup
gateau surprenant

Gâteau surprenant !

Préparation : 10 min

Cuisson : 15 min

Ingrédients : -100 g de sucre en poudre -1 sachet de sucre vanillé -2 oeufs -100 g de farine fluide -1/2 sachet de levure -1 pincée de sel -10 cl de lait -3 cuillère à soupe d'huile -2 pommes (ou poires, bananes...) 

Mélangez le sucre en poudre, le sachet de sucre vanillé avec les oeufs puis ajoutez la farine, la levure et le sel.

Versez le lait puis l'huile en continuant de mélanger.

Dans une poêle, faites revenir les pommes épluchées et coupés en petit morceaux avec un peu de beurre.

Versez la pâte dans la poêle sur les fruits, couvrez et laissez cuire à feu doux 10 min.

Retournez le gâteau dans la poêle (à l'aide d'une assiette, c'est plus simple) puis laissez cuire de l'autre côté environ 5 min.



meurtrie

Publié à 15:35 par fandeloup Tags : vie anges
meurtrie

Parfois je souhaite retourner vivre loin de l'agitation et de la folie des hommes... A quoi servent finalement tant de combats, tant de meurtrissures ? Mais même en fuyant, la vie nous rattrape toujours... Et les anges meurent de nos blessures...



impot

Publié à 15:02 par fandeloup Tags : photo vie france belle cadre revenu
impot

Impôt prélevé à la source : le gouvernement revient à la charge

Le gouvernement veut que la France prenne le virage du prélèvement à la source.

Avantage : vous n'aurez plus à déclarer vos revenus.

Inconvénient : la période de transition peut être compliquée.

C'est la mesure la plus importante de la réforme fiscale. Prélever l'impôt directement sur les salaires est une option sérieusement envisagée par le gouvernement.

Son porte-parole Stéphane Le Foll a annoncé ce mercredi 20 mai 2015 que l'exécutif entendait aller progressivement vers le "prélèvement à la source". Sans toutefois fixer d'échéance.

"L'idée est d'aller vers une simplification du recouvrement de l'impôt, avec la mise en œuvre progressive dans le cadre de la simplification des feuilles de paie et du numérique de la retenue à la source, sans fusion (avec la CSG)", a-t-il détaillé.

Retard de la France par rapport à ses voisins Le gouvernement avait lancé son vaste chantier de réforme fiscale fin 2013. A l'époque, Jean-Marc Ayrault avait annoncé qu'une "première étape" s'appliquerait dans le budget 2015.

Mais même si l'idée refait surface, rien n'a encore été décidé pour le moment. Concrètement, vous n'aurez plus à déclarer vous-même vos revenus au fisc.

Votre employeur, votre caisse de retraite ou votre banquier s'occuperont de verser directement au Trésor public la part imposable de votre revenu.

Ce prélèvement à la source a d'ailleurs été adopté par presque tous les autres pays développés, rappelle le gouvernement sur son portail dédié au citoyen Vie publique.

Décalage d'un an entre impôt et revenu Actuellement, les contribuables français doivent déclarer au fisc leurs revenus de l'année précédente en remplissant chaque année la feuille d'impôt.

Inconvénient :

le décalage d'un an entre le moment de payer l'impôt et la situation personnelle du contribuable. L'impôt à la source présente l'avantage d'être en phase avec votre situation financière du moment. Ainsi, si vous aviez une belle situation professionnelle à l'année N et que vous perdez votre emploi à l'année N+1, le montant de votre impôt est déconnecté de votre situation.

La dépense est donc difficile à assumer, à moins d'avoir anticipé la chute de vos revenus

Transition compliquée Le prélèvement à la source éviterait le décalage d'un an entre les revenus et le paiement de l'impôt. Mais la transition est difficile à mettre en œuvre. Pour éviter que les contribuables paient à la fois leur impôt sur les revenus de l'année précédente et ceux de l'année en cours, in lissage sur cinq, par exemple, pourrait être la solution. Mais pour l'heure, les modalités techniques n'ont pas encore été déterminées.

A quelle date exactement allons-nous franchir le cap ?

François Hollande a demandé à des députés de la commission des Finances de plancher dessus pour "une éventuelle mise en œuvre d'ici la fin de quinquennat", annonçait Europe 1 en décembre. La vraie question est de savoir si ce sera avant ou après 2017.



Petit ♥ C'est non stop !! Que j'en chope un seul un jour !

Publié à 14:14 par fandeloup Tags : chien
Petit ♥ C'est non stop !! Que j'en chope un seul un jour !

Buck, retrouvé criblé de petites billes de plomb, est devenu porte-parole de la maltraitance animale Sudinfo Buck est un chien qui a été victime de la cruauté humaine.

Il a reçu des dizaines de billes de plomb dans le corps. Ensuite, il a été enfermé dans un sac poubelle étanche et attaché à un poteau. Lorsqu’il a été découvert, il était en hypothermie, anémique, déshydraté et presque dans le coma.

Ses pattes, son cou et son visage étaient couverts de sang. Les vétérinaires ont fait l’impossible pour le sauver.

Buck a beaucoup souffert .Après des semaines de revalidation et de nombreuses opérations, Buck est devenu un porte-parole. Son cas permet de mieux faire comprendre la cruauté animale et de conscientiser les gens à cette problématique.



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