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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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bonne nuit

Publié à 21:15 par fandeloup Tags : nuit douceur coeurs
bonne nuit

Il est parfois compliqué de donner du repos á nos coeurs et a notre quotidien.. les soucis, la tristesse l'emportent parfois sur la douceur de la nuit. Ecouter notre attente de rêves semble parfois impossible.. Parler á la lune, s'éblouir des étoiles et se laisser bercer par le silence, par la douceur de notre âme qui s'envole vers son nuage.. je vous souhaite une nuit magique... a demain

En gériatrie, j'ai vu des maltraitances

Publié à 20:57 par fandeloup Tags : moi monde travail nuit pensée vie
En gériatrie, j'ai vu des maltraitances

Couches sales, réveil brutal, anxiolytiques... En gériatrie, j'ai vu des maltraitances

Les personnes âgées d'au moins 65 ans représentaient près de 17,5% de la population française en 2013

Il y a quelques années, j’ai été atteint d’une tumeur au cerveau. Pendant un an, j’ai donc passé mon temps dans différents milieux hospitaliers. Je me suis toujours senti accompagné par le personnel au point de développer une certaine admiration pour ces gens.

Guéri, ma vie a pris un tout nouveau sens : ils m’avaient aidé, j’avais moi aussi envie de servir à quelque chose. C’est pourquoi j’ai décidé de me réorienter pour devenir aide-soignant. J’avais arrêté mes études à l’école d’infirmière en deuxième année. Je suis donc devenu aide-soignant en intérim dans la région du Sud-Ouest, en particulier dans les services de gériatrie.

Pendant deux ans, j’ai enchaîné les missions de quelques jours seulement, changeant régulièrement de lieux de travail. C’était difficile, mais le plus dur a été de voir comment les patients étaient traités.

Des protections hygiéniques non changées

J’ai assez vite été témoin de maltraitances. Au début, je pensais que je manquais de clairvoyance, que je m’imaginais des choses. Puis, j’ai réalisé qu’il y avait bien quelques disfonctionements. Pas dans tous les hôpitaux, mais dans un grand nombre.

Au service gériatrie, le personnel de jour doit normalement faire une dernière ronde en fin de journée pour s’assurer que tout va bien. En poste de nuit, il m’est arrivé plusieurs fois de constater que les protections hygiéniques n’avaient pas été changées en fin de journée.

Les pensionnaires étaient restés près de six heures dans leur urine, voire davantage. Certes, la plupart de ces patients réagissent peu ou pas du tout, mais cela ne justifie en rien qu’on ne s’occupe pas d’eux. En les voyant, j’avais toujours une pensée pour mes grands-parents.

Jamais je n’aurais accepté de les voir traiter ainsi. Des pensionnaires "gavés" de médocs La plupart des patients étaient traités comme de simples corps. Tous les pensionnaires étaient systématiquement "gavés" de traitements comme des diurétiques, laxatifs, anxiolytiques, en plus de leurs traitements spécifiques.

En découvrant la masse de produits qu’on leur donnait, j’ai demandé quelques explications aux infirmières. Elles me répondaient simplement que "c’était comme ça". Quand je soulevais l’idée d’en parler au médecin, elles me faisaient comprendre que j’avais plutôt intérêt à me taire car il n’aurait pas apprécié. Je me disais que je n’avais pas suffisamment de poids pour en parler, car je ne suis jamais resté très longtemps dans le même hôpital.

Faire les toilettes à 7 heures du matin J’ai aussi été témoin de toilettes à faire en quinze minutes, à partir de 7h du matin, avec réveil brutal des pensionnaires. Ils étaient priés de se réveiller qu’ils le veuillent ou non.

Mais je crois que ce qui m’a le plus choqué, c’est la salle à manger. Tout le monde y était mélangé. Je voyais des pensionnaires souffrant de démences diverses côtoyer des personnes âgées tout à fait conscientes, avec la violence psychologique que cela entraîne. Parfois, les patients se trompaient de chambre et on les retrouvait dormant dans le lit d’autres pensionnaires.

Cela ne choquait personne, mais moi, je ne comprenais pas. Pourquoi ne séparions-nous pas les personnes âgées autonomes et celle qui n’avaient plus toute leur tête ? Et puis, j’ai eu finalement ma réponse : il n’y avait pas assez de places. J'ai prévenu ma boîte d'intérim Quand j’essayais d’évoquer ces problèmes avec le personnel, je sentais qu’il ne voulait pas en parler.

J’ai parfois eu l’impression que cela faisait aussi partie d’une routine, que la relation soignant-patient s’était déshumanisée, peut-être à cause de la réduction des heures. J’ai par la suite signalé à ma boîte d’intérim les endroits où j’avais observé des maltraitances et dans lesquels je ne voulais plus travailler.

Ils étaient au courant. Si eux voulaient envoyer des travailleurs, soit, mais il fallait qu’ils se passent de moi. Après ce signalement, j’ai constaté qu’on m’appelait nettement moins souvent. J’ai essayé de conserver des relations avec les personnes âgées, mais cela était de plus en plus difficile.

Finalement, j’ai décidé de quitter ce métier. Trop de négligences Loin de moi l’envie de généraliser ces disfonctionnements, mais je pense qu’avec le recul, 20% de ce que j’ai pu voir relève de la maltraitance. Je ne me permets pas de juger les gens qui travaillent en gériatrie car c’est un milieu difficile dans lequel il n’existe pas de guérison, le but primordial et essentiel de la médecine.

Cependant, je trouve que l’on néglige trop souvent l’humanité que l’on peut trouver dans le regard et la mémoire d’un ancien.

Propos recueillis par Louise Auvitu

le merveilleux chat qui réconforte les patients

Publié à 19:59 par fandeloup Tags : chat animaux fille message dieu cadre mort femme coeur amis vie
le merveilleux chat qui réconforte les patients

Tom, le merveilleux chat qui réconforte les patients en fin de vie et leurs familles

Un chat accompagne des patients en fin de vie

Il s'appelle Tom, il est âgé de 8 ans et il vit dans un hôpital à Salem, en Virginie. Il, c'est un chat, un gros matou roux qui apporte aux patients en fin de vie apaisement et réconfort.

Tom se balade, vit sa vie de chat, monte sur le lit de ses amis en soins palliatifs et se laisse papouiller en ronronnant. C'est son job, et il le fait merveilleusement bien.

Une présence réconfortante pour les patients et leurs familles "Regarder le chat ou le caresser vous sort du triste moment que vous traversez" explique à VA.gov Dorothy Rizzo, coordinatrice des soins palliatifs de l'hôpital. Et d'ajouter : "Les animaux, comme les bébés, sont en quelque sorte une affirmation de la vie".

Tom a été adopté par les infirmières de l'hospice du Salem VA Medical Center dans le cadre d'une expérimentation de thérapie animale. Et sa présence ne fait pas seulement du bien aux patients, les familles des malades profitent elles aussi des bienfaits de cet adorable thérapeute à 4 pattes.

"Les familles se sentent souvent impuissantes. Elles regardent un être cher mourir et savent qu'elles ne peuvent pas le sauver" explique Betty Gillespie, une psychologue de l'hospice.

"Parfois, on ne peut même pas parler avec eux, ni les réveiller. Tout ce qu'on peut faire est de les regarder et attendre. Mais Tom offre un certain réconfort, quelque chose sur quoi se concentrer. Parce que quand un chat marche nonchalamment dans la salle, il envoie un message disant que tout va bien, que tout est comme cela doit être". "Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom"

Certains patients ont noué une relation très forte avec ce chat. Ce fut le cas d'Edwin Gehlert, un vétéran de la seconde guerre mondiale. Le jour de sa mort, Tom semblait savoir ce qui allait se passer. Le chat est monté sur le lit de son ami puis s'est allongé près de lui, une patte posée au creux de sa main.

"Ce chat l'a conduit tout droit au paradis" affirme la femme d'Edwin Gehlert, Elizabeth, qui dit avoir ressenti à ce moment une véritable paix. Cette douce présence a fait aussi un bien immense à la fille d'Edwin et Elizabeth, Pam.

"Quand Tom a mis sa patte dans la main de papa, c'était comme si Dieu me disait qu'il s'occupait de mon père et que tout allait bien. (...) Je n'ai pas quitté l'hôpital dans la douleur et les larmes. J'avais tant de joie dans mon coeur, je me suis presque sentie coupable. Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom" confie-t-elle.

Véritable membre de l'équipe de l'hôpital, Tom a comme n'importe qui d'autre besoin de se reposer après avoir accompagné l'un de ses amis durant les dernières heures de sa vie.

"Il entre dans une sorte d'hibernation pendant plusieurs heures. Il trouve un coin et se met en veille. Je pense qu'il recharge juste ses batteries" raconte Laura Hart, l'un des médecins de l'unité des soins palliatifs du Salem VA Medical Center.

agression

Publié à 18:01 par fandeloup Tags : article argent texte
agression

Pontoise : deux adolescents agressent une passante «pour rigoler»

Des policiers qui patrouillaient non loin du lieu de l'agression ont très vite interpellé les deux ados violents.  

Les deux ados sont tout juste âgés de 14 et 15 ans. Un âge qui ne les a pas empêchés de s’attaquer à une passante de 67 ans à Pontoise (Val-d'Oise) et de commettre une véritable tentative d’extorsion avant d’exercer des violences.

«C’était pour rigoler» auraient aussi avancé les deux mineurs aux policiers chargés de l’enquête. La recherche en chimie, une école de la patience !

Les faits se sont produits mardi en début d’après-midi. Il est environ 14 heures, rue Saint-Jean, lorsque les ados accostent la passante qui habite la commune.

Ils lui réclament son argent et son téléphone portable. Malgré les menaces, la victime n’entend pas céder. Mais l’un des deux jeunes lui porte un coup au niveau des genoux et la fait chuter au sol. Des policiers présents à proximité vont réussir à arrêter rapidement les deux agresseurs.

Devant les enquêteurs de la sûreté urbaine de Cergy, seul l’un des deux a reconnu avoir porté un coup, unique, à la passante. Une victime à qui le médecin de l’unité médico-judiciaire a délivré six jours d’incapacité. Selon elle, plusieurs coups ont été portés.

Déjà connus pour des faits de violence, les deux adolescents originaires de Cergy et de Pontoise ont été déférés ce mercredi devant un magistrat du parquet des mineurs.

simplicité

Publié à 17:36 par fandeloup Tags : art
simplicité

Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté

philosophie

Publié à 17:25 par fandeloup
philosophie

Petite philosophie du soir La solution existe " Le passé est rempli de problèmes qui ont trouvé leur solutions. Pourquoi s'inquiéter ,alors ?"

humour

Publié à 17:07 par fandeloup Tags : humour

la femme

Publié à 17:01 par fandeloup Tags : voyage femme homme monde vie sourire
la femme

La femme est un monde à part, un univers gorgé de trésors et de complexités attrayantes, elle constitue à elle seule l'ensemble d'une terre, parfois promise, souvent vierge de toute guerre, certains savent capter en elle toutes les essences nécessaires que l'homme puise pour arriver à la destination choisie, parcourant chaque parcelles de cet être fort, et fragile à la fois, elle voyage dans les cœurs qu'elle embellie par sa grâce, faisant escale dans les nos esprits qu'elle sait faire briller avec charme et élégance, elle est la source qui nous inspire avec volupté, dont nous nous abreuvons chaque jour par nécessité, on se nourrie de tout ce qui la compose, pour nous amener à la découverte d'une vie qui souvent, s'avère enrichissante et séduisante de par sa présence, ses caresses glissent telles une douce brise d’automne sur nos corps souvent meurtries, pour les rendre fragiles et frissonnants , son regard brûlant sait comment faire fondre les cœurs de glace de certaines âmes fragilisées par le temps, la chaleur de son sourire procure une bouffée d'oxygène qui nous fait sentir à quel point la vie vaut la peine d'être vécue dans ce monde, si particulier, souvent incompris par l'homme.

écoute pour les maîtres

Publié à 16:17 par fandeloup Tags : bonne vie cadre france chien chiens chez
écoute pour les maîtres

Matinée de présence et d’écoute pour les maîtres en situation d’exclusion et leur chien Dans le cadre du projet CAIR (Centre d’accueil et d’Initiatives pour la Réinsertion du maître et son chien), nous avons organisé une rencontre avec ceux qui en sont les bénéficiaires chez l’un de nos partenaires, le Foyer de jour Princet Ozanam, afin de faire le point sur la situation actuelle des propriétaires et de leur chien en situation d’exclusion sur Reims.

L’hiver approchant, des couvertures et paniers ont été proposés ainsi que des gamelles, laisses, colliers et jouets pour satisfaire les maîtres et leur compagnon d’infortune.

Certains d’entre eux vivant en squat ou dans la rue sous des toiles de tente, nous avons souhaité apporter à ces binômes des couvertures qui ne seront pas de trop pour affronter les températures négatives du Nord et de l’Est de la France.

Dans la bonne humeur, ont été évoqués tant les besoins en soins vétérinaires pour certains chiens que des séances d’éducation canine pour d’autres.

Ces échanges autour de l’animal ont permis d’établir une nouvelle fois un état des lieux des problématiques liées à la vie dans la rue et de souligner l’importance et l’urgence de mettre en place notre centre d’accueil visant à faciliter les démarches de chacun, travailleur social comme bénéficiaire, au sein du processus d’accompagnement social.

Bas salaires

Publié à 15:48 par fandeloup Tags : article texte enfant solidarité revenu cadres
Bas salaires

Bas salaires : une «prime d'activité» remplacera en 2016 PPE et RSA activité

Le gouvernement va mettre en place à partir du 1er janvier 2016 «une prime d'activité» réservée aux bas salaires, qui remplacera la prime pour l'emploi (PPE) et le RSA activité, jugés peu efficaces. Les modalités précises de cette prime restent à définir avec les parlementaires et les partenaires sociaux.

Elle sera versée chaque mois aux personnes gagnant moins qu'«environ» 1,2 fois le Smic et dont les revenus du ménage ne dépassent pas un certain montant, indique le cabinet de Manuel Valls.

Ce dispositif doit être présenté par le Premier ministre lors du Conseil des ministres jeudi. François Hollande avait annoncé en août la fusion de la PPE et du revenu de solidarité active (RSA activité), deux dispositifs critiqués, mais le futur dispositif restait à dévoiler.

Le montant alloué à cette nouvelle prime sera voisin des sommes jusque-là allouées à la PPE et au RSA activité, c'est-à-dire un peu moins de 4 milliards d'euros par an, selon Matignon.

Contrairement au RSA activité, réservé aux plus de 25 ans (ou moins de 25 ans avec un enfant à charge), la «prime d'activité» bénéficiera aux moins de 25 ans.

Toutefois, son montant pourrait varier pour les jeunes. La mesure, fait valoir Matignon, permet de soutenir un certain nombre de salariés modestes, qui ne bénéficiaient pas de la suppression de la première tranche de l'impôt sur le revenu.

Une loi sera adoptée d'ici fin 2015 pour mettre en place la mesure, qui précisera le nombre de bénéficiaires et les montants détaillés des revenus pour en bénéficier.