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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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souvenir

Publié à 09:45 par fandeloup
souvenir

Le souvenir du bonheur n’est plus du bonheur. Le souvenir de la douleur est de la douleur encore.



s'envoler

Publié à 09:23 par fandeloup
s'envoler

Ma raison somnole..Ma conscience me conseille..Mon subconscient m’déconseille, mais mon esprit veut s’envoler.



perdu

Publié à 08:56 par fandeloup
perdu

Combien de joies ne voyons nous pas à nos pieds quand notre regard est perdu dans les nuages??



savoir

Publié à 08:33 par fandeloup
savoir

Savons nous ce que serait une humanité qui ne connaîtrait pas la peur



rire

Publié à 08:27 par fandeloup Tags : monde
rire

ah!ah!ah! rire..le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde.



souffrance

Publié à 08:18 par fandeloup
souffrance

Le bonheur fait briller les yeux…mais dans ces yeux qui brillent…il y a de la souffrance et des larmes qui y dorment



bonne nuit

Publié à 20:12 par fandeloup

Chenilles processionnaire

Chenilles processionnaire

La processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa) est un insecte de l'ordre des lépidoptères, de la famille des Notodontidae, sous-famille des Thaumetopoeinae. Les larves sont connues pour leur mode de déplacement en file indienne, se nourrissent des aiguilles de diverses espèces de pins, provoquant un affaiblissement important des arbres.

L'insecte adulte est un papillon de 35 à 40 mm d'envergure, aux antennes pectinées.Les ailes antérieures sont grises, avec deux bandes foncées parallèles chez le mâle, les postérieures blanches marquées d'une tache sombre à l'extrémité postérieure. La larve est une chenille de quelques millimètres (stade L1) à 40 mm de long (stade 4 ou 5), brun noirâtre avec des taches rougeâtres sur le dessus et les flancs. Sa face ventrale est jaune. Le corps est fortement velu et couvert de poils urticants et allergisants. Les prédateurs à ce stade sont principalement la mésange et quelques oiseaux insectivores, non sensibles aux poils urticants. Les chenilles marchent en procession de manière curieusement saccadée.

Biologie

Nid de processionnaires Les papillons, qui éclosent durant l'été, entre juin et septembre selon le climat, pondent leurs œufs déposés en rangées parallèles par paquets de 150 à 2201 sur les rameaux ou les aiguilles de diverses espèces de pin mais aussi sur les sapins et cèdres en second choix.

L'éclosion a lieu cinq à six semaines après la ponte. Elle donne naissance à des chenilles qui muent cinq fois à des dates variant selon la latitude, l'altitude et la température. Plus on monte vers le nord et en altitude, plus la larve se développe lentement, en abrégeant la diapause nymphale.

En hiver , les chenilles tissent un nid soyeux dans lequel elles passeront la journée pour profiter des rayons du soleil. Elles en sortent la nuit pour s'alimenter, se déplaçant en « procession ».

La cohésion de la file en déplacement est assurée par le contact tactile de soie à soie. Au printemps, la colonie, conduite généralement par une femelle, quitte le nid, toujours en procession pour gagner au sol un endroit bien ensoleillé et s'enfouir dans un trou où chacune des chenilles va tisser son cocon pour démarrer son processus de transformation en chrysalide.

Au bout de plusieurs mois, voire plusieurs années, les chrysalides sont transformées en papillon qui sortent de terre. Le cycle peut alors reprendre par accouplement de la femelle et du mâle qui meurt un ou deux jours après, alors que la femelle s'envole vers une branche pour pondre jusqu'à 220 œufs avant de mourir aussi. Les petites chenilles émergent 30 à 45 jours après la ponte.

Dégâts

Les chenilles se nourrissent des aiguilles des pins, entraînant une défoliation de l'arbre et en cas d'infestation massive, un affaiblissement important des arbres ouvrant la voie à d'autres ravageurs et parasites.

Les espèces attaquées sont le pin d'Alep, le pin maritime, le pin noir d'Autriche, le pin blanc, le pin laricio et le pin sylvestre. Le cèdre est également parasité.

Un animal dangereux

Si leurs longs poils (soies) sont inoffensifs, ces chenilles projettent dans l'air de minuscules poils très urticants à partir du 3e stade larvaire.

Leur fort caractère urticant peut provoquer d'importantes réactions allergiques : démangeaisons, œdèmes (au niveau des mains, du cou, du visage) mais aussi des troubles oculaires ou respiratoires2 (asthme).

Les atteintes de l'œil peuvent avoir des conséquences graves si les poils ne sont pas rapidement retirés. Il est dangereux de manipuler un nid même vide.

Le danger est particulièrement important pour les animaux domestiques :

un chien atteint à la langue (qu'il peut avoir utilisé pour lécher les démangeaisons sur son corps) s'il n'est pas traité rapidement par des fortes doses de cortisone, risque la nécrose de la langue. Empêché par conséquent de se nourrir, il doit être euthanasié.

Le plus important est d'avoir le réflexe de rincer la langue et la cavité buccale à l'aide d'eau et de ne surtout pas frotter, ce qui pourrait alors briser des poils urticants et libérer ainsi plus de toxines, aggravant le pronostic.

Ennemis naturels

Chaque stade a son cortège d'ennemis naturels notamment des œufs, des chenilles, des chrysalides et des papillons. Champignons, virus, bactéries, insectes, oiseaux, rongeurs… Des études sont en cours sur la prédation par les mésanges3, le coucou ou la huppe fasciée.

Évaluation

L'aire de répartition de cette chenille remonte vers le nord et en altitude.

En France

La progression est suivie par l'équipe de modélisation de l'INRA d'Orléans (URZF). Pour disposer de données plus fines en France au niveau des communes, pour évaluer les besoins des gestionnaires d'espaces verts et pour produire des préconisations plus pertinentes en matière de lutte, une enquête élaborée par Plante et Cité et l’INRA avec l’Association des maires de France (AMF) a été lancée en 2009 auprès de toutes les communes de France.

Le technicien responsable ou l'élu chargé des espaces verts ont été invités à renseigner un questionnaire en ligne sur internet du 11 mai au 11 juin 20.

En 2010, la chenille progresse vers le nord, et notamment en Île de France5 probablement en raison du réchauffement climatique et parce qu'elle profite des infrastructures de circulation.

Moyens de lutte

« Écopiège » à chenille processionnaire. Pour les petites surfaces : Lutte mécanique, l'échenillage : pour les surfaces réduites (parcs et jardins), elle consiste à enlever et à détruire les pontes et les nids. les nids seront incinérés.

Dans ce cas, il convient de se protéger de tout contact avec les poils urticants des chenilles. Il est conseillé d'utiliser un échenilloir qui est un sécateur au bout d'un long manche. Piégeage : il existe un produit commercial qui piège les chenilles au moment où elles descendent de l'arbre.

Nécessite un piège par arbre, et la suppression (incinération) des insectes capturés une fois l'an6. Le piège à base de phéromone de synthèse (odeur que libère le papillon femelle), suspendu dans les pins, attire de fin juin à mi-septembre les papillons mâles.

Le piégeage de masse est efficace sous certaines conditions : nombre de pièges, surface où sont disposés les pièges, type de piège non saturable et avec un bon potentiel de capture.

Autre moyen de lutte radicale : le chalumeau.

Lutte inefficace à court terme : l'eau de Javel, désolidarise les processionnaires.

Pour les grandes surfaces : Lutte chimique : par pulvérisation aérienne d'insecticides, elle est de plus en plus abandonnée.

Lutte biologique : la méthode la plus utilisée est la pulvérisation de toxines produites par une bactérie, le Bacillus thuringiensis var. kurstaki, sur les aiguilles des pins, ce qui est efficace contre les chenilles de lépidoptères.

L'ingestion de ces toxines provoque la mort des larves par septicémie. Les spécialités commerciales homologuées en France ont une persistance d'action très courte, mais aussi une très bonne efficacité sur les stades âgés.

L'utilisation en fin d'automne permet ainsi une bonne protection contre cet important ravageur des forêts tout en ayant un impact minimal sur d'autres chenilles du fait de leur absence.

Des expériences ont montré que l'odeur du bouleau a un effet répulsif sur la processionnaire



desespoir

Publié à 19:13 par fandeloup
desespoir

Il n’y a pas de désespoir plus absolu que celui qu’on rencontre lors des premiers instants de nos premières grandes peines, quand on n’a pas encore connu ce que c’est de soufrir et guérrir, d’être désespéré et de s’en remettre



pkoi

Publié à 18:59 par fandeloup Tags : écran chez chien chiens
pkoi

Pourquoi les chiens comprennent-ils si bien nos émotions ?

Un chien passe un IRM

Vous avez l’impression que votre chien est parfois celui qui vous comprend le mieux ? Et bien ce n’est peut-être pas qu’une impression.

Des chercheurs hongrois viennent de prouver que les chiens comprennent très bien notre langage. Ils seraient même capables de ressentir les émotions humaines.

Selon une étude menée par l’éthologue Attila Andics et publiée dans la revue Current Biology, le traitement cérébral des sons est comparable chez l’homme et le chien.

Une découverte qui explique pourquoi les toutous seraient si sensibles aux émotions de leurs maîtres. Pour arriver à une telle conclusion, les scientifiques ont fait passer des IRM à 11 chiens , équipés de casques audio.

200 sons différents leur ont été diffusés. Leurs maîtres sont restés à leur côté tout au long de l’expérience et n’ont pas hésité à les câliner. Puis, ce sont 22 individus qui ont été soumis au même test.

Les chercheurs ont alors comparé les réactions des chiens et des hommes aux stimuli vocaux. Résultat : les chiens ont comme les hommes, mais aussi comme les singes, une zone du cerveau dédiée à la voix et à son analyse.

« Les chiens et les humains partagent un environnement similaire. Cela montre que les chiens et les êtres humains ont les mêmes mécanismes cérébraux d'interprétation sociale des sons. Cela peut correspondre à la possibilité d’une réelle communication vocale entre les deux espèces » explique Attila Andics.

Cette proximité neurologique entre le chien et l’homme pourrait être hérité d’un ancêtre commun ayant vécu il y a plus de 100 millions d’années.



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