Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

Neuf ânes maltraités saisis:

Publié à 14:14 par fandeloup Tags : amis animal animaux chevaux chats
Neuf ânes maltraités saisis:

Neuf ânes maltraités saisis:

"L'ânesse était tellement faible qu'elle ne pouvait plus nourrir son bébé"

Les amis des chevaux et des bovins du Marais de Fize-Fontaine ont procédé ce lundi matin à une saisie d’animaux.

Neuf ânes, des chats et des poules ont été retrouvés dans un état lamentable, à Modave.

Les propriétaires étaient partis en vacances depuis un mois, et n’avaient pas laissé à manger aux bêtes.

Au total, le SPF bien-être animal et la police ont retrouvé neuf ânes, mais aussi des chats et des poules dans cette propriété privée de la commune condruzienne.

« L’avorton que nous avons retrouvé montre que les animaux étaient sous-alimentés. L’ânesse était tellement faible qu’elle ne pouvait plus nourrir sa progéniture », nous explique Henri-Claude Vercruysse, le responsable de l’asbl Les amis des chevaux et des bovins du Marais basée à Villers-le-Bouille

faiblesse

Publié à 13:36 par fandeloup Tags : sexe femmes femme
faiblesse

Appeler les femmes « le sexe faible » est une diffamation ; c’est l’injustice de l’homme envers la femme.

Il faut arrêter l’abattage absurde

Publié à 13:27 par fandeloup Tags : france fond nature nuit animaux éléments signature
Il faut arrêter l’abattage absurde

Il faut arrêter l’abattage absurde des bouquetins de Haute-Savoie

Des centaines de bouquetins du massif du Bagy, en Haute-Savoie, risquent l’abattage sur ordre du préfet.

Beaucoup ont déjà été abattus.

Motif : la crainte de la propagation de la brucellose. Mais ce motif est hautement contestable, et contesté par plusieurs autorités scientifiques.

Grenoble, le 18 février 2014 Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie, Emblème des montagnes, le bouquetin des Alpes a failli disparaître après l’invention de l’arme à feu.

Suite à la protection des derniers spécimens terrestres, l’espèce a échappé à l’extinction, et a pu être réintroduite dans quelques massifs. Bien que la loi interdise la chasse et l’abattage de ces animaux, vous avez ordonné, en octobre dernier, le massacre de centaines de bouquetins du massif du Bargy, car parmi eux, certains sont atteints de brucellose.

Au nom du principe de précaution et pour des motifs économiques, l’Etat a donc décrété l’urgence, et a décidé de procéder à des abattages massifs sans faire de distinction entre les individus malades et les individus sains.

A ce jour, l’Etat a tué au moins deux cent trente quatre bouquetins ; et les tirs pourront reprendre dès que les conditions d’enneigement le permettront.

Ces abattages sont contestables. En effet, d’une part, l’infection est circonscrite au Bargy, car les bouquetins ne se déplacent pas vers les autres massifs ; d’autre part, le risque de propagation de la maladie aux autres espèces est extrêmement faible ; ce que confirment plus de douze mille tests effectués sur des bovins, moutons, chèvres, chamois, cerfs et chevreuils.

L’urgence n’étant donc pas avérée, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) et le CNPN (Comité national de protection de la nature) ont insisté - en vain - sur l’importance d’un temps scientifique avant la mise en œuvre de mesures de gestion drastiques.

Je ne peux qu’exprimer ma colère à l’égard des abattages effectués jusqu’à ce jour. Occultant toute possibilité de contestation, l’Etat n’a averti le public qu’au tout dernier moment.

Vous n’avez pas respecté le calendrier que vous aviez fixé, sur France 3, le 26 septembre. Du jour au lendemain, cent quatre-vingt dix-sept bouquetins ont été abattus, dont un grand nombre d’animaux non atteints de brucellose.

Cette précipitation est contraire à l’échelonnement que vous avez évoqué dans une lettre adressée au ministre de l’Ecologie (Courrier du préfet de la Haute-Savoie adressé au ministre de l’Ecologie, 30 août 2013. Pièce jointe au référé.)

Aucun délai n’a séparé la signature de votre arrêté de son exécution : il était donc impossible de soumettre le sort de ces cent quatre-vingt dix-sept bouquetins à un juge.

Pour que la justice puisse être saisie, un intervalle de temps n’est-il pas nécessaire entre la prononciation d’un ordre et son exécution ?

Sachant, de surcroît, que la situation d’urgence a été scientifiquement réfutée, les conditions d’exercice de votre autorité m’interrogent.

D’ailleurs, à l’instar de la FRAPNA, de la LPO et du CSRPN, comment ne pas déplorer l’opacité autour des abattages massifs ? Pour le vice-président de la commission faune du CNPN, « ordre a été donné de la préfecture de ne pas effectuer de prélèvements à but scientifique sur les cadavres, obérant ainsi lourdement les études en cours ».

Je reste convaincu que l’absence totale de contrôle sérologique sur les animaux abattus est délibérée, et vise à masquer la réalité de chiffres pouvant remettre en cause la contestable pertinence des choix passés et à venir de l’Etat.

En novembre dernier, le juge des référés s’est prononcé sur l’urgence à suspendre l’exécution de votre arrêté - et non sur sa conformité à la loi. Pour prendre sa décision, le juge des référés s’est appuyé sur une donnée inexacte soutenue par l’Etat.

Ainsi, lors de l’audience, votre représentante a déclaré qu’il restait un nombre de bouquetins significativement inférieur aux effectifs réels ; ce qui lui a permis de prétendre - à tort, je le crains - que le nombre de bouquetins restant à abattre était dérisoire en regard du nombre de bouquetins déjà abattus.

Considérant qu’ayant été fait, le mal n’était plus à faire, le juge des référés n’a pas retenu l’urgence à suspendre l’arrêté. Si l’Etat avait fourni des chiffres conformes à la réalité, l’urgence eût été avérée, et le juge eût pu décider de suspendre l’arrêté.

Au-delà de ce référé, la justice se prononcera sur le fond de cette affaire, mais le délai de la procédure joue en faveur de votre arrêté puisque l’audience aura sans doute lieu après le 30 septembre 2014, date d’expiration de l’application de l’arrêté.

Quoi qu’il en soit, en ordonnant ces abattages massifs, l’Etat n’a pas organisé de consultation publique, et n’a pas respecté la solution retenue par le Conseil National de Protection de la Nature.

Les bouquetins non contaminés, que la loi protège, devaient être épargnés. Au vu de ces éléments et des articles L 120-1-1° et L 411-2-4° du code de l’environnement, je ne doute pas de l’illégalité de votre arrêté, et je vous demande donc de l’abroger.

En septembre, l’ANSES évoquait l’importance de l’ouverture d’une saisine sur la vaccination. Cette saisine n’est toujours pas à l’ordre du jour.

Comment expliquer cette latence autour d’un sujet aussi décisif et crucial que la vaccination ?

L’Etat se soucie-t-il de la préservation de la Nature ?

Si oui, comment expliquer l’absence de surveillance clinique et sanitaire, durant plus d’une décennie, d’une espèce réintroduite, protégée et facilement observable ?

Effective dans certains massifs, notamment en Isère, une vigilance, même ponctuelle, des services de l’Etat aurait pu permettre de gérer l’infection à sa racine dès 1999 ! Plutôt que de payer le prix de sa négligence, l’Etat opte pour la solution la plus expéditive en abattant des centaines de boucs émissaires. N’épargnant pas les animaux sains, ce massacre nuit gravement à la Nature.

L’Etat doit donc fournir des efforts visant à compenser cette atteinte, d’une part, en s’engageant à assurer un minimum de suivi des populations réintroduites, d’autre part, en s’engageant à maintenir l’interdiction de la chasse au Bouquetin durant les trente prochaines années.

Emblèmes de la biodiversité, les bouquetins non contaminés, que la loi protège, doivent être épargnés ; et nous sommes, à ce jour, 19420 à demander l’arrêt de l’abattage systématique des bouquetins du Bargy de cinq ans et plus, et à exprimer notre désaccord avec toute décision ultérieure d’abattage de bouquetins dont le statut sérologique est soit inconnu soit négatif à la brucellose.

En somme, 19420 citoyens demandent à l’Etat de respecter l’avis du Conseil National de Protection de la Nature. Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie, en l’expression de ma haute considération, et en la sincérité de mon engagement envers une Nature qui est indissociable du bien commun.

La réforme du logement

Publié à 12:22 par fandeloup Tags : création
La réforme du logement

La réforme du logement adoptée : tout ce qui va changer avec la loi Duflot

CONSOMMATIONVoici les principales mesures du projet de loi Alur (accès au logement et urbanisme rénové) adopté définitivement jeudi par le Parlement.

ENCADREMENT DES LOYERS

- Dans les zones "tendues", les préfets fixeront chaque année par décret un loyer médian de référence majoré de 20%, au-delà duquel le propriétaire ne pourra pas aller, mais aussi un loyer plancher (inférieur de 30% au loyer médian) en deçà duquel il pourra demander une hausse.

- Un "complément de loyer exceptionnel" pourra s'ajouter au loyer de base pour des logements particulièrement bien situés ou confortables, mais le locataire pourra le contester auprès de la commission départementale de conciliation.

GARANTIE UNIVERSELLE

- Une Garantie universelle des loyers (GUL), gratuite et publique, sur l'ensemble du parc privé, protègera, d'ici au 1er janvier 2016, les propriétaires des impayés, pendant une durée de 18 mois dans la limite d'un loyer médian local. Mais les propriétaires auront le droit de préférer le recours à la caution.

- Coût estimé par la ministre: 420 millions d'euros en année pleine, financé par des économies sur des dépenses actuelles de l'Etat, des organismes HLM et des collectivités territoriales.

RELATIONS LOCATAIRES-PROPRIETAIRES

- Modèles types d'état des lieux et de bail, définis par décret, avec mention du loyer médian de référence et du loyer appliqué au locataire précédent.

- Délai de préavis pour quitter son logement ramené à un mois dans les zones tendues.

- Le dépôt de garantie sera rendu dans un délai d'un mois, au lieu de deux, s'il n'y a pas de réserves dans l'état des lieux. Sa rétention abusive par le bailleur sera sanctionnée par une pénalité, par mois de retard, de 10% du dépôt.

- Les marchands de listes ne devront proposer que des logements dont ils ont l'exclusivité.

- Encadrement accru des ventes à la découpe, avec notamment une protection des locataires âgés.

- Encadrement de la location de meublés de tourisme.

- Création de commissions départementales de coordination des actions de prévention des expulsions locatives, alertées systématiquement sur des situations d'expulsion.

- Statut de la colocation, avec encadrement des contrats multiples (entre le propriétaire et chacun des colocataires).

- Les frais d'agence seront à la charge du propriétaire sauf ceux pour la rédaction du bail, l'état des lieux, la visite du logement et la constitution du dossier du locataire, qui seront partagés avec ce dernier.

REFORME DES COPROPRIETES ET DES PROFESSIONS DE L'IMMOBILIER

- En dehors du forfait annuel pour la gestion courante, les syndics ne pourront facturer des frais supplémentaires que pour certaines prestations, définies par un décret.

- Les syndics devront ouvrir un compte bancaire séparé pour chaque copropriété qu'ils ont en charge.

- Possibilité de réaliser un diagnostic technique global dans chaque copropriété, permettant le cas échéant d'élaborer un plan pluriannuel de travaux financé par un fonds de prévoyance.

- Encadrement des résidences à temps partagé (multipropriété).

- Reconnaissance des habitats participatifs (sous forme de sociétés ou de coopératives) permettant à des particuliers de concevoir ensemble un projet de construction ou d'acquisition d'un immeuble où ils logeront.

- Contrôle du respect de la déontologie des professionnels de l'immobilier.

HABITAT INDIGNE ET LOGEMENT SOCIAL

- Délai de grâce maximal pour quitter les lieux après une décision d'expulsion porté à trois ans pour tenir compte d'un "recours Dalo".

- Les marchands de sommeil déjà condamnés pour habitats indignes seront interdits d'achats de biens immobiliers destinés à la location pendant 5 ans.

- Le propriétaire d'un logement indécent qui, à compter de la promulgation de la loi, refusera d'engager des travaux malgré les injonctions des pouvoirs publics devra payer une astreinte de 1.000 euros par jour de retard.

- Le demandeur de logement social n'aura qu'un dossier unique à remplir, même s'il fait des demandes dans plusieurs départements.

- Maintien du dispositif spécifique de domiciliation des demandeurs d'asile.

REGLES D'URBANISME

- Elaboration des plans locaux d'urbanisme à l'échelle de l'intercommunalité et non plus de la commune. Mais ce transfert ne pourra intervenir si un quart des communes représentant au moins 20% de la population s'y oppose.

-Suppression des coefficients d'occupation des sols (COS) et de la taille minimale des terrains constructibles.

- La construction dans d'anciennes zones industrielles devra être précédée d'une étude sur leur etat de pollution

1700 animaux euthanasiés chaque année dans les zoos

Publié à 11:28 par fandeloup Tags : animal animaux patrimoine vie
1700 animaux euthanasiés chaque année dans les zoos

Le cas de Marcus, ce girafon en parfaite santé euthanasié la semaine passée au zoo de Copenhague, a interpellé, ému ou choqué des milliers de personnes à travers l’Europe.

Or Marcus n’est pas le seul a subir ce triste sort.

En Europe, 5 girafons ont déjà été abattus depuis 2005 par les zoos.

Au Danemark, le zoo d’Aalborg tue 15 animaux en moyenne chaque année alors que le zoo de Stockholm a euthanasié un ours et un lynx l’an passé.

Des exemples parmi tant d’autres.

Plus de 1 700 animaux seraient ainsi euthanasiés chaque année dans les zoos européens, note l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA).

Les zoos ont pour principale mission la conservation des espèces et non celle des individus. C’est, en substance, ainsi que le zoo de Copenhague a justifié sa décision.

Le patrimoine génétique de Marcus était trop proche de celui des autres girafes déjà présentes dans le zoo.

Le laisser en vie présentait un risque de consanguinité pour les futures générations. Un risque jugé trop élevé par le zoo qui a donc décidé de l’abattre.

Et le zoo de Copenhague n’est pas le seul à poursuivre cette logique.

Selon Phys.org, les 347 membres de l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA) tuent chaque année 1735 animaux. Souvent ils les tuent à cause de leur âge, de leur santé ou par manque d’espace.

Dans de rares cas, moins d’un pour cent, les animaux sont abattus pour éviter des problèmes de consanguinité. L’idée étant de conserver une population génétiquement saine et forte qui pourrait éventuellement être réintroduite à l’état sauvage si l’espèce venait à disparaître.

Aux Etats-Unis, les choses ne se déroulent pas de la même façon. En cas de surpopulation ou de problèmes de consanguinité, les animaux sont stérilisés et non abattus. La seule raison qui justifie d’abattre un animal pour l’Association Américaine des Zoos et Aquariums serait un problème de qualité de vie de l’animal – son état de santé, en général. Mais entre spécialistes, les avis divergent : pour Bengt Holst du zoo de Copenhague, « cette approche est totalement mauvaise. La reproduction est importante pour le bien être des animaux ». Cette dernière remarque est assurément vraie.

Mais on peut se demander si la meilleure manière d’assurer le bien-être d’un animal est vraiment de le tuer. 

écouter

Publié à 10:44 par fandeloup Tags : musique

tuerie

Publié à 10:38 par fandeloup Tags : chiens
tuerie

Aujourd'hui, 180 chiens ont étés tués dans une des fourrières de bucarest...et, malheureusement pas d'une manière douce!!! et, chaque jours, ces MEURTRES sont commis en toute impunité!!! Soyez tous maudits, et, dorénavant, plus de majuscules ,ils ne méritent aucun respect!!!! Tous ces dirigeants devraient être mis au pilori!!!

pluie

Publié à 10:27 par fandeloup

pinki

Publié à 10:21 par fandeloup Tags : voyage vie
pinki

Pinki

Il y a une galga qui attend quelque part, là-bas, tout en bas de notre vieux continent, une attente qui n’en fini pas. Pinki la sénior, Pinki la noire, tu ne dois pas perdre l’espoir, de voir un jour cette lueur, dans les yeux de tes soigneurs. Cette petite flamme te soufflera tout le bonheur est à venir, ta vie bientôt changera, dans quelques jours tu vas partir. Tu ne finiras pas dans l’oubli, la voici ta nouvelle vie, prépare vite tes bagages, tu es du prochain voyage.

sourire

Publié à 09:55 par fandeloup Tags : coeur