Fandeloup

Environnement :

la France poursuivie dix fois devant la cour de justice européenne.

Déjà condamnée récemment par la Cour de justice de l'Union européenne sur le dossier des nitrates, la France est encore visée par une dizaine d'autres procédures pour non respect des directives européennes en matière d'environnement. Notamment pour non protection d'espèces menacées, comme le grand hamster d'Alsace, l’ours brun des Pyrénées ou l’ortolan.

« Peut mieux faire » :

c’est en quelque sorte ce qui est reproché à la France devant la justice européenne. Et même « beaucoup mieux faire ». Principalement en ce qui concerne les espèces animales menacées de disparition dans l’hexagone. L’ours brun, animal protégé, ne le serait justement pas assez dans les Pyrénées, où il a été réintroduit. Même chose pour le grand hamster d’Alsace, qui fait l’objet d’une mesure de protection dans l’hexagone depuis 1981, et a été inscrit à l'annexe IV de la directive européenne "Habitat, faune, flore". Victime de la monoculture et de l'urbanisation qui détruit son milieu naturel, ce rongeur que l’on trouvait couramment jusqu’aux portes de Strasbourg, pourrait bien totalement disparaître. Des plans de sauvegarde ont bien été mis en place successivement en 2000 et 2007, mais ils n’auraient pas été assez soutenus par les autorités. Quant à l’ortolan, ce petit oiseau de la famille des Bruants, très prisé des gourmets, il est bien protégé en France depuis 1999. Mais dans le sud-ouest, de nombreux chasseurs refusent de se plier aux directives européennes, et environ 30.000 oiseaux finissent chaque année dans les assiettes, malgré les manifestations des associations de défense, comme la LPO (Ligue de protection des oiseaux ) . Or, bien peu de contrevenants sont poursuivis, et la chasse continue chaque année en toute illégalité.

Principal dossier :

la qualité de l’air

Mais ce n’est pas en matière de protection des espèces animales en danger que la France risque le plus d’être condamnée au niveau européen. La qualité de l’air est le dossier le plus brûlant, pour lequel la commission européenne a adressé à Paris de nombreuses mises en demeure. Les seuils règlementaires d'émissions des particules fines ne sont toujours pas respectés, et les autorités sanitaires estiment que 40.000 personnes trouveraient chaque année la mort du fait de cette pollution. Que risque exactement la France ? Pas forcément grand chose en fait. D’abord, les procédures sont extrêmement lentes. Il n’est pas rare qu’un dossier mette plus de vingt ans à se solder par une condamnation définitive. Ensuite, cette dernière n’est pas toujours assortie d’une « amende ». Si un pays n’est pas condamné à payer une lourde contrepartie financière, les décisions sont peu contraignantes. D’ailleurs, la France n’a été condamnée qu’une seule fois à payer. C’était en 2005, dans le dossier de pêche des Merluchons, poissons dont la taille de prise tolérée était inférieure aux directives européennes. Depuis, aucune autre condamnation n’a entraîné de contrepartie financière, et certaines situations n’ont du coup guère évolué.

Il n’y a pas d’âge pour s’aimer… ni pour se séparer. A l’heure de la retraite, de plus en plus de couples divorcent et partent en quête d’une nouvelle âme sœur.

Comment aider les animaux en voie de disparition ?

Soucieux de la nature et de la biodiversité, passionné par les animaux, vous êtes révolté par la probabilité de la disparition prochaine du panda, du tigre de Sibérie, de l’ours blanc ou du rhinocéros… Vous voudriez bien agir, mais peut-on encore, chacun à notre niveau, avoir un rôle à jouer ? Oui, et voici comment. On ne parle souvent que des espèces les plus emblématiques ou les plus majestueuses, mais des milliers d’espèces animales sont en fait appelées à disparaître si l’on ne fait rien. On peut évidemment penser que nous ne sommes pas capables à nous seuls d’empêcher la banquise de fondre ou la déforestation, mais si chacun d’entre nous se montre un tant soit peu attentif, le vieil adage « l’union fait la force » pourrait bien permettre de soulever des montagnes. Car certaines espèces menacées, grâce à la mobilisation, ont pu connaître des jours meilleurs, comme les bisons d’Amérique, plus nombreux aujourd’hui, ou les alligators en Floride.

Consommer avec attention

La première façon d’agir est d’abord de faire attention lorsque nous consommons. En n’achetant pas de produits qui nuisent directement ou indirectement aux animaux menacés, comme l’ivoire évidemment, mais aussi des meubles en bois exotique, ce qui contribue à la déforestation et à la destruction de l’habitat de nombreuses espèces menacées. De même, lorsque l’on voyage, en n’achetant pas de peaux d’animaux, de dents de requin ou autres insectes naturalisés.

Dans notre assiette aussi

Nous mangeons aussi régulièrement des espèces en voie de disparition. L’exemple le plus emblématique est sans doute celui du thon rouge, mais ce poisson n’est pas le seul à être victime de nos papilles. Savez-vous par exemple que la lotte, l’anchois, ou même le lieu, selon l’endroit du globe où ils ont été pêchés, peuvent être considérés comme des espèces en grand danger. Des sites peuvent vous permettre de vous y retrouver . En voyage à l’étranger, vous pouvez évidemment également éviter de consommer des mets, certes prisés localement, mais mettant en danger des espèces. Exemple : des ailerons de requins en Asie ou de la tortue à Madagascar.

Adhérer à une association

De nombreuses associations font un travail remarquable pour tenter de venir en aide aux espèces menacées. La plus puissante d’entre elles, le WWF , finance par exemple de nombreux projets de préservation à travers le monde. Mais ces organisations non-gouvernementales font aussi pression sur les gouvernements des états concernés pour qu’ils agissent contre la déforestation, la pollution des mers et plus généralement qu’ils protègent les animaux les plus menacés, notamment par la création de parcs nationaux et la lutte contre le braconnage.

Aider… en voyageant

Une des meilleures façons d’aider les animaux en danger est dans certains cas… d’aller les voir. Le tourisme et son apport économique aux pays concernés sont de formidables moyens pour inciter les états à protéger les espèces qui vous ont incité à venir sur place. Une bonne partie de la faune africaine, éléphants et rhinocéros y compris, doivent beaucoup aux amateurs de safaris photos. Même si malheureusement, ces dernières années, les braconniers ont regagné du terrain et fait des ravages.

C'est moiqui te faisait rire pour avoir le parfum de nos souvenirs .C'est moi qui t'a parler de la nation de l'eau et du feu,et par ton sourire tu me disais que j'était folle.Et je t'ai répondu :je suis ainsi car la folie est le plus beau cadeau que je l'ai reçu de toi

Manifestation de Strasbourg 2013.Terre des Lévriers était présente à la manifestation contre la maltraitance envers les lévriers espagnols.

A TOUS

Menacées par les insecticides et les pesticides, les abeilles disparaissent de nos campagnes, et avec elles la pollinisation des arbres fruitiers.

LE RAISIN

1. Aide à lutter contre le vieillissement cutané.

2. Llimite la formation du mauvais cholestérol grâce aux polyphénols qu'il contient.

3. Protège le système cardio-vasculaire en freinant son vieillissement.

4. Riche en vitamine B et C, il permet un gain d'énergie (idéal pour les enfants en pleine croissance et les sportifs).

5. Aide à lutter contre les jambes lourdes et la rétention d'eau.

MESSAGE

LE CHOCOLAT NOIR

1. Augmente le flux sanguin vers le cerveau et le cœur

2. Abaisse la pression artérielle

3. Aide à contrôler la glycémie

4. Réduit le risque de diabète

5. Riche en vitamines essentielles et minéraux

6. Ralentit les signes de l'âge

7. Contient des agents anti-depresseurs

8. Prévient les maladies cardiaques

9. Contient des antioxydants qui protègent les cellules

10. Abaisse le niveau de cholesterol

11. Améliore l'humeur

12. Réduit le stress