Fandeloup

J’ai vu passer dans mon rêve .Tel l’ouragan sur la grève, d’une main tenant un glaive et de l’autre un sablier, cet ange

CORRIDA PORTUGAISE PAS DE MISE A MORT, MAIS LA FIN EST TERRIBLE.............

Cette image rare illustre un des moments de la souffrance impitoyable. L'opinion publique pense que, les courses de taureaux "au portugal" sont des spectacles légaux, mais sont les plus cruels qui existent dans le monde. L'agonie et la souffrance de milliers d'animaux persistent pendant plusieurs heures, du moment où ils sont séparés de leur troupeau. Quand les taureaux quittent l'arène ils sont laissés épuisés dans un sombre espace fermé, avec des blessures ouvertes et saignent. Tandis que le public applaudit toujours dans les bancs, on retire les "bandarilhas" aux animaux avec un rasoir, ils coupent des morceaux de chair pour enlever le pic. Les taureaux restent toujours en vie, avec les blessures ouvertes faites par l'homme, une souffrance absolue. Les taureaux meuglent de souffrance....................

Plus tard les animaux vont à l'abattoir. Ils arrivent et attendre deux ou trois jours la mort finalement. ******

Partagez ce message et aidez à répandre la vérité qui se cache derrière la couleur des courses de taureaux au Portugal.*****

source FAC

Seule tapie dans son coin, la petite fille serrait contre elle son ours en peluche, seule marque au monde qui était synonyme de tendresse pour elle

Croisez son regard et la première réaction qui vous viendra à l'esprit sera de détourner les yeux

La couverture ne me protège plus de l'usure que laisse le temps sur moi. Pourtant j'endure la vie. Du mieux que je peux et de temps à autre ça devient dur. Je pensais être assez mure pour le supporter, pour ne pas le révéler. Mais faute de confiance en moi j'ai abandonnée

Tu es protégé, bien entouré. Tandis que moi je reste abîmé et désespéré. Triste réalité face à une dure vérité

Je ne suis pas libre. Emprisonnée par mon coeur, enchainée par mes peurs, je reste immobile. Je ne suis pas libre. Mon esprit pense trop ,il ne se projette plus dans la vie, je tombe. Je ne suis pas libre, ne l'a jamais été, et ne le sera certainement pas avant ma mort. La vie est une prison de la taille de l'univers. Mais une prison tout de meme

Si tu savais. Si tu avais conscience de l'état dans lequel je me trouve, tu t'en voudrais peut être. Ou peut être pas. Tu ne m'aimes plus. C'est la fin, ma fin. Sans toi, je ne suis rien, je pensais que tu l'avais compris, mais ton cœur a fini par oublier. Oublier de m'aimer. C'est arrivé si vite.

J'ai l'âme qui se fane, le coeur qui tombe en panne

Une ombre. Un bruit sourd. Les arbres défilent tandis que s’accélère la course. Mon souffle se fait haletant, et mon corps se fait lourd. Mais je dois courir, encore, ne pas m’arrêter, ne pas m’essouffler. Ils arrivent. Ils sont derrière moi. Ralentir serait périr.