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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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mes yeux

Publié à 14:11 par fandeloup Tags : coeurs fleur hiver
mes yeux

Mes yeux gris reflètent un hiver qui paralyse les ♥♥ meurtris, mon regard vient de l'ère glaciaire, mon esprit est une fleur flétrie, je n'ai plus rien à exposer dans la galerie des sentiments, je laisse ma place aux nouveaux-nés sur le marché des morts-vivants, je rêve tellement d'avoir été que je vais finir par tomber

lire

Publié à 13:39 par fandeloup
lire

Qu'y a-t-il de plus plaisant que de voyager, que de se transporter dans l'imaginaire qu'en lisant...

prise

Publié à 13:21 par fandeloup Tags : moi
prise

Je perpétue comme mon propre frère imaginaire, des goutes larmoyantes sanguines. La tête heurtant terre, j'avoue accidentellement me fossoyer de mes décharges amères de survie. Touché d'un boulet cheviller au corps, je traine une massue pour fracasser ce crane de déchirement. Mes pas m'apparaissent des désolations de poussière asphyxiantes. Ces tourments me tiraillent, détiennent en moi les clés contre le cours du fleuve, le devoir de lutter. Ce qui délivre ou libère ne soulage pas l’affliction. Tout ce contente de défricher une surface plane, aride. Tout est gâté, gavé de pourriture en surface. Je soupire, m'étouffe dans les mailles de ce filet tendu trop petite pour une si grosse prise.

ange

Publié à 12:34 par fandeloup Tags : ange vie
ange

Quand un jour les mots donnent la vie...  Alors tu devras construire autour de ces mots, une ceinture de phrases... Car a te piquer toi même à ce jeu, non puéril mais face au péril, tu pourrais y laisser ta plume et ta peau... Plus je regarde cet ange, plus je me dis que ses yeux exprime les miens, espérance. Foix en une présence supérieure ainsi que tout autant désemparement effondrement de mes aspirations. Les larmes se ressentent, seules vivaces et tempérées simultanément. Agonies palpables, mainte fois abandonné les peurs sont si proches à se manifester.  Oui ! les mots sont vie, Oui ! les phrases sont vécues cependant leur adéquation, leur assemblage spirituel eut devenir fatidique. En témoigne les hommes dans leur tour de Babel, la même langue n'auras jamais fais autant versé d'espoir de tempête et de haine.  Admirons ce petit être fragile et gracile en apparence s'attacher tout entier à sa joie comme à ça peine sans relâcher l'effort... sans rechigner...

misere

Publié à 11:49 par fandeloup Tags : amour homme amitié
misere

Notre misère mise à vif, mesure nos crises d'égarements. Notre propre chaire se découvre écorchée par les accidents tragiques de nos infortunes. Dans ce marasme des luttes, on s'oublie, on s'éternise dans nos absences intangibles, perdu nécessiteux et mendiants en esprit. L'authentique n'est plus une source palpable, les yeux dans le flou, cherchant un chemin de guérison dans la brume des ombres passéistes. Escarpé dans les méandres de notre mémoire, malgré notre ténacité, nous devons apprendre à contrarier ce destin fatidique. Une destiné écharpée par les troubles, certes fatigue cette âme en solitude. Il devient ainsi une nécessité vitale d'établir une passerelle ente les deux rives d'un continent, de traverser celle-ci. C'est elle seule qui nous permettra ce passage initiatique de l’obscurité vers l'éclat du jour jusqu'au retour fraternel. L'homme est un être doué de conscience, de sentiment. Il est guidé par son amour, son cœur. C'est donc avec la pure amitié comme l'amitié pure que le malade indigent parviendra de la convalescence au rétablissement.

tache

Publié à 11:06 par fandeloup Tags : moi monde amour nature nuit dessin
tache

J`ai une tâche sur le cœur...imprégné en forme d`étoile...elle me suit et me poursuis ... Elle file à mes cotés protectrice ou vengeresse, je ne sais. Son insistance à me pénétrer de l’intérieur s'impose intense, tantôt lumineuse comme l'éclaire, elle tombe comme la foudre; elle vient me remplir d’allégresse, tantôt noir comme une ombre, oh combien elle s’avère si douloureuse. C'est bien de mon âme qu'il s'agit. Celle qui en un instant traverse à mon insu tant le mystère est magique, les galaxies. Elle se retrouve au centre des astres et de la nature. Ceux-ci possèdent tous deux, deux faces, l'une caché comme la nuit, l'autre aveuglante comme le jour entre soleil et lune. Elle se promène jusqu'au font de la voie lactée, dans l'infiniment grand comme dans la plus petite des choses. Elle plonge comme une commette dans les chants dispersés au quatre coins du monde, laissant au grès de l'univers dans l'espace, s’égrainer sa queue en poussière d'or. Tu es une infinité tant outragé que désire. Ta nature ne ce définît pas. A mes coté tu grandis, ma compagne indissociable à mon existence. Tu es amertume et fortune à la fois. Tu demeure fidèle dans les orages comme sur les rivages de paix. Oh Ma sœur ! tu éprouve ma vitalité sans répit. Tu me rappel au temps jadis.Tu m’appelles à me battre aujourd'hui comme demain sans relâche à construire. Oui ! tu existe comme l'eau vive qui dévale toutes les pentes abruptes, une déferlante, une ligne de la main, une destiné aux chemins diverses. Tu te soumets cependant au libre choix. Toutes Les chutes de tes paroles scintillent au grès du vent, en arc en ciel aux couleurs variées. Tâche étoilée pénétrante dans mon cœur, as tu compris que vivre ne s'exprimait pas éternellement ?. Le jeu de l'amour se compare souvent à une partie d’échecs. Laisse moi aussi un moment de répit, de repos mérité. Je sais reconnaitre ici ta persévérance. Je cherche et recherche les dons de la terre en partages avec mes frères face à ma si grande imperfection. Tu grandis chaque jour pour prodiguer des joies comme des peines dans un dessin si insondable à ma conscience. Je me soumettrais, car telle est mon sort et non ma fatalité d'habiter sous ta coupe en pure cohabitation.

etre

Publié à 09:52 par fandeloup Tags : papillon belle
etre

Oh petit être délicat !, si frêle ! Dans tes premiers instants, comment a tu pus d'extirper d'un univers qui refuse ta si grande magnificence ?! Certes elle s'exprime de l'intérieure, en images oniriques, dans les mousses aériennes. Pourtant c'est au milieu de toute cette désolation que tu t'es changé en papillon gracieux, petite lampe allumée, aux ailes si fines et fragiles, aux pétales voluptueux si lisses et doux, en une belle étoffe de soie dont la transparence et la pureté n'ont d'égale. Ton compagnon l'arbre vigoureux a perdu son feuillage comme si par miracle il te transmettait sa sève pour permettre ton éclosion. C'est par pure grâce que s’évade la désolation et tu en es la quintessence vitale. Il ressort de tes tentacules perlés de poussières brillantes, des phéromones naturelles et graciles capables de réanimer les chaires dles âme meurtris. Le temps lui même ne résistera pas à ta beauté perçante.

message

Publié à 09:10 par fandeloup
message

Bonne journée

apercu

Publié à 09:02 par fandeloup Tags : moi fond
apercu

Je m’aperçois comme perdu dans l’immensité désertique, seul, dérisoire compagnon d'un rayon de soleil qui me reflète. Je m'obstine à conquérir les dunes mouvantes ou je m'enfonce invisible, intemporel. Je gravis les murs indiscernables. Je courbe l’échine désemparé, c'est le tunnel qui ne s’achève plus. Le fourmillement des bestiaux ne dissimule rien au loin. Camouflée tout prés l’existence me tend sans mollir les bras de la sagesse. Elle retient les obstacles les plus insurmontables. Elle s'accroche comme une mère constamment présente à mon chevet de délire. Malgré la fatigue qui me guide inexorablement vers d’obscurs jugements elle s'obstine. De fiers chants amicaux accompagnent mon périple pourtant la surdité viens du cœur qui se complet dans ses propres meurtrissures. Le son évocateur d'une voix dont on admire la reconnaissance ne s'accorde face au mutisme. Un soupir suffoquant fulmine en moi, je m’évanouis. Une roche agglomérée bruyamment tombe retentissante. Mon corps s’abandonne sur une surface inconnue. Je m’évanouis et sombre c'est trou noir. Quand au fond de cette errance, une éclaircie inespérée vient me caresser la joue. Le tourbillon ténu, éveille ma vison tournée vers l’horizon couchant. Je respire de nouveau profondément avec soulagement car enfin je me sens épié d'un regard affable. Cette nourriture tant nutritive que mystique, révèle l’effervescence de mon âme réintégrée. C'est par la reconnaissance que j'ai donc puiser dans le puits de l'eau vive.

couleurs

Publié à 07:41 par fandeloup
couleurs

Quand les courbes naturelles ont décidées de s'offrir aux siècles, c'est en couleurs inimitables qu'elles apparaissent à nos yeux ébahies, écarquillés