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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je m’aperçois comme perdu dans l’immensité désertique, seul, dérisoire compagnon d'un rayon de soleil qui me reflète. Je m'obstine à conquérir les dunes mouvantes ou je m'enfonce invisible, intemporel. Je gravis les murs indiscernables. Je courbe l’échine désemparé, c'est le tunnel qui ne s’achève plus. Le fourmillement des bestiaux ne dissimule rien au loin. Camouflée tout prés l’existence me tend sans mollir les bras de la sagesse. Elle retient les obstacles les plus insurmontables. Elle s'accroche comme une mère constamment présente à mon chevet de délire. Malgré la fatigue qui me guide inexorablement vers d’obscurs jugements elle s'obstine. De fiers chants amicaux accompagnent mon périple pourtant la surdité viens du cœur qui se complet dans ses propres meurtrissures. Le son évocateur d'une voix dont on admire la reconnaissance ne s'accorde face au mutisme. Un soupir suffoquant fulmine en moi, je m’évanouis. Une roche agglomérée bruyamment tombe retentissante. Mon corps s’abandonne sur une surface inconnue. Je m’évanouis et sombre c'est trou noir. Quand au fond de cette errance, une éclaircie inespérée vient me caresser la joue. Le tourbillon ténu, éveille ma vison tournée vers l’horizon couchant. Je respire de nouveau profondément avec soulagement car enfin je me sens épié d'un regard affable. Cette nourriture tant nutritive que mystique, révèle l’effervescence de mon âme réintégrée. C'est par la reconnaissance que j'ai donc puiser dans le puits de l'eau vive.