Fandeloup

Quand le ciel est bleu, quand les oiseaux chantent,quand le soleil brille , quand Le temps nous enchante ,le monde qui nous a eté offert aurait pu etre toujours magnifique encore .La terre , telle qu'on la connait ,n'est plus qu'une minuterie infernale vers la mort. On ressent tous les effets du temps qui se détraque , l'environnement vert qui nous échappe. Tout etat d'osmose avec la nature devient rare et unique .Juste des semblants de souffle qui tentent malgré tout de rester ces moments magiques. La terre nous échappe et se délaisse de nous tous ici bas. Car nous la detruisons , n'étant que des machines qui ne la respectons pas. Sentir une jolie fleur aura bientot un arriere gout de pétrole .Des espoirs de paradis d'un monde magique avec le temps qui s'envole. Respectons la nature car sans elle nous ne sommes rien du tout. Respectons ce qui nous a eté offert , cet environnement magique qui aurait pu etre a nous .N'attendons pas que la nature se venge de nous , car finalement nous dépendons tous d'elle .Alors apprenons a respecter ce qui fait l'essence de nos vies , car son temps n'est immortel. Qui ne serait pas en osmose avec la nature sans se soucier de s'engloutir dans une immense vague ? Qui ne serait pas heureux d'etre assis sans se soucier de ne pas voir la terre trembler, se sentir emporté dans son naufrage? La nature nous avertit qu'elle va mal , qu'elle endure mille et mille maux qui la rendent souffrante. Pas souffrante d"un virus ordinaire mais une infection qui s'étend et de ce fait la rend mourrante .Ce vrus c'est L'homme qui pourtant y a toujours eté bercé.. A lui d'apprendre a respecter cette mère de tout qui te laisse respirer.

Ce soir, il te suffit de regarder le ciel pour y voir au milieu des étoiles, tous les mots que je n'arriverai pas à te dire.

C'est le regard tourné vers l'horizon, que je revois son visage et je dois faire face à mon avenir, pourtant je reste figé par mes souvenirs,hantée par mes erreurs du passé, je continue à m'interdire d'avancer. Tous mes rêves que j'ai laissés endormi, c'est l'espoir qui les ramène à la vie,ses chaines qui m'ont tenue prisonnière, à travers quelques mots volent en poussière noircir quelque feuille blanche de mes mémoires, son devenu mon seul exutoire, j'ai compris avec le temps que je ne cherche pas le pardon, mais la voix de la raison,car l'avenir est fait du passé, qu'il faut vivre avec et non l'oublier,c'est au son d'une musique rythmé, que je laisse mon coeur s'exprimer, car c'est au travers de mes écrits, que je retrouve le chemin de ma vie...

Comme une pluie de tristesse, un vent de solitude, la froideur de cette douleur, ma peau si fragile, abimée par mes pleurs, mon ♥ si meurtri se nourrit de sang noir. La pureté de ses mots tant pensés, me lacère la langue, m'écorche les lèvres,me brûle les doigts, mais s'ecrivent ici comme dans un rêve. Un frisson de réalitée, me ramene dans mon corps, moi qui ai voyagé au plus profond de mon ♥, se n'est jamais indem que je reviens de ce retour a la source....

Ceder son âme, donner son ♥...on vie dans un monde ou ca n'a plus de valeur... continuer a le faire, sans garantie de prix... c est ce prouver a soi-meme qu'on a le droit au bonheur

Il y a des peurs que l'on aimerai bien partager, mais qu'il vaut mieux vivre seul. Des craintes dont on aimerai parler, mais qu'il vaut mieux garder dans le silence. Des doutes dont on voudrai se separer, mais qu'il est preferable d'avoir a l'oeil. Des larmes que l'on voudrai montrer, mais qu'on cache a l'interieur. Des mots que l'on voudrai dire, mais qui n'ont plus de sens. D'une solitude qui nous pese, mais que l'on ne montre pas

Un regard levé vers l'immensité de l'univers, à chercher le pourquoi et le comment. Un coeur palpitant, étouffant du manque et de l'absence de l'être aimé. Un cri silencieux, mais fort est porté de toute ma voix. Des raisons que l'on ne peut accepter, mais qui sont l'évidence. Les yeux fermés, voyageant dans le passé de mes souvenirs si précieux. L'arrêt sur image devant ce magnifique sourire et ne plus pleurer, mais rire au visage de la mort. Car malgré mon mal, il ne sera jamais assez puissant pour nous séparer dans le coeur... L'amour est plus fort que tout!

Le plus important n'est pas ce que l'on donne aux autres mais ce que l'on éveille et permet en eux.

La terre a un chant, elle porte le son de l'univers.

Michael Clarke Duncan /

L'acteur Michael Clarke Duncan, célèbre pour son interprétation d'un détenu condamné à mort dans "La ligne verte" (tiré du roman de Stephen King), est mort lundi à l'âge de 54 ans, moins de huit semaines après avoir été victime d'un infarctus, a annoncé son agent.

Victime d'un infarctus le 13 juillet Duncan est mort à Los Angeles, a précisé sa fiancée Omarosa Manigault dans un communiqué publié par l'agent du comédien, Joy Fehily.

Aucun détail sur la mort de l'acteur n'a été dévoilé. Il avait été victime d'un infarctus le 13 juillet "et ne s'en est jamais totalement remis", a précisé Fehily. Né à Chicago, Michael Clarke Duncan avait été nominé pour l'oscar du meilleur second rôle en 2000 pour le film "La Ligne verte" de Frank Darabont sorti l'année précédente.