Fandeloup

Cette photographie prise à Laghouat montre des fillettes du "dispensaire des Soeurs blanches". Elles seraient en train d'apprendre à tisser des tapis

Comme la bouche, les yeux parlent. Sans mots, sans images .Ils parlent, en permanence, ils parlent. Ils disent le beau, ils disent le laid. Ils disent le rire, ils disent les pleurs. Ils disent le pourquoi et le comment ,et aussi bien d’autres choses .Les yeux ne mentent pas. Ils se ferment sur leur vérité .Ils voilent les secrets et se détournent des curieux. Ils n’ont qu’un langage qu’ils soient bleus, verts ou autres. D’ici ou d’ailleurs .Leur langage est compris de tous .Les yeux parlent sans mots, sans images .Ils disent ce que nous ne voulons pas dire et entendre. Voilà pourquoi nous préférons les mots

Au début du XXe siècle, la ville de Laghouat, dans la partie nord du pays, compte 5 000 âmes dont 300 Européens. La carte postale ci-dessus montre le travail dans une briquetterie de la ville à cette époque

Que la douceur de ce moment vous envahisse. L’heure est venue mes amies de vous offrir un peu de répits, par ce moment doux de détente qui à mon cœur vous représente un doux moment d’apaisement pour démarrer ainsi votre journée. Oh oui je vous l’offre tendrement ,pour vous apporter une douce journée qui envahira doucement vos cœurs de bien être, vous remplira de douceur. Mais que rien ni personne, vous empêchera de vivre ce moment de bonheur qui est là. Alors, oui admirez et savourez sans crainte ce doux moment enchanté et merveilleux .Et pour un instant évitez de vous plaindre .Savourez ce moment si doux et si précieux Bonne journée a tous

L'Algérois, région du nord du pays, attiraient de nombreux visiteurs dans les années 1900. La ville de Blida, et ici son marché européen, était une zone attractive

Le soir, à la veillée, quand les ombres s'allongent, quand la pénombre s'invite, sur le pas de ma porte, la douceur d'un foyer apaise chaque songe, éclairant d'un halo, la soirée qui me porte. La lune, simple croissant, berce cette quiétude, sa lumière blanche veille, la peine de mon âme, bouleversant sans égard mes tristes habitudes, de me taire à jamais, de peur que l'on me condamne. La nuit cache les chagrins que mon coeur supporte, le sombre gomme la souffrance qui, parfois, me ronge, étouffant mes sanglots que la douleur transporte, au profond des ténèbres où l'esseulement me plonge. Doux silence nocturne, qui calme mes pleurs, sauras-tu à jamais, mes secrets enfouis ? J'aspire, en cette vie, à un peu de bonheur, j'aimerais partager ce que donne la vie. Quand mes rêves, en suspend, s'éveillent tous en couleur, quand mes sens affectés effacent mes fantômes, je me prends à flâner sur de douces rondeurs, au grès de mes humeurs, pour croquer dans la pomme. Sous le noir des chimères, se tourne une page, Que l'aube incendiera de ses rayons soyeux, ne laissant comme trace que des signes d'un autre âge, Refermant le cahier, d'un passé nébuleux

Le marché de Boufarik Suivante Outre Alger ou Constantine, le livre"L'Algérie d'antan" présente aussi des clichés de villes plus petites, comme Boufarik, 9 300 habitants au début du XXe. Ici, le marché, qui attirait "4 000 ruraux des tribus alentours

Quelque part dans mon intérieur se cachent mille petits bonheurs ou mille petits malheurs. Ces mille petites choses que l'on appelle souvenirs, reviennent parfois me faire sourire ou parfois même me faire pleurer. Quelques fois l'oubli les a emportés, ou restent à la portée, juste là pour me rappeler qu'ils font partie de moi .Certains emballés dans un papier de soie que j'aime déballer pour me faire revivre ces bons moments que je caresse silencieusement. Je m'évade dans mes pensées et je me laisse emporter dans la vallée des souvenirs si bien gardés. Mais parfois mon cœur se laisse entraîner dans des souvenirs fragiles cousus de peines et de souffrances creusés dans le sillon de mon existence .Je dépose à tous les jours des blessures, des déceptions, des paroles et même certains moments de ma vie que j'ai mis dans l'oubli pour venir les chercher plus tard. D'autres souvenirs plus difficiles à revivre se promènent entre l'espoir où le grand désert de l'oubli. Comme un film je peux choisir et visionner à mon gré les plus beaux moments de ma vie. Des gens chers à mon cœur partis avec le temps en d'autres lieux m'ont fait leurs adieux. Mais ils ont laissé en moi une trace d'amour, le gout d'aimer et une rage de vivre. Fabriqués et emballés par ma propre vie, je collectionne tous mes souvenirs. Et je les garde bien précieusement au plus profond de mon âme..

Les 700 cartes postales regroupées dans le livre"L'Algérie d'antan" permettent de découvrir des scènes du début des années 1900. Ici, des porteurs d'eau, dont des enfants, posent face à l'objectif

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