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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Au début du XXe siècle, Oran comptait 88 000 habitants "dont 41 000 Français, 11 000 Juifs naturalisés, 23 000 étrangers européens, et 13 000 indigènes", selon l'auteur Philippe Lamarque. Ici, le boulevard Séguin et sa ligne de tramway
J’ai des mots ,des mots plus lourds que la terre.. Ils tournent sur les vagues de la mer, puis tourbillonnent en plein air. Je connais tous les mots .Je connais tous les maux .Je connais aussi leurs sens d’innocence ou de la tolérance .Leurs place comme les mots de la classe ..Avec tant de précision et de signification ..Tant de géométrie et des écris.. Je connais aussi les maux d’hivers.. L’amour et la chaleur.. Et aussi les mots divers qu’on entend souvent ces dernier temps ..Plus fort que la douleur.. Plus fort que la peur.. Tu le connais et je le connais ..Il y a aussi des mots de la sagesse ..Chez les poètes et poétesses.. Ce qu’on écrit souvent.. Ce qu’on offre aux gens.. Les mots de bonheur ! En roses et fleurs ! Et il y a aussi……mes maux
La ville de Constantine, située à 80 km de la mer, est attractive. Quartiers juifs, arabes et européens composent ce territoire qui compte 50 000 habitants, dont 15 000 Français en 1900
Je cours dans tous les sens ..Sans trop savoir pourquoi.. Est-ce la vie une chance ,ou une draconienne loi ? Perdu entre les ruelles, j’empreinte toutes les voies.. Je me sens virtiuel quand personne ne m'appercoit ! Je passe inaperçue,entre tous ces gens, je passe inaperçue comme la candeur du vent, je cherche partout, le diamant et la boue, je me sens seul, sans aucun gout ! A quoi sert la vie, si on vit au hasard.. A quoi servent les yeux si on perd le regard ! Donnez-moi cette chance, de trouver mon chemin, soulagez ma souffrance, montrez moi mon destin ! Je cours dans tous les sens, sans trop savoir pourquoi ..Est-ce la vie une chance.. Je paye mon innocence
Cette carte postale du début du XXe siècle présente des hommes installés dans un café maure et fumant le narguilé. L'ouvrage "L'Algérie d'antan" regorge de ces scènes de vie du passé
On s'habitue à la sévérité du temps ..À l’orage, au vent de l’orient sur les montagnes, sur les collines ..À tous les souvenirs qui s’inclinent.. On s'habitue à l’amour ..Un cœur qui bat, un autre qui meurt ..Une étincelle de chaque jour qui illumine notre demeure.. La vie est une fertile terre ..L’amour pétale de fleur qui parfume l’univers en adoucissant le bonheur ..On s’habitue à la solitude.. Le cœur battant par habitude.. On s’installe quelque part loin des yeux bizarres.. On s’habitue à l’habitude ..L’usage et les traditions ..La joie et l’inquiétude.. À vivre sans faire attention
Selon Philippe Lamarque, au début du XXe siècle, Alger comptait "1 400 000 indigènes (statut aboli en 1929), 17 000 Juifs naturalisés (en vertu du décret Crémieux), 71 000 étrangers en cours d'assimilation ou de naturalisation (accélérée en 1914 par le recrutement militaire), 152 000 Français au titre du Code civil
Une goutte d'eau effleurant le visage, en ses temps, où les intempéries sont sages .Chaleur humide, caressant la vague de pensées, de tristesse, en vogue .Pas de gestes tendres pour assécher une peine viscérale, d'une femme ruinée. Cachée derrières des sourires, masquant les tremblements, au devant des sentiments. Une larme invisible, sur un coeur à banir .Où l'espoir et les sanglots tentent de s'unir. Intouchable, dans son mur d'acier, les douleurs, les pleurs d'un passé
Dans les années 1900, la capitale de l'Algérie, au climat doux, est une ville d'hivernage, "dont le centre de gravité s'est déplacé vers le Champ-de-Manoeuvre". Ici, Alger sur une "vue prise du Môle".