Fandeloup

Les gens qui vivent seuls le savent : parfois, il vaut mieux éteindre toutes les lumières, Rester seulement assis dans le noir, à écouter le silence, l'oreille aux aguets, le coeur palpitant, lourd, amer, Car à cet instant, on ne sait même pas ce que l'on attend, on attend mais l'on sait d'avance que c'est inutile, que demain sera comme hier, Et l'on reste là, petit devant l'immensité de la question, impuissant, inconsolable, seulement assis dans son lit, comme un renard apeuré dans sa tannière ; Vous faites quoi, vous, pendant ce sursis, cette suspension du temps, Ce retour vers soi, à soi, où votre passé vous reprend, le futur vous attend, menaçant, inquiétant, Où dans le silence qui parle, vous reviennent des souvenirs, des scènes, des pans, que vous faites semblant d'oublier depuis longtemps ? Un soupir, parfois un cri étouffé, un gémissement, que seul le silence entend ; Certains pleurent, ceux-là ont bon coeur, et souvent reniflent quelque espoir en évacuant leur désespoir, D'autres ferment les yeux, silencieux regardent défiler ou des tranches déjà vécues, ou des rêves qu'ils peignent dans le noir, D'autres encore invoquent les morts, prient Le Bon Dieu, murmurent un chapelet de prières, attendent quand même, dans leur morne purgatoire, Les plus seuls, ceux que la conscience taraude, la quête du sens lutine, torture, ceux-là posent le menton dans le creux de la main, en vain restent à longuement ruminer le pourquoi, le comment de ce monde absurde, illusoire ; Mais des fois, il fait bon éteindre toutes les lumières, rester là, juste là, assis à écouter le silence, Parce que de tout on est fatigué, las, blasé, Et l'on a besoin de ce moment, grandement envie de ne rien voir, de ne rien entendre, même pas cet espèce de bourdonnement qui contre la paroie de notre oreille vient s'écraser, Un autre soupir, long, profond, qui à sa fin, moribond laisse un noeud, une impression de gorge brisée, Et l'on plonge sa figure froide dans les paumes chaudes de ses mains, car l'on a besoin, grandement besoin de sa tête lourde laisser reposer

Famille aigrette garzette

Toute la beauté d'un arbre enneigé !

Par mis les plus beaux animaux du monde alors que certains les massacre au nom de ce qui les arrange

Le miroir magique !

Fabuleux

Prenez le temps d'être à l'écoute de la vie et des signes qu'elle vous envoie. Marchez avec confiance. Avancez dans la sérénité.

Fuir les nuisibles ..et les oublier ..et l’air sera plus respirable ..toutes ces personnes qui se complaisent dans l’insatisfaction, râleuses , jalouses, pesantes .. filons au large

Pourquoi?? Pourquoi priver nos cousins de libertés!! C'est horrible, rendez lui sa liberté, et expliquons aux enfants Pourquoi ils sont 1 million de fois plus heureux dans leur forêt. Les reportages, et Dieu sait qu'ils y en a de magnifiques, voir géographie wild, pour exemple, les enfants peuvent très bien apprendre à les connaître par ce biais.

Ici l’hiver a déposé quelques flocons de neige ... et Gordes s’est habillé de blanc , un épais brouillard a caché tout le village ... et on ne reconnaît plus rien ... il fait humide les ruelles sont trempées .. Gordes est vide de ses habitants, de ses touristes, pas âme qui vive .. Par ces temps de froidure on imagine la vie derrière les portes ou derrière les fenêtres...juste quelques bruits ... quelques paroles qui résonnent .. quelques casseroles qui s’entrechoquent ... et des parfums ... les parfums de l’hiver ..lorsque le fumée s’échappe d’une cheminée laissant derrière elle l’odeur des marrons grillés ou des bûchés brûlées ... les parfums d’une bonne daube qui mijote ... d’un bon gâteau à la fleur d’oranger , parfois aussi les parfums d’un bon tabac qui s’échappent par une fenêtre ouverte ... ou bien les parfums d’une bonne tisane de thym ... Souvent dans ces petits villages l’hiver n’est que parfum alors que l’été étale ses couleurs ... La vie reprend ses droits devant la boulangerie ... le temps d’une baguette encore chaude ou d’un croissant doré ... mais rien ne vient troubler la quiétude des foyers C’est un étrange sentiment que de fouler un sol pavé de pierres sèches qui a été piétiné par des milliers de personnes et qui d’un coup vous offre sa solitude ... avoir juste l’impression d’être la première à passer par là.. et rêver d’une grande découverte . Gordes en hiver ne renonce pas à ses charmes.. Différents certes mais tout aussi magiques lorsque les toits sont vêtus de blanc . Et retrouver la magie des Noëls blancs de notre enfance ... Voilà mes amis l’hiver s’est installé en Provence avec ses températures négatives... et son changement de décor ... Et je vous souhaite une très belle journée bien au chaud ponctuée d’éclats de rire, de joies, de bonne humeur .. Soyez heureux, prenez bien soin de vous et des personnes qui vous sont chères . bisous à tous et à toutes merci beaucoup pour votre fidélité pour votre gentillesse pour votre belle amitié et pour tous vos partages qui me font tellement plaisir Avec toute ma sincère amitié .....